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Information Economy Meta Language

Information Economy Meta Language
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Information Economy Meta Language (IEML, fr. : métalangage de l'économie de l'information) est un langage informatique. Dans le monde, une quarantaine de personnes travaillent actuellement sur le projet, dont des chercheurs du laboratoire Paragraphe de Paris VIII, du MCR Lab de l’Université d’Ottawa et des informaticiens de l'association DixièmeFamille.com. L'objectif est d'arriver à des applications concrètes d'ici 2010. Structure du métalangage[modifier | modifier le code] Synoptique de la grammaire[modifier | modifier le code] La grammaire d'IEML comporte quatre parties. 1) La structure fondamentale : le flux d'information circulant entre une source et une destination (optionnel : traductrice). 2) cinq éléments, composantes primitives des flux : Pôle pragmatique O : le virtuel Ul'actuel APôle sémantique M : le signe Sl'être Bla chose T. 4) Les graphes, ou textes IEML : flux d'information entre glyphes. Dictionnaires[modifier | modifier le code] Related:  Sémantique

Métalangage Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Un métalangage est un formalisme conçu pour décrire rigoureusement un langage. Si le langage en question est décrit par une grammaire, la description de la grammaire est le métalangage. Meta language ou ML : langage de programmation conçu pour décrire d'autres langages de programmation et écrire leurs compilateurs, pour programmer des systèmes de preuve formelle et plus généralement pour programmer des applications.NSM (Natural Semantic Metalanguage) permet la description de scripts linguistiques avec peu de mots (< 80).Métamodèle.

Natural Semantic Metalanguage Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Le Natural Semantic Metalanguage (NSM) est une approche sémantique basée sur la réduction des concepts à des mots clés ou primitives sémantiques (en anglais: primes, ou semantic primitives) afin de définir de façon très simple des idées complexes ou même des scénarios. Ces primitives sont supposées être des concepts irréductibles ou atomiques. Cette façon de voir plonge ses racines dans le XVIIIe siècle avec les travaux de Descartes et Leibniz. Le NSM est une façon de décrire les mots et concepts d'une langue naturelle avec le moins de vocabulaire possible, comme dans un glossaire résolument simplifié. Vue d'ensemble[modifier | modifier le code] Les mots d'un langage humain sont analysables par une suite de primitives NSM. Plante: living things / these things can't feel something / these things can't do something Anna Wierzbicka a créé la théorie du NSM au début des années 1970 (Wierzbicka 1972). Substantifs Prédicats mentaux Parole Existence Temps

Logique de description Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Les logiques de description aussi appelé logiques descriptives (LD) sont une famille de langages de représentation de connaissance qui peuvent être utilisés pour représenter la connaissance terminologique d'un domaine d'application d'une manière formelle et structurée. Le nom de logique de description se rapporte, d'une part à la description de concepts utilisée pour décrire un domaine et d'autre part à la sémantique basée sur la logique qui peut être donnée par une transcription en logique des prédicats du premier ordre. Origines et applications des logiques de description[modifier | modifier le code] Les logiques de description forment une famille de langages de représentation de connaissances qui peuvent être utilisés pour représenter la connaissance terminologique d'un domaine d'application d'une façon structurée et formelle. Définition des logiques de description[modifier | modifier le code] , où Sémantique[modifier | modifier le code] .

Web sémantique Logo du W3C pour le Web sémantique Le Web sémantique, ou toile sémantique[1], est une extension du Web standardisée par le World Wide Web Consortium (W3C)[2]. Ces standards encouragent l'utilisation de formats de données et de protocoles d'échange normés sur le Web, en s'appuyant sur le modèle Resource Description Framework (RDF). Le web sémantique est par certains qualifié de web 3.0 . Alors que ses détracteurs ont mis en doute sa faisabilité, ses promoteurs font valoir que les applications réalisées par les chercheurs dans l'industrie, la biologie et les sciences humaines ont déjà prouvé la validité de ce nouveau concept[5]. L'article original de Tim Berners-Lee en 2001 dans le Scientific American a décrit une évolution attendue du Web existant vers un Web sémantique[6], mais cela n'a pas encore eu lieu. Histoire[modifier | modifier le code] Tim Berners-Lee à l'origine exprimait la vision du Web sémantique comme suit : — Tim Berners-Lee, Weaving the Web[13] — Weaving the Web[13]

Web Ontology Language Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pour les articles homonymes, voir OWL. Le langage OWL est basé sur les recherches effectuées dans le domaine de la logique de description. Il peut être vu en quelque sorte comme un standard informatique qui met en oeuvre certaines logiques de description, et permet à des outils qui comprennent OWL de travailler avec ces données, de vérifier que les données sont cohérentes, de déduire des connaissances nouvelles ou d'extraires certaines informations de cette base de données. Une extension de RDF[modifier | modifier le code] En pratique, le langage OWL est conçu comme une extension de Resource Description Framework (RDF) et RDF Schema (RDFS) ; OWL est destiné à la description de classes au travers de caractéristiques des instances de cette classes et de types de propriétés. RDF permet par exemple de décrire que <Jean> est le père de <Paul>, au travers des individus <Jean>, <Paul>, et de la relation est le père de. .

La sémantique générale Négation (linguistique) Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pour les articles homonymes, voir négation. Bien que nécessairement liés à la négation logique, les multiples faits de langue correspondants posent des problèmes d’interprétation spécifiques, qui gagnent à être étudiés dans un cadre non strictement syntaxique ou monolinguistique. Les points de vue des linguistes étant variés, discutés et parfois contradictoires, il n'est pas question ici de proposer une théorie de la négation lisse et cohérente mais plutôt de rassembler, en les résumant, des données et des idées éparpillées ici et là, en mentionnant les sources. Sur les autres projets Wikimedia : négation, sur le Wiktionnaire Comme beaucoup de termes abstraits similaires, le mot négation prend plusieurs sens qui, plutôt qu'à des cas d'homonymie ou même de polysémie, correspondent aux différents aspects d'un même concept : En grammaire traditionnelle, on distingue habituellement[6] trois (ou quatre) types principaux de phrases simples :

Hypothèse de Sapir-Whorf Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pour les articles homonymes, voir Sapir. En linguistique et en anthropologie, l’hypothèse de Sapir-Whorf (HSW) soutient que les représentations mentales dépendent des catégories linguistiques, autrement dit que la façon dont on perçoit le monde dépend du langage. Une thèse du relativisme linguistique[modifier | modifier le code] Avant Sapir et Whorf[modifier | modifier le code] La question de savoir dans quelle mesure le langage joue un rôle important dans notre représentation du monde est une problématique centrale de la philosophie du langage et de ce qu'on a nommé plus récemment la philosophie de l'esprit. Dans cette lignée, Wilhelm von Humboldt, par ailleurs considéré comme un précurseur de la linguistique moderne, peut aussi prétendre à une paternité sur l'hypothèse de Sapir-Whorf. Depuis quelques années, le travail de Humboldt a fait l'objet de plusieurs études en français (voir Trabant et Meschonnic). — Détrie, Siblot, Vérine, [4]

Analogie Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Une analogie est un processus de pensée par lequel on remarque une similitude de forme entre deux choses, par ailleurs de différentes natures ou classes. Dans le discours, une analogie explicite est une comparaison, tandis qu'une analogie implicite est une métaphore. La comparaison entre 2 routes tortueuses n'est pas une analogie, car ce sont 2 objets de même type : c'est une simple ressemblance. En revanche, dire qu'une route serpente est une analogie : on repère ici la similitude entre 2 choses de type différent. En grec, ἀναλογία (analogia) signifie proportion. Grammaire et linguistique[modifier | modifier le code] Phonétique[modifier | modifier le code] beb-er / beb-ido : coc-er / x ; x = coc-ido. Inversement, le verbe hacer fait bien son participe passé en hecho, forme normale d'après l'évolution phonétique mais irrégulière en regard des autres participes passés. Sémantique[modifier | modifier le code] Logique[modifier | modifier le code]

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