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Web sémantique

Web sémantique
Web sémantique La majorité du Web est destiné à être lu. Il n'est pas fait pour être manipulé de façon intelligente par des programmes informatiques, en général incapables de caractériser les informations qu’ils parcourent.Le Web sémantique vise à faciliter l'exploitation des données structurées, pour donner du sens au contenu des pages Web, en permettant leur interprétation par des machines. Il ne s’agit pas d’un web à part, mais plutôt d’une extension ou d’une amélioration du Web courant où chaque donnée acquiert un sens défini, afin de créer un réseau d'informations structurées, disponibles en ligne et facilement réutilisables. Généralités AMAR, Muriel et MENON, Bruno. SUR, Serge, BLOCH, Laurent, BOULLIER, Dominique, et al. BNF. PEYRARD, Sébastien. LACOMBE, Elisabeth et LINK-PEZET, Jo (trad.). BERNERS-LEE, Tim et FISCHETTI, Mark. Utilisation et mise en œuvre en bibliothèque BERMES, Emmanuelle. HANNEMANN, Jan, KETT, Jürgen, RIVIER Alexis (trad.). WILLER, Mirna, DUNSIRE, Gordon. Related:  notionsDéfinitions

Archives « Archives masala Non, non, ce blog n’est pas (complètement) mort. Il est juste en hibernation profonde (on le comprend et on l’envie), avec quelques rares soubresauts de conscience. Donc, avant de retourner dormir roulée en boule au fond de ma grotte, voici en guide de soubresaut le compte-rendu de la journée d’étude "La recherche aux archives, nouveaux outils, nouveaux publics" organisée par les Archives de la Vendée le 29 novembre dernier, que j’ai rédigé pour la lettre Archivistes ! de l’AAF (oui, je me suis réveillée assez longtemps pour publier sur ce blog, pas pour écrire un billet spécifiquement dédié, on en reparlera à la fonte des neiges…). Bon, ben c'est pas tout, ça, mais après tous ces efforts je vais peut-être retourner me coucher, moi... Comme le rappelle en préambule M. Les Archives de Vendée ont en effet initié depuis quelques années les travaux qui aboutissent aujourd’hui à la mise en ligne d’un ensemble remarquable d’outils de diffusion innovants et collaboratifs :

Valorisation des données publiques culturelles, moteur d’une économie numérique L’accès, l’organisation, de l’espace public numérique est l’objet d’une concurrence accrue entre les acteurs du secteur et questionne les modèles économiques établis jusqu’alors. L’un des enjeux apparaît ainsi être pour ces acteurs le développement de services innovants et attrayants permettant une mise à disposition au public de contenus dans un environnement Internet interopérable et sans frontière. Cette problématique trouve un écho particulier à l’heure où la réflexion s’intensifie autour des sujets liés à la diffusion et la valorisation des contenus culturels et plus encore des données publiques culturelles, sur Internet et les réseaux. Les données publiques sont au cœur des enjeux socio-économiques actuels et constituent une matière première de grande valeur qu’il convient de pouvoir valoriser, réutiliser et s’approprier. La valeur des données publiques en tant qu’actif immatériel réside au-delà et indépendamment de la personne de leur créateur.

Qu’est-ce que l’identité numérique ? - Semji Définition de l’identité numérique L’identité numérique est l’ensemble des traces numériques qu’une personne ou une collectivité laisse sur Internet. Toutes ces informations, laissées au fil des navigations, sont collectées par les moteurs de recherche, comme Google, et sont rendues public. Une identité numérique, ou IDN, peut être constituée par : un pseudo, un nom, des images, des vidéos, des adresses IP, des favoris, des commentaires etc. Cette identité virtuelle se crée par le biais des réseaux sociaux, comme Facebook ou Twitter, ou des publications sur un blog. Même si Google a mis en place un formulaire pour adresser des demandes de droit à l’oubli, celui-ci reste très compliqué à remplir. Même si elle se bat pour protéger nos identités numériques, cette notion n’est toujours pas définie clairement par le droit. Les différents types d’identité numérique L’identité déclarative L’identité calculée L’identité agissante Pourquoi protéger son identité numérique ? Changer de mot de passe

Tag Tag Un tag est un mot-clef, ou étiquette, utilisé par les usagers d’un service pour indexer une ressource. Les « tags » permettent d’indexer tout type de document (livres, photos, courriels, cartes géographiques, notices de catalogues …) et s’apposent de manière simple, rapide, souple, gratuite, instantanée. Ils proposent une indexation fine de l’ensemble des thèmes d’une même page et complètent ainsi une classification par catégorie. Généralités DURIEUX, Valérie. PETERS, Isabella. CREPEL, Maxime. FRANCIS, Elie et QUESNEL, Odile. Utilisation et mise en œuvre en bibliothèque FREMAUX, Pierre. LEBRETON, Claire. LE DEUFF, Olivier. Voir aussi Recherche d’information (recherche documentaire) /

Web sémantique, Web de données : présentation On désigne généralement par le terme de Web sémantique un ensemble de technologies développé par le W3C (l'un des principaux organismes de normalisation du Web) visant à faciliter l'exploitation des données structurées, notamment en permettant leur interprétation par des machines. Le Web de données (Linked Data en anglais) combine les technologies du Web sémantique avec les principes fondamentaux du Web (protocole HTTP, identifiants URI), avec pour objectif la construction d'un réseau d'informations structurées, disponibles en ligne et facilement réutilisables dans de nombreux contextes. Le Web sémantique Le terme de Web sémantique a été proposé par Tim Berners Lee en 2001 (« The Semantic Web », Scientific American Magazine , May 17, 2001) pour désigner une évolution du Web qui permettrait aux données disponibles (contenus, liens) d’être plus facilement utilisables et interprétables automatiquement, par des agents logiciels . Le Web de données Autres ressources majeures :

Une définition simple du web sémantique | Why bioub? Pour paraître savant, il m’arrive de temps à autre de présenter BaseClip très vaguement : « on fait du web sémantique »… Je me doute bien que dans 99,99% des cas mon interlocuteur ne sait pas ce qui se cache derrière cette phrase, quand bien même il aurait déjà vu ou entendu l’expression. Logo BaseClip Mais alors le web sémantique, qu’est-ce que c’est ? Pour comprendre il faut commencer par s’intéresser à deux concepts de linguistique qui sont mis en opposition : la syntaxe et la sémantique. En somme la syntaxe porte sur la forme des phrases, c’est à dire les caractères et les mots employés, tandis que la sémantique concerne le fond, le sens. Ainsi les deux phrases suivantes ont deux syntaxes différentes mais une seule et même sémantique : Chef d’État américainPrésident des États-Unis d’Amérique Le web tel que nous le connaissons a été inventé par Tim Berner-Lee dans les années 80. Alors en quoi le web sémantique va-t-il améliorer notre quotidien ? Google Powerset TrueKnowledge Le challenger.

Libre accès à l’information scientifique et technique Recherche d’information (recherche documentaire) Recherche d’information (recherche documentaire) La recherche d’information a évolué parallèlement aux technologies de stockage des données. Autrefois, elle s’effectuait à travers la consultation des catalogues papier des bibliothèques et de bibliographies spécialisées imprimées. Fastidieuse quand il fallait consulter les index bibliographiques annuels ou mensuels, elle s’est automatisée avec l’apparition de bases bibliographiques en ligne. Mais la complexité du langage d’interrogation et les coûts de communication et de consultation de ces bases nécessitaient le recours à un professionnel expert. L’apparition des cédéroms bibliographiques a déporté sur l’utilisateur final le temps d’interrogation. Ressources BOUCHARD, Aline. Apprendre à trouver. FOENIX-RIOU, Béatrice. NOËL, Élisabeth (dir.). MULLER, Joëlle. ERTZSCHEID, Olivier. DUJOL, Anne. BERGIA, Catriona. GLEYZE, Alain. Voir aussi

Gallica, la Bibliothèque numérique de la BnF Gallica est l’une des plus importantes bibliothèques numériques accessibles gratuitement sur l’internet. Elle offre l'accès à tous types de documents : imprimés (livres, presse et revues) en mode image et en mode texte, manuscrits, documents sonores, documents iconographiques, cartes et plans. Gallica s’adresse à tout lecteur, du curieux au bibliophile, du lycéen à l'universitaire. Une bibliothèque patrimoniale et encyclopédique Témoignages du patrimoine écrit français et de son rayonnement en Europe et dans le monde, les documents retenus par la BnF ont été choisis de façon à constituer une bibliothèque encyclopédique et raisonnée, représentative des grands auteurs français et des courants de recherche et de réflexion par delà les siècles. Les équipes chargées de l’enrichissement de Gallica travaillent en outre en concertation avec les chercheurs pour accompagner les grands courants actuels de recherche. Le fonds Gallica Le fonds Gallica donne accès aux collections suivantes.

Pourquoi il faut que l’ADBS signe le manifeste fadben: Un débat agite actuellement les administrateurs de l’Adbs autour du manifeste Fadben. Une discussion se produit sur linkedin sur l’opportunité ou non de signer au nom de l’Association ce manifeste. Ce manifeste s’inscrit dans une lignée similaire à celle de l’article d’Olivier Ertzscheid. Evidemment, je souhaite ardemment cette signature. Selon moi, ce soutien s’inscrirait dans la lignée qui a poussé l’Adbs a être longtemps porteuse des premiers débats autour de la culture de l’information et de la nécessité de veiller à sa diffusion la plus large possible en dehors des sphères documentaires. Une des critiques du débat sur linkedin provient du fait que la revendication de la Fadben serait corporatiste puisqu’elle constituerait une volonté de créer une nouvelle discipline à l’heure où il serait plutôt opportun de créer du transdisciplinaire ou tout au moins de l’interdisciplinaire. D’autre part, plusieurs travaux ont montré que cette situation de bricolage est inefficace.

De l’importance des archives Voici notre premier billet d’une série expliquant en détail le fonctionnement d’un centre d’archives. Dans ce billet, nous vous expliquons pourquoi il est nécessaire de préserver les documents archivistiques pour les générations futures. En 2011, l’UNESCO reconnaissait officiellement l’importance des archives en adoptant la Déclaration universelle sur les archives (DUA). Il s’agissait d’une véritable victoire pour le monde archivistique. La déclaration devient alors l’un des outils principaux pour la défense et la promotion des archives. Qu’est-ce qu’un document archivistique? Qui pense « archives » pense nécessairement ancien, mais ce n’est pas toujours le cas! Ainsi, les documents archivistiques peuvent être textuels, photographiques, sonores, audiovisuels, cartographiques, artistiques et même informatiques. Cette affiche datant de la Première Guerre mondiale, maintenant un document archivistique, provient de la Collection des affiches de guerre des Archives de l’Ontario.

Formation des utilisateurs Formation des utilisateurs En bibliothèque universitaire, l’informatisation des ressources, essentiellement les bases de données bibliographiques, a poussé, dès les années 1970, à vouloir former les utilisateurs pour les rendre autonomes dans leur recherche. L’évolution des outils et de la documentation scientifique a peu à peu élargi le domaine de formation, de la recherche documentaire à la gestion de son information, pour aller vers une maîtrise de l’information incluse dans les cursus universitaires.En lecture publique, la formation des utilisateurs tourne plutôt autour de la maîtrise d’outils informatiques, de l’apprentissage des langues, ou de l’autoformation.Le service FORMIST (FORMation à l'Information Scientifique et Technique) a été mis en place à l'enssib en 1999, pour rassembler et évaluer les ressources pédagogiques sur la formation à l’information, alors encore rares. Dossiers Formation des usagers. La formation des usagers. Colloques ENSSIB. NOËL, Élisabeth. Ressources

Journée d'étude sur l'Ouverture et réutilisation des données culturelles Journée d’étude du 19 avril La première journée est construite sur un format conférences. Elle a pour objectif d’informer les participants sur ces questions inhérentes à l’Open data – qu’ils soient du côté producteurs de données et/ou réutilisateurs – mais aussi de permettre à chacun d’exprimer ses interrogations, ses attentes, ses craintes concernant les processus d’ouverture ou les modalités de réutilisation. Les interventions structurent la journée en deux. La première partie permettra : d’expliciter ce que l’on met derrière le terme « donnée », d’aborder la question de l’Open data général et son inscription dans la sphère culturelle en s’appuyant sur de nombreux exemples à travers le monde ; de faire un point sur les questions juridiques et économiques, ainsi que sur la question des licences libres. 9h – Présentation des projets numériques de l’AGCCPF PACAJakline Eid, AGCCPF PACA, responsable du groupe de travail « Publics » Pause déjeune Journée Ateliers du 20 avril

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