Ville intelligente Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. L'expression « ville intelligente » est une traduction de l'expression smart city. Ce concept émergent — dont les acceptions sont mouvantes en français[1] — désigne un type de développement urbain apte à répondre à l'évolution ou l'émergence des besoins des institutions, des entreprises et des citoyens, tant sur le plan économique, social, qu'environnemental[2]. Une ville peut être qualifiée d’intelligente quand les investissements en capitaux humains, sociaux, en infrastructures d'énergie (électricité, gaz[3]), de flux (humains, matériels, d'information) alimentent un développement économique durable ainsi qu’une qualité de vie élevée, avec une gestion avisée des ressources naturelles, au moyen d'une gouvernance participative et d'une utilisation efficiente et intégrée des NTIC (en 1992 G. Dupuy parle à ce sujet d'« informatisation des villes »[4]). Le concept anglo-saxon de smart cities[modifier | modifier le code] Amsterdam Smart City.
tout le débat s'ouvrant DONC à partir de la "Avec mon ordinateur, j'ai ouvert et fermé la porte d'une banque" Il y a quelques jours, le département de la Sécurité intérieure des États-Unis a reconnu que le fonctionnement d'une centrale de production d'énergie avait été perturbé par une attaque informatique sur le sol américain. L'internaute français fo0_ explique au Point.fr tout ce qu'il est possible de faire, sans compétence particulière, depuis un simple ordinateur. Pour que les entreprises et les particuliers en soient enfin conscients. Pourquoi tant d'attaques en ce moment ? En fait, les attaques les plus spectaculaires sont dues au grand nombre d'Interface Scada. Ah bon, et qu'avez-vous réussi à faire, par exemple ? Il y a deux ans, j'ai eu accès au système de climatisation d'une école à Singapour. Tout cela depuis chez vous, tranquillement installé dans votre canapé ? Oui, et j'ai même pris le contrôle d'un crématorium... Est-ce compliqué ? Non, pas vraiment.
Domotique Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Représentation graphique schématique d'items relatifs à l'« habitat intelligent » (version évoluée de la domotique des années 1970-80), avec leurs relations entre eux et avec l'usager Maison de démonstration dite « Maison T-com », à Berlin Les domaines de la domotique[modifier | modifier le code] Exemple d'interface avec un logiciel de contrôle de l'éclairage Le Home cinema est l'un des « services » qui peut, être intégré dans la domotisation Exemple d'une famille de modules domotiques électroniques et électromécaniques (vannes, vérins) pouvant être commandés par une même unité centralisée Les principaux domaines dans lesquels s’appliquent les techniques de la domotique sont : Domotique et environnement[modifier | modifier le code] La domotique utilise des TIC qui peuvent être très consommatrices d'énergie et de matières rares ou précieuses. Avec le temps, la domotique tend à sortir de la maison. Coût de la domotique[modifier | modifier le code]
Demain, les réseaux sociaux d’objets La lecture de la semaine, il s’agit d’un article du New York Observer qui date de début novembre, article que l’on doit à Ben Popper et qui s’intitule “Créer le Facebook des objets”. L’article commence très à l’américaine, le journaliste raconte être assis en face d’une jeune entrepreneure du nom de Joe Einhorn, dans son bureau. Ils discutent. Soudain, Einhron regarde l’anneau que le journaliste porte au doigt et lui demande : “Qu’est-ce que c’est que ça ?”. “Google, poursuit le journaliste, a créé le plus gros moteur de recherche du monde en trouvant la meilleure manière de classer les relations entre les milliards de pages qui constituent le Web. Et son projet, c’est de conquérir ce territoire. Image : Homepage de l’un des services de Thing Daemon. Mais, remarque le journaliste, une base de données n’est pas très intéressante, ni même efficace, s’il n’y a pas quelque chose au-dessus d’elle, et si les gens ne se mettent pas à l’utiliser. Quelques mots sur ce papier. Xavier de la Porte
L’INTERNET DES OBJETS «L’Internet des objets» Aujourd’hui, c’est déjà demain La vie quotidienne de millions de personnes a été bouleversée par l’Internet, qui nous relie les uns aux autres, indépendamment des distances et des fuseaux horaires. Aujourd’hui, selon un rapport récemment publié par l’UIT, nous sommes à la veille d’une nouvelle révolution: au cours des vingt prochaines années, le nombre d’internautes, pourtant en pleine augmentation, sera vraisemblablement infime par rapport à la multitude d’objets inanimés qui pourront communiquer les uns avec les autres par voie électronique. Par exemple, les réfrigérateurs pourront échanger des informations avec les rayonnages des supermarchés, les machines à laver pourront faire de même avec les vêtements — et même les vêtements que vous portez pourront «parler» à d’autres objets qui vous entourent. La mise en place de l’infrastructure nécessaire à l’Internet des objets avance à grands pas (Figure 1). Les technologies en vedette De nouveaux marchés potentiels
Radio-identification Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Une puce de radio-identification EPC utilisée par Wal-Mart La radio-identification, le plus souvent désignée par le sigle RFID (de l’anglais radio frequency identification), est une méthode pour mémoriser et récupérer des données à distance en utilisant des marqueurs appelés « radio-étiquettes » (« RFID tag » ou « RFID transponder » en anglais)[1]. Les radio-étiquettes sont de petits objets, tels que des étiquettes autoadhésives, qui peuvent être collés ou incorporés dans des objets ou produits et même implantés dans des organismes vivants (animaux, corps humain[2]). Ces puces électroniques contiennent un identifiant et éventuellement des données complémentaires. Cette technologie d’identification peut être utilisée pour identifier : Principe[modifier | modifier le code] Lecteurs[modifier | modifier le code] Radio-étiquettes[modifier | modifier le code] Le marqueur se compose : Contraintes[modifier | modifier le code]
Repenser l?internet des objets (1/3) : L?internet des objets n?est pas celui que vous croyez ! ? InternetActu.net Par Daniel Kaplan le 23/04/09 | 18 commentaires | 6,410 lectures | Impression L’”internet des objets” (internet of things), ne mérite pas son nom, explique Daniel Kaplan, délégué général de la Fondation internet nouvelle génération (Fing). D’une part, parce que la mise en réseau des objets se réalise aujourd’hui en silos – applications, services, organisations –, ce qui n’a rien à voir avec l’interconnexion généralisée qu’incarne l’idée d’inter-réseau. L’objet internet Le 30 juin 2008, la justice française tranchait en faveur de LVMH dans son conflit avec eBay. Ce second motif nous intéresse beaucoup. Un objet de l’internet, en quelque sorte. La confusion des mots Le sac Vuitton apparaît alors comme une incarnation possible de l’”internet des objets”. D’autres y ajoutent les capteurs, des objets producteurs de données. Les multiples récits de l’internet des objets Admettons donc que ce qui précède décrive le substrat technologique de l’internet des objets. Daniel Kaplan
L’Internet des objets - Définir l’internet des objets 1L’internet des objets est une notion complexe. Entre les puces RFID, les solutions de nommage ou middlewares, l’internet des objets est composé de nombreux éléments complémentaires ayant chacun leurs propres spécificités. Pour mieux appréhender la notion, nous proposons de définir les grands principes de l’IdO tels qu’ils apparaissent aujourd’hui à la lecture des recherches et des rapports réalisés sur la question. 2Si tout le monde ou presque est d’accord pour dire que l’IdO est, sinon l’internet du futur, du moins une dimension fondamentale de l’internet de demain, il n’existe pas de définition standard, unifiée et partagée de l’internet des objets. Conceptuellement : l’apparition d’identités nouvelles pour les objets 1 Anonyme. 2008. 3Certains définissent l’IdO comme des « objets ayant des identités et des personnalités virtuelles, opérant dans des espaces intelligents et utilisant des interfaces intelligentes pour se connecter et communiquer au sein de contextes d’usages variés1 ».
L'internet des objets Dans la vision globale de l'Internet des objets, les objets qui nous entourent sont dotés d'une capacité à communiquer, traiter des informations, prendre des décisions, envoyer des informations et des commandes. Ces fonctionnalités rendent ces objets « intelligents » dans le sens où ils sont capables d'opérer de manière autonome. L'Internet des objets repose donc sur des communications entre machines (M2M), sans intervention humaine dans ces échanges. L'idée est donc que ces objets soient simplement installés et mis en fonctionnement. Pour ce faire, nombre de ces objets utiliseront des communications sans fil et fonctionneront sur pile, voire sur un système de récupération d'énergie. Ces objets peuvent être...
Objet Connecté : histoire et définitions | Internet des Objets, IoT, objets connectés… Autant de termes qui peuvent paraître flous pour les moins technophiles, imprécis pour les autres. A l’heure où les objets connectés se démocratisent un peu plus chaque jour, revenons un moment sur leur histoire et l’origine de ce que nous appelons l’IoT. Définitions des objets connectés, de l’Internet of Things (IoT) et de l’Internet des Objets (IdO) Toutes ces notions se mélangent un peu, pas vrai ? L’Internet des Objets désigne la « connexion » de ces objets à un réseau plus large, que ce soit directement (par Wi-Fi par exemple), par l’intermédiaire du smartphone de l’utilisateur (souvent via une connexion Bluetooth) ou grâce à des protocoles de communication qui leur sont propres, et qui permettraient aux objets de communiquer entre eux (les protocoles domotiques comme Z-Wave ou Zigbee étant ce qui s’en rapproche le plus). Source : L’Internet des objets de Pierre-Jean Benghozi, Sylvain Bureau et Françoise Massit-Folléa (Edition MSH)
Web des Objets Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Le Web des Objets désigne l'intégration de tout appareil interrogeable et/ou contrôlable à distance, dans le monde du World Wide Web. La création de réseaux d'objets intelligents à grande échelle, provenant du monde réel (dotés par exemple de puces RFID[note 1], faisant partie de réseaux de capteurs sans-fil, ou encore les systèmes embarqués) est devenu le but de nombreuses activités de recherches récentes et variés. Dans le Web des Objets, les technologies populaires du Web (HTML, JavaScript, AJAX[note 2], …) peuvent être utilisées pour développer des applications qui font appel à des objets intelligents. De multiples prototypes utilisent ces principes, dans un environnement de capteurs, de systèmes de supervision d'énergie et d'objets RFID sur le Web. Définition[modifier | modifier le code] Description du Web des Objets Ainsi tout objet connecté devient alors une ressource disponible sur le Web. Web social[modifier | modifier le code]
Internet des objets L'Internet des objets est un néologisme qui se rapporte à l'extension d'Internet à des objets et à des lieux dans le monde réel. L'Internet que nous connaissons ne se prolonge pas au delà du monde électronique. L'Internet des objets a pour but de prolonger l'Internet (Internet est le réseau informatique mondial qui rend accessibles au public des services variés comme le courrier électronique, la messagerie instantanée et le World Wide Web, en utilisant le protocole de...) au monde (Le mot monde peut désigner :) réel en fixant des étiquettes munies de codes ou d'URLs aux objets ou aux lieux. Ces étiquettes pourront être lues par un dispositif mobile sans fil et des informations relatives à ces objets et lieux seront retrouvées et affichées. Composants système Une étiquette physique (La physique (du grec φυσις, la nature) est étymologiquement la « science de la nature ». Étiquettes et systèmes de lecture d'étiquettes Étiquettes RFID Étiquettes graphiques Étiquettes de type SMS Standardisation