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Henri Laborit

Henri Laborit
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pour les articles homonymes, voir Laborit. Henri Laborit Portrait d'Henri Laborit par E. Mandelmann (1991). Henri Laborit (né le à Hanoï, alors en Indochine française, et mort le à Paris) est un médecin chirurgien et neurobiologiste. Il introduit en 1951 l'utilisation des neuroleptiques, révolutionnant la psychiatrie, et celle du GHB en 1960, révolutionnant l'anesthésie. Il se fait connaître du grand public par la vulgarisation des neurosciences, notamment en participant au film Mon oncle d'Amérique d'Alain Resnais. Biographie[modifier | modifier le code] Henri Laborit naît d'un père officier médecin des troupes coloniales en Indochine, qui meurt alors que son fils n'a que cinq ans. Il est le père de l'actrice Maria Laborit, du psychiatre Jacques Laborit et le grand-père de l'actrice Emmanuelle Laborit, fille de ce dernier, mais aussi de Marie Noël, Philippe et Jean Laborit. Travaux scientifiques[modifier | modifier le code] Portent son nom : ↑ H. Related:  vulgarisationPhilosophie

Éloge de la fuite de Henri LABORIT Les citations suivantes [1] sont extraites de LABORIT Henri, Éloge de la fuite, Éditions Robert Laffont, 1976. De l’usage de l’Utopie L’Homme n’est capable de réaliser que des modèles utopiques. Ces modèles sont irréalisables tels qu’il les a imaginés et il s’en aperçoit aussitôt qu’il tente de les réaliser. L’erreur de jugement et l’erreur opérationnelle consistent alors à s’entêter dans la réalisation de l’irréalisable, et de refuser l’introduction dans l’équation des éléments nouveaux que la théorie n’avait pas prévus et que l’échec a fait apparaître ou que l’évolution des sciences, et plus simplement encore des connaissances humaines, permet d’utiliser, entre le moment où le modèle a été imaginé et celui où la réalisation démontre son inadéquation au modèle. Ce n’est pas l’Utopie qui est dangereuse, car elle est indispensable à l’évolution. La morale de Don Quichotte Don Quichotte avait raison. Information et possibilité d’action (1) Information et possibilité d’action (2)

Jann-Marc Rouillan : interview exclusive ! le 21 août, 2012 dans Les prohibés par Diktacratie En plein cœur du mois de juillet 2012, à Marseille, nous avons rencontré Jann-Marc Rouillan. Accompagné de fidèles camarades, cette figure historique de la résistance radicale des années 70-80 nous livra son expérience et ses réflexions dans une entrevue généreuse et décontractée. Partie 1 : Gouvernance nationale vs transnationale ; Concentration des pouvoirs et globalisation ; Marseille dans Autopsie du dehors ; Lutte des classes et gauche institutionnelle ; Conscience citoyenne ; Servitude volontaire vs Résistance ; Individualisme vs collectivisme ; Pouvoirs et partage ; Logiques de partis et extrême gauche.Jann-Marc Rouillan / DIKTACRATIE : L’entrevue -… par DIKTACRATIE Partie 2 : « La désobéissance civile » : mots et pratique ; Lutte et liberté ; Comment vivre dans le système capitaliste ? Kelly Schmalz & Yohan De Doncker Ecrit par : Diktacratie Le site de cet auteur est

Pensée complexe Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Ce concept exprime une forme de pensée acceptant les imbrications de chaque domaine de la pensée et la transdisciplinarité. Le terme de complexité est pris au sens de son étymologie « complexus » qui signifie « ce qui est tissé ensemble » dans un enchevêtrement d'entrelacements (plexus). Définition d'Edgar Morin[modifier | modifier le code] Nuage de tags « complexe » « Quand je parle de complexité, je me réfère au sens latin élémentaire du mot "complexus", "ce qui est tissé ensemble". Principes[modifier | modifier le code] Il convient davantage de parler de pensée complexe que de « pensée critique », puisque la pensée complexe englobe les trois modes de pensée : critique, créative et responsable. Principes sous-jacents[modifier | modifier le code] Edgar Morin invite à réformer la pensée et à entrer dans un paradigme de complexité ou encore à se doter d'une épistémologie complexe. [réf. nécessaire] Le tiers inclus[modifier | modifier le code]

Immanuel Velikovsky Immanuel Velikovsky en 1974. Biographie[modifier | modifier le code] Ses travaux, en tant que psychiatre, portent sur le phénomène de l'amnésie collective. Sa théorie[modifier | modifier le code] Les prémices de sa théorie[modifier | modifier le code] Durant ses études et un séjour à Vienne, il assiste au débat entre Sigmund Freud et Karl Abraham au sujet des ressemblances entre l'Œdipe légendaire et le pharaon Akhénaton historique. Mondes en collision[modifier | modifier le code] En 1940, Immanuel Velikovsky compare les chronologies des civilisations égyptienne et hébraïque. Celui-ci ne doit pas passer inaperçu : l'Égypte est dévastée. La version originale de son livre Le Désordre des siècles paraît en 1952 : il y aurait un décalage de sept siècles entre les événements relatés dans chacune des deux chronologies. Ce livre a été sujet à maintes controverses, parmi lesquelles : « des thèses totalement ridicules […] et qui ne respectent aucune loi physique » Œuvres[modifier | modifier le code]

Eloge de la fuite Henri Laborit Eloge de la fuite Quand il ne peut plus lutter contre le vent et la mer pour poursuivre sa route, il y a deux allures que peut encore prendre un voilier : la cape (le foc bordé à contre et la barre dessous) le soumet à la dérive du vent et de la mer, et la fuite devant la tempête en épaulant la lame sur l’arrière avec un minimum de toile. La fuite reste souvent, loin des côtes, la seule façon de sauver le bateau et son équipage. Elle permet aussi de découvrir des rivages inconnus qui surgiront à l’horizon des calmes retrouvés. Rivages inconnus qu’ignoreront toujours ceux qui ont la chance apparente de pouvoir suivre la route des cargos et des tankers, la route sans imprévu imposée par les compagnies de transport maritime. Vous connaissez sans doute un voilier nommé « Désir ». Nous ne vivons que pour maintenir notre structure biologique, nous sommes programmés depuis l’œuf fécondé pour cette seule fin, et toute structure vivante n’a pas d’autre raison d’être que d’être. Amour Amour. La mort

Bienvenue - Association Pour André Gernez Après un an dans l’espace, l’astronaute Scott Kelly a beaucoup changé. La preuve Imaginez envoyer un astronaute dans l’espace pendant un an et pouvoir comparer les réactions de son corps à celles de son jumeau resté, lui, sur Terre. C’est exactement ce qu’a fait la Nasa, qui a publié jeudi 12 avril les résultats d’une étude permettant de donner une meilleure idée des conséquences sur les humains de longs séjours dans l’espace. Cette étude va « guider la recherche biomédicale spatiale et permettre des voyages plus sûrs vers Mars », s’est réjoui Steven Platts, directeur adjoint du programme de la Nasa consacré aux missions habitées. L’arrivée du premier humain sur Mars, après un vol qui pourrait durer de deux à trois ans, est prévue par l’agence américaine en 2033. L’astronaute américain Scott Kelly, 50 ans, a passé un an dans la Station spatiale internationale (ISS), pendant que son frère Mark Kelly, ancien astronaute lui-même, restait sur Terre. Les chercheurs ont observé attentivement les changements provoqués par leurs environnements respectifs sur leur corps.

Hans Hörbiger Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Biographie[modifier | modifier le code] À partir de 1891, Hörbiger, chez le constructeur de machines Lang à Budapest, approfondit les techniques de la chaleur et du froid. En 1896, il dépose un brevet de soupape à disques d’acier (connue depuis sous le nom de « soupape Hörbiger ») qui lui apporte une certaine aisance. Il s’intéresse à une soupape à disques de faible masse et actionnée par une bielle sans frottement destinée aux ventilateurs, les pompes et les compresseurs (brevet DRP 87267 du 7 août 1895). Après 1918, les licences venant de l’étranger sont en chute libre et l’inflation des années 1920 mettent à mal sa fortune. Doctrine de la glace éternelle[modifier | modifier le code] Il devient connu du grand public en 1912 à la suite de la publication du livre Hörbigers Glacial-Kosmogonie sur lequel il travaillait depuis 1894. Hörbiger affirme que les « lunes » sont des blocs de glace géants captés par la force de gravité de la Terre.

Mon oncle d’Amérique Mon oncle d’Amérique Alain Resnais On prend un rat que l’on le met dans une cage à deux compartiments séparés par une cloison dans laquelle se situe une porte et dont le plancher de l’un des compartiments est électrifié intermittemment. Cet animal qui subit cet exercice pendant une dizaine de minutes par jour pendant sept jours va être en parfait état : son poil est lisse, il ne fait pas d’hypertension artérielle ; il a évité par la fuite la punition, il s’est fait plaisir, il a maintenu son équilibre biologique. Ce qui est facile pour un homme en cage est beaucoup plus difficile pour un homme en société. Quand deux individus ont des projets différents ou le même projet et qu’ils sont en compétition pour la réalisation de ce projet, il y a un gagnant et un perdant. Il n’y a pas d’instinct de propriété. Nous ne sommes jamais que les autres. Dès le plus jeune âge, la survie du groupe est liée à l’apprentissage pour le petit de l’homme de ce qui est nécessaire pour vivre en société.

Cornelius Castoriadis Cornelius Castoriadis en 1990. Cornelius Castoriadis [kɔʁneljys kastɔʁjadis][1] (en grec moderne : Κορνήλιος Καστοριάδης [korˈneːlius kastoriˈaðis][2]), né le 11 mars 1922 à Constantinople et mort le 26 décembre 1997 à Paris 7e[3], est un philosophe, économiste et psychanalyste grec, fondateur avec Claude Lefort du groupe Socialisme ou barbarie. Il consacra une grande partie de sa réflexion à la notion d'autonomie, comme disposition à faire être du nouveau, projet de société visant l'autonomie individuelle et collective, soit une démocratie « radicale », qu'il opposait à l'hétéronomie, constitutive selon lui des sociétés religieuses et traditionnelles, ainsi que des régimes matérialistes productivistes industriels, capitalistes et communistes. Biographie[modifier | modifier le code] Jeunesse et formation[modifier | modifier le code] En 1948[4], il devient économiste à l'OCDE, poste qu'il occupe jusqu'en 1970[14]. Socialisme ou barbarie (1949-1967)[modifier | modifier le code]

Les neuromythes Mémoire malléable ou apprendre en dormant ? « Comment améliorer votre mémoire ? » : cette formule publicitaire fleurit en général à l’approche des examens scolaires ou pour accompagner la vente de produits de parapharmacie censés nous aider à développer nos capacités de mémoire et, par analogie, nos capacités intellectuelles. l’exercice physique (Hillman et al., 2008 ; Winter et al., 2007 ; CERI, 2007) ;le sommeil (Rasch et al., 2006 ; Howard-Jones, 2010a), qui joue un rôle dans le processus d’encodage et de consolidation des informations, mais aucune théorie scientifique ne montre qu’on peut apprendre quoi que ce soit en dormant. Le mythe des 10 % d’utilisation du cerveau Les origines de ce mythe restent floues. Le mythe des périodes « critiques » Dire que l’on ne peut plus apprendre certaines choses après un certain âge se révèle aujourd’hui un neuromythe. Les recherches ont mis en évidence des périodes dites « sensibles » et non pas « critiques ». Le style d’apprentissage VAK

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