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La Magie Du Cosmos - 3/4 - Le Saut Quantique HD

La Magie Du Cosmos - 3/4 - Le Saut Quantique HD

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7 : Une science en transition ? Bien que le phénomène de décohérence nous indique la frontière entre les deux mondes, il ne donne aucune réponse satisfaisante aux multiples interrogations qui s'en suivent. Nous avons besoin de logique et de rationalité pour élaborer la structure de la matière. Comment alors poser des bases solides sur un monde si flou en apparence ? Desmodium, Polygalacée, Pygeum, plantes utilisées en Afrique A travers les siècles et les continents, nos ancêtres ont su observer la nature, expérimenter, acquérir et transmettre la connaissance sur les plantes et leurs effets thérapeutiques. La Pharmacopée Africaine fait partie des trésors thérapeutiques transmis oralement de génération en génération aux gens de confiance. Le décryptage scientifique des pratiques traditionnelles, puis la transformation des résultats de recherche en produits finis ont donné naissance au sein de notre laboratoire au Desmopar®, le premier complément alimentaire à base de Desmodium et à la Sélongénine® produit inédit et spécifique au CRP. Le Desmodium Adscendens existe sous différentes présentations :Sachet de 100g de plante sèche : Desmodium AdscendensSoluté concentré en flacon de 150 ml : DESMOPAR®Boite de 60 gélules : Desmopar FortBoite de 60 gélules : Desmopar 5

5 : L'énergie du Vide Comment décrire la notion de vide ? Très facile me direz vous... c'est l'absence de matière et d'énergie, voilà tout ! Si je prends une cloche en verre et que j'y produis un vide très poussé, il est aisé de voir que l'espace occupé pas la cloche est vide de tout : même l'air y est absent. Et pourtant... A l'échelle atomique ce qu'on appelle le « vide » est tout à fait différent de celui auquel nous sommes habitués : en fait, le vide n'existe tout simplement pas. Mécanique quantique : nouvelle définition de la fonction d'onde - Fondamental La fonction d'onde de l'hydrogène (Wikimedia Commons) Un outil statistique et peut-être plus que ça En mécanique quantique, qui traite du comportement physique des particules atomiques et subatomiques, la fonction d’onde permet de calculer la densité de probabilité de présence d’une particule en certains points. En effet, à cette échelle, toute tentative de mesure influe directement sur la particule de sorte qu’il est impossible de connaître simultanément sa position et sa vitesse, c’est le fameux principe d’incertitude d’Heisenberg. Du coup, les mesures n'expriment pas des certitudes mais seulement des probabilités, représentées par la fonction d’onde. Pour les physiciens, la fonction d’onde est une abstraction mathématique et statistique qui permet de réduire, pas complètement, l’incertitude quantique. L’interprétation de Copenhague serait erronée

Un monde sans temps ni espace Recensés : Carlo Rovelli, Quantum Gravity, Cambridge, Cambridge University Press, 2004 et Carlo Rovelli, Qu’est-ce que le temps ? Qu’est-ce que l’espace ?, Paris, Bernard Gilson Éditeur, 2008. Les entreprises scientifiques et épistémologiques, c’est un lieu commun, seraient avant tout des démarches de taxonomie. Il s’agirait de classer, d’ordonner, de séparer. 4 : Un monde non localisé Comme nous l'avons vu, le monde quantique échappe à toutes nos tentatives de le délimiter dans une zone précise de l'espace : lorsqu'on essaie de mesurer la position d'une particule avec une grande précision, l'information sur sa vitesse est incertaine. Et inversement, lorsqu'on veut connaître sa vitesse avec une précision accrue, sa position devient floue... Il y a une limite infranchissable à la connaissance que l'on puisse obtenir sur l'information d'un système; cette limite est connue sous le nom du principe d'incertitude. Le principe d'incertitude d'Heisenberg :

3 : La Constante de Planck Le physicien Max Planck apporta une très grande contribution à la théorie quantique ; il découvrit la valeur d'une constante qui portera son nom et qui exprime le seuil d'énergie minimum que l'on puisse mesurer sur une particule. Voyons maintenant la valeur de cette constante : h = 6,63 . 10 -34 joules.seconde. Planck découvrit cette constante en 1900, par la force des choses si l'on peut dire, car à cette époque on croyait que les échanges d'énergie entre la matière et le rayonnement s'effectuaient de façon continue, alors que les expériences prouvaient le contraire. Il introduisit la valeur de cette constante dans ses calculs, avec par la suite l'intention de faire tendre sa valeur vers 0 pour revenir à une description continue du rayonnement, mais ses efforts furent vains : la constante h ne pouvait être annulée sans contredire les expériences... Voici donc la formule élaborée par Max Planck : E = h . f, dans laquelle :

2 : La Physique Quantique : vers la recherche d'un absolu… Bien des physiciens croient que la meilleure façon de décrire le monde de l'atome demeure le modèle mathématique, et qu'à travers les équations nous pouvons entrevoir la façon complexe dont le monde microscopique est ordonné. Mais un orage souffle sur la physique du vingtième siècle, faisant trembler ses fondations et jetant la confusion sur la nature même de ses concepts les plus ultimes. Véritable révolution qui vient jeter un pavé dans la mare pourtant si tranquille de nos croyances acquises jusqu'alors, la physique quantique se révèle une théorie sans commune mesure avec tout ce qu'on croyait savoir au sujet du monde atomique. La théorie quantique décrit un monde étrange, où l'on découvre que la matière qui constitue tout notre univers, et qui semble pourtant bien localisée dans l'espace est en fait « étendue » quelque part. Les repères comme ici et là-bas, qui sont si cohérents à notre échelle perdent toute signification dès qu'on franchit les limites du monde atomique.

Mécanique quantique : des applications tous azimuts  La mécanique quantique est l’une des théories physiques qui donne le plus de fil à retordre à l’entendement. Pourtant, elle débouche déjà sur des applications. Voyage dans le monde quantique avec les dernières expériences surprenantes menées par l'équipe de Jean-François Roch, en collaboration avec celles d’Alain Aspect et Philippe Grangier, à l’Institut d’optique.

Équation de Dirac Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. L'équation de Dirac est une équation formulée par Paul Dirac en 1928 dans le cadre de sa mécanique quantique relativiste de l'électron. Il s'agit au départ d'une tentative pour incorporer la relativité restreinte à des modèles quantiques, avec une écriture linéaire entre la masse et l'impulsion. Explication[modifier | modifier le code] Cette équation décrit le comportement de particules élémentaires de spins demi-entiers, comme les électrons. Dirac cherchait à transformer l'équation de Schrödinger afin de la rendre invariante par l'action du groupe de Lorentz, en d'autre termes à la rendre compatible avec les principes de la relativité restreinte.

AM1 Page(s) en rapport avec ce sujet : Complete neglect of differential overlap (CNDO/1) (1965) – suit précisément l'approximation ZDO – calcul des intégrales de recouvrement explicites permettent... (source : scribd) Approximation de Born-Oppenheimer On peut résumer les deux étapes de la méthode pour une molécule diatomique, dont les noyaux, qui sont reconnus comme ponctuels vis-à-vis de l'étendue du mouvement des électrons, sont distants d'un longueur R : 1) On étudie en premier lieu le mouvement des électrons dans une configuration nucléaire donnée, où la distance internucléaire R est reconnue comme fixe (il est équivalent de dire que les deux noyaux sont fixes) ; l'approximation de Born-Oppenheimer consiste à dire que cette hypothèse apportera des solutions correctes, quoique non-exactes. On résout alors l'équation de Schrödinger pour les électrons en traitant R comme un paramètre. On obtient un ensemble d'états propres pour le dispositif électronique, d'énergies Ep (R) . Les N électrons de la molécule sont repérés par leur rayon-vecteur

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