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Quels usages pour la réalité augmentée dans le monde du livre ?

On peut définir la réalité augmentée comme la superposition d’informations à l’environnement réel. L’exemple le plus ancien d’un tel dispositif est la « vision tête haute » dans les cockpits d’avion de chasse : les pilotes voient des informations s’afficher en surimpression sur leur pare-brise. Ce même principe existe dans les voitures récentes. La réalité augmentée sur téléphone Avec la montée en puissance des smartphones, la réalité augmentée peut être utilisée au travers de l’écran d’un téléphone. Ce principe pourrait permettre à un lecteur de retrouver plus facilement un ouvrage dans les rayonnages d’une bibliothèque. La réalité augmentée sur ordinateur ou console de jeu Les ordinateurs récents sont équipés d’une caméra au dessus de leur écran, capable de filmer leur utilisateur. C’est ce principe qu’utilise le Sony Wonderbook : un livre augmenté issu du monde d’Harry Potter. La réalité augmentée projetée sur le réel La réalité augmentée intégrée à notre vision

5 exemples de réalité augmentée liés à la musique | Le Publigeek Le hasard a voulu que je tombe sur plusieurs exemples de réalité augmentée autour de la musique. Voici donc un petit dossier sur ce thème. 1 – Sinik et son album Ballon d’Or utilisant la réalité augmentée En fin d’année dernière, j’avais été convié par Universal Music à voir une démonstration de réalité augmentée autour du nouvel album du rappeur Sinik, « Ballon d’Or ». Réalisée par Total Immersion, elle présentait peu ou prou ce que vous avez dans la vidéo ci-dessous : – Le rappeur qui apparaît et qui chante en incrustation sur les pages du carnet que l’on montre à la caméra, – Un ensemble intégrant platines + Tee-Shirt + sampler en réalité augmentée en utilisant le CD (l’ensemble permettant de mixer les morceaux de Sinik). Pour en avoir discuté avec des gens d’Universal, au delà de l’intérêt Marketing d’une telle utilisation, cela permet également de redonner du sens à un support (le CD) qui en a pas mal perdu. Pour tester, ça se passe ici. Source. Source. Source. Source.

Google Maps et autres applications : la bataille de la géolocalisation Par Héloïse Leussier Mis à jour le , publié le Partager INTERNET - Google Maps est de retour sur l'iPhone. Apple avait tenté - en vain - de s'en passer en la remplaçant par son propre outil, "Plans", dans la nouvelle version de son système d'exploitation. Mais après deux mois de galères cartographiques, les utilisateurs d'iPhone peuvent, depuis jeudi 13 décembre, télécharger Google Maps, qui vient d'arriver sur l'Apple Store. La stratégie de la marque à la pomme sonne comme un échec, tandis que son concurrent se félicite dans un communiqué (en anglais). Android, iOS, Windows... Google, qui s'est lancé dans la cartographie en 2005, s'est imposé comme un leader dans le domaine. Avec l'outil Plans, Apple voulait contrer Google Maps. Le système Windows Phone 8 s'appuie lui sur Nokia Maps, le concurrent actuellement le plus crédible face à Google Maps. Le GPS, appli clé des smartphones Les applications de géolocalisation sont parmi les plus plébiscitées par les utilisateurs de smartphone.

Vidéo : L’iPad jeu de société de demain Qui n’a pas jamais joué sur un iPad, iPhone ou Android? Plus grand monde, tant ces nouveaux outils sont maintenant utilisés couramment pour cet usage. Mais avez-vous déjà joué avec des pions, des figurines sur votre tablette tactile? La technique repose sur le «multi-touch» auquel sont sensibles les écrans de nos appareils. Dès septembre, au États-Unis et au Canada, les jeux Monopoly et Battleship seront disponibles. 20 minutes a été à la découverte de ces jeux d’un genre nouveau en démonstration à l’occasion de Futur en Seine, (rendez-vous annuel de l’innovation technologique qui se déroule du 14 au 24 juin 2012 à Paris). Si la vidéo ne se lance pas, cliquez-ici. Jonathan Duron

Créer sa réalité augmentée avec l’application Aurasma La réalité augmentée (ou RA) est la technologie qui permet d’ajouter des éléments virtuels (texte, image, vidéo, animation, son, sensation tactile…) à notre environnement proche. Aurasma, c’est tout d’abord une application mobile permettant de « lire » la réalité augmentée réalisée spécifiquement pour cette application. Elle permet également de créer sa propre réalité augmentée. En effet, on peut facilement, depuis son smartphone ou de sa tablette, incruster une image ou une vidéo sur un élément du réel. Liens de téléchargement d’Aurasma Un peu de vocabulaire : Avec l’application Aurasma, on peut créer, partager et lire des Auras. L’élément déclencheur ou Trigger image c’est ce qui est reconnu par Aurasma pour déclencher l’incrustation de l’élément virtuel ou Overlay [1]. Il est possible de créer des canaux ou channels dans lesquels seront ajoutées les Auras. Pour bien commencer : Pour créer une Aura il n’est pas utile d’autoriser l’accès de l’application au service de géolocalisation.

Réalité augmentée, le nouvel eldorado des smartphones > FredCava J’ai comme l’impression que les applications tournant autour de la réalité augmentée sur des terminaux mobiles sont en train d’exploser. Vous connaissiez déjà les audioguides (largement répandus dans les musées), mais avec l’arrivée sur le marché de smartphones équipés de puces GPS et de compas électronique, le marché risque bien de s’envoler. Le principe est simple : vous installez une application sur votre smartphone et celle-ci récupère des données pour les afficher en sur-impression en mode caméra. Illustration avec Layar, un start-up hollandaise qui propose une offre très crédible : The first mobile Augmented Reality browser premiers in the Netherlands. Cette start-up propose en effet une plateforme pour héberger des couches de données ainsi que le navigateur qui permet de les consulter (dans un premier temps uniquement disponible pour Android) : Vous vous promenez donc dans une vile et l’application affiche des bulles qui sont autant de points d’intérêt.

Etude de la semaine : publication des photos sur Internet  Les photos, vecteur central du "marketing de soi" 58% des internautes déclarent publier des photos sur des sites, blogs ou réseaux sociaux. Ce chiffre atteint 86% chez les 18-24 ans. ZOOM SUR LE TAG ET LA RECONNAISSANCE FACIALE68% déclarent demander l'avis des personnes avant de les identifier MAIS seulement 34% le font systématiquement. Des comportements ambivalents : les internautes partagés entre le respect de l'image de l'autre et l'envie de diffuser 74% des internautes déclarent demander l'avis des personnes photographiées avant de publier leur photo MAIS seuls 44% le font systématiquement. Paramétres de visibilité : un besoin de contrôler l'accès à ses photos mais des outils trop complexes 62% des internautes qui publient des photos disent contrôler avec soin les paramètres de visibilité et 66% disent restreindre l'accès à leurs photos pour certaines personnes (connaissances, membres de la famille…). Pour autant, le doute est permis sur la maîtrise réelle de ces paramètres :

Si les éditeurs disparaissaient En lisant un article du Guardian intitulé: «Quatre auteurs auto-publiés sur la liste des e-books best-sellers du New York Times», qui soulignait que quatre auteurs auto-publiés totalisaient sept livres dans la liste des best-sellers numériques du New York Times, le lecteur pouvait légitimement se demander: à quoi servent les éditeurs? Un auteur, en littérature, peut désormais tout à fait mettre son texte en ligne dans son coin et attendre que les lecteurs le trouvent. C’est arrivé à E.L. James pour Fifty Shades of Grey. Après tout, rappelle Jean-Yves Mollier, professeur d’histoire contemporaine et spécialiste de l’édition, «Victor Hugo en 1830, au moment de l’impression d’Hernani, envisageait déjà de les court-circuiter et de porter lui-même ses œuvres à l’imprimerie». Aujourd’hui, cette tentation peut effleurer des écrivains connus, qui s’estiment spoliés par les maisons d'édition, mais surtout des écrivains qui n’ont pas trouvés d’éditeurs, voire qui n’en ont pas cherchés. Ecoles

Sixth Sense : le futur de la réalité augmentée S’il est moins spectaculaire, le projet Sixth Sense (Sixième Sens) que superviqe Pattie Maes, qui dirige le Groupe des interfaces fluides au Massachusetts Institute of Technology (MIT) de Boston a l’avantage de proposer une solution qui pourrait être mise en oeuvre dans un délais très court. L’avantage de Sixth Sense est de ne pas utiliser un accessoire directement posé sur le corps mais des accessoires d’un encombrement léger : bague ou collier qui intègre une Webcam. Utilisation de Sixth Sense pour projeter une vidéo venue du Web sur un magazine. Crédits DR. Pattie Maes a effectué la démonstration de Sixth Sense au printemps 2009 lors d’une conférence de TED (Technology, Entertainment, Design / Techologie, Divertissement, Conception) un organisme visant à rapprocher les chercheurs de ces domaines. Quel a été l’argumentaire de Pattie Maes ? « Lorsque vous rencontrez quelqu’un à un salon, vous n’allez pas sortir votre téléphone mobile pour lancer une recherche Google à son sujet.

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