Redis as the primary data store? WTF?! The web is abound with warnings and cautionary tales about going this route. There are horror stories about lost data, hitting memory limits, or people unable to effectively manage the data within Redis, so you might be wondering “What on earth were you thinking?!“ So here is our story, why we decided to use Redis anyway, and how we overcame those issues. First of all, I want to stress that most applications shouldn’t even worry about the engineering hurdles involved with going this route. Redis is Fast. Like memcached, everything is held in memory. You have to be able to fit all your data in memory, andIf your server fails between disk syncs you lose anything that was sitting in memory. Due to these two issues Redis has found a really solid niche as a transient cache of data you can lose, rather than a primary data store, making often accessed data fast with the ability to rebuild when necessary. Muut is offered as a completely free product. All the data’s in memory. Server failures
Ville intelligente Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. L'expression « ville intelligente » est une traduction de l'expression smart city. Ce concept émergent — dont les acceptions sont mouvantes en français[1] — désigne un type de développement urbain apte à répondre à l'évolution ou l'émergence des besoins des institutions, des entreprises et des citoyens, tant sur le plan économique, social, qu'environnemental[2]. Une ville peut être qualifiée d’intelligente quand les investissements en capitaux humains, sociaux, en infrastructures d'énergie (électricité, gaz[3]), de flux (humains, matériels, d'information) alimentent un développement économique durable ainsi qu’une qualité de vie élevée, avec une gestion avisée des ressources naturelles, au moyen d'une gouvernance participative et d'une utilisation efficiente et intégrée des NTIC (en 1992 G. Dupuy parle à ce sujet d'« informatisation des villes »[4]). Le concept anglo-saxon de smart cities[modifier | modifier le code] Amsterdam Smart City.
Habita(n)ts connectés Après un an de travail collaboratif, de réflexion et de créativité, voilà les résultats de l’expédition Habita(n)ts connectés. Avec plus de 9 équipements numériques par foyers, et des usages numériques étendus à tous les domaines d’activités du domicile, il ne fait plus de doute que l’habitat et les habitants sont "connectés". Toutefois nos domiciles connectés ne ressemblent guère à ceux imaginés 10 ans plus tôt, truffés de capteurs ou d’automatismes. Accompagnés du VIA, de la fédération Promotelec, du groupe Renault, du groupe La Poste, du laboratoire Minatec du CEA, du CNR Santé à domicile, de Leroy Merlin Source, de l’école d’Ingénieur de Rennes ESIR, un travail collaboratif de réflexion et de créativité a été mené de janvier 2011 à janvier 2012. Découvrez les slides, les quatre territoires d’exploration et les vidéos des scénarios ! Les slides présentant les résultats de l’expédition "Habitants connectés" Les quatre territoires d’exploration Les vidéos Les partenaires de l’expédition
Repenser l?internet des objets (1/3) : L?internet des objets n?est pas celui que vous croyez ! ? InternetActu.net Par Daniel Kaplan le 23/04/09 | 18 commentaires | 6,410 lectures | Impression L’”internet des objets” (internet of things), ne mérite pas son nom, explique Daniel Kaplan, délégué général de la Fondation internet nouvelle génération (Fing). D’une part, parce que la mise en réseau des objets se réalise aujourd’hui en silos – applications, services, organisations –, ce qui n’a rien à voir avec l’interconnexion généralisée qu’incarne l’idée d’inter-réseau. L’objet internet Le 30 juin 2008, la justice française tranchait en faveur de LVMH dans son conflit avec eBay. Ce second motif nous intéresse beaucoup. Un objet de l’internet, en quelque sorte. La confusion des mots Le sac Vuitton apparaît alors comme une incarnation possible de l’”internet des objets”. D’autres y ajoutent les capteurs, des objets producteurs de données. Les multiples récits de l’internet des objets Admettons donc que ce qui précède décrive le substrat technologique de l’internet des objets. Daniel Kaplan
tout le débat s'ouvrant DONC à partir de la La société idéale peut-elle naître dans le cyberespace ? Qu'est-ce qui change dans un monde où l'espace disparait ? C’est la question posée par Nils Aziosmanoff, président du Cube, à l’occasion du lancement du second numéro de la revue du centre de création numérique d’Issy les Moulineaux. Organisé autour de la notion de territoires numériques, cet échange co-animé par le journaliste et écrivain Pierre de la Coste réunissait le physicien, philosophe et informaticien Jean-Gabriel Ganascia, l’anthropologue Jacques Lombard et l’artiste numérique Hugo Verlinde. Au cœur des débats, l’idée selon laquelle Internet a ouvert une nouvelle dimension du réel : le cyberespace, qui véhicule un idéal de cité où tout le monde peut communiquer avec tout le monde. Est-ce là un nouveau lieu de l’utopie ? La société idéale peut-elle naître dans le cyberespace ? En examinant quatre utopies et autant de contre-utopies, les intervenants nous livrent leurs visions de cet espace d'un nouveau genre. > L’utopie de l’« infosphère » > L’utopie de la transparence Un exemple ?
Radio-identification Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Une puce de radio-identification EPC utilisée par Wal-Mart La radio-identification, le plus souvent désignée par le sigle RFID (de l’anglais radio frequency identification), est une méthode pour mémoriser et récupérer des données à distance en utilisant des marqueurs appelés « radio-étiquettes » (« RFID tag » ou « RFID transponder » en anglais)[1]. Les radio-étiquettes sont de petits objets, tels que des étiquettes autoadhésives, qui peuvent être collés ou incorporés dans des objets ou produits et même implantés dans des organismes vivants (animaux, corps humain[2]). Ces puces électroniques contiennent un identifiant et éventuellement des données complémentaires. Cette technologie d’identification peut être utilisée pour identifier : Principe[modifier | modifier le code] Lecteurs[modifier | modifier le code] Radio-étiquettes[modifier | modifier le code] Le marqueur se compose : Contraintes[modifier | modifier le code]
"Avec mon ordinateur, j'ai ouvert et fermé la porte d'une banque" Il y a quelques jours, le département de la Sécurité intérieure des États-Unis a reconnu que le fonctionnement d'une centrale de production d'énergie avait été perturbé par une attaque informatique sur le sol américain. L'internaute français fo0_ explique au Point.fr tout ce qu'il est possible de faire, sans compétence particulière, depuis un simple ordinateur. Pour que les entreprises et les particuliers en soient enfin conscients. Pourquoi tant d'attaques en ce moment ? En fait, les attaques les plus spectaculaires sont dues au grand nombre d'Interface Scada. Ah bon, et qu'avez-vous réussi à faire, par exemple ? Il y a deux ans, j'ai eu accès au système de climatisation d'une école à Singapour. Tout cela depuis chez vous, tranquillement installé dans votre canapé ? Oui, et j'ai même pris le contrôle d'un crématorium... Est-ce compliqué ? Non, pas vraiment.
Les QR codes peuvent-ils être utiles ? Gadgets, les QR Codes ? Ou bien pub déguisée ? Pas si sûr… Les QR codes pourraient bien changer quelques habitudes de votre quotidien. Avec l’envolée de nombre de mobinautes, les QR codes font l’objet de diverses expérimentations. Le point sur une technologie qui avance. Comment ça fonctionne ? Les QR codes –quick response codes- sont aussi appelés flashcodes parce qu’ils sont généralement flashés à partir de l’appareil photo de votre smartphone. Ranger, classer, transporter : tout retrouver plus vite A l’origine, le QR code a été conçu pour répondre à des besoins logistiques. Très bien, mais pour le grand public, qu’est-ce que ça change ? Décryptage instantané : du nouveau dans les musées Les avantages qu’offre l’utilisation des QR codes pour les musées sont assez évidents. En réintégrant la genèse d’une œuvre ou la voix de l’artiste lors de la visite de l’exposition, les QR codes peuvent donner accès à des vidéos, des interviews, des diaporamas. Et après ? > Visuel :
Qu’est-ce que l’intelligence collective ? Le thème de l’intelligence collective a fait l’objet de nombreux travaux durant les quarante dernières années. Même si les appellations diffèrent, un objet commun semble se dégager : noosphère de Teilhard de Chardin, écologie de l’esprit de Gregory Bateson, écologie des représentations de Dan Sperber, sujet collectif de Michel Serres, cybionte de Joël de Rosnay, hive mind de Kevin Kelly, intelligence connective de Derrick de Kerckhove, super-brain de Francis Heylighen, Global Brain de H. Bloom, intelligence émergente de Steven Johnson, etc. Stricto sensu, l’intelligence collective est un concept régulateur qui peut être défini comme une intelligence variée, partout distribuée, sans cesse valorisée, coordonnée en temps réel, qui aboutit à une mobilisation effective des compétences [1]. L’intelligence collective constitue également un champ de recherche dont l’objet est l’étude de la coopération intellectuelle entre humains dans un environnement techniquement augmenté.
Domotique Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Représentation graphique schématique d'items relatifs à l'« habitat intelligent » (version évoluée de la domotique des années 1970-80), avec leurs relations entre eux et avec l'usager Maison de démonstration dite « Maison T-com », à Berlin Les domaines de la domotique[modifier | modifier le code] Exemple d'interface avec un logiciel de contrôle de l'éclairage Le Home cinema est l'un des « services » qui peut, être intégré dans la domotisation Exemple d'une famille de modules domotiques électroniques et électromécaniques (vannes, vérins) pouvant être commandés par une même unité centralisée Les principaux domaines dans lesquels s’appliquent les techniques de la domotique sont : Domotique et environnement[modifier | modifier le code] La domotique utilise des TIC qui peuvent être très consommatrices d'énergie et de matières rares ou précieuses. Avec le temps, la domotique tend à sortir de la maison. Coût de la domotique[modifier | modifier le code]
40 mobiliers urbain intelligent Paris Bienvenue dans le futur : différents projets expérimentaux prennent place dans l’espace public parisien. Présentation. Sept appels à projets ont été lancés depuis 2010, recevant plus de 160 candidatures. Près de 50 expérimentations ont été mises en place sur Paris. Les 40 mobiliers urbains intelligents Des abri-voyageurs interactifs, des panneaux d’affichage offrant des informations en temps réel, des potelets de sécurité lumineux et déformables... : Depuis 2011 Paris a mis son territoire à la disposition de plus de 25 projets expérimentaux, testés pour 6 mois à un an, par les entreprises qui ont répondu à son appel à projets pour un mobilier urbain intelligent. Sur la quarantaine de projets sélectionnés, 25 ont été déployés sur plus de 35 lieux publics répartis sur l’ensemble des arrondissements de Paris qui sont ainsi devenus des zones d’expérimentations, dans lesquelles les Parisiens ont pu venir tester en conditions réelles les équipements et services de la ville du futur. Les projets
Robot d'indexation Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pour les articles homonymes, voir Spider. Fonctionnant sur le même principe, certains robots malveillants (spambots) sont utilisés pour archiver les ressources ou collecter des adresses électroniques auxquelles envoyer des courriels. En Français, depuis 2013, crawler est remplaçable par le mot collecteur[1]. Il existe aussi des collecteurs analysant finement les contenus afin de ne ramener qu'une partie de leur information. Principes d'indexation[modifier | modifier le code] Pour indexer de nouvelles ressources, un robot procède en suivant récursivement les hyperliens trouvés à partir d'une page pivot. Un fichier d'exclusion (robots.txt) placé dans la racine d'un site Web permet de donner aux robots une liste de ressources à ignorer. Deux caractéristiques du Web compliquent le travail du robot d'indexation : le volume de données et la bande passante. Le comportement d'un robot d'indexation résulte de la combinaison des principes suivants :