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Vidéo : le danger de la déflation

Vidéo : le danger de la déflation

Vidéo : les meilleurs placements VIDÉO - Ils ont mis de côté 15,3 % de leurs revenus au premier trimestre, mais délaissé les livrets au profit de placements plus rémunérateurs. Les Français font des économies. Le taux d'épargne dans l'Hexagone a atteint 15,3 % du revenu disponible brut au premier trimestre 2015, selon les chiffres publiés jeudi par la Banque de France. Cette année, entre baisse des taux d'intérêt et incertitudes économiques, ils ont donc joué la prudence, comme leurs voisins européens: le taux d'épargne des Allemands, des Italiens ou des Espagnols a lui aussi progressé au premier trimestre. Les Français ont aussi continué à retirer leurs capitaux des livrets d'épargne et autres comptes épargne logement (CEL), trop mal rémunérés, pour investir sur les plans épargne logement (PEL), les fonds euros sans risque des contrats d'assurance vie, mais aussi, dans ces contrats, sur les unités de compte, et notamment les sicav et FCP proposés par les assureurs.

Pourquoi les Français ont toujours l'impression de payer plus cher LE SCAN ÉCO/INFOGRAPHIES - La population n'a pas l'impression de voir les prix baisser au quotidien, malgré une inflation nulle ces derniers mois. Pourquoi ? Explications. Ce mercredi, l'Insee a confirmé que l'inflation a été nulle en moyenne sur l'ensemble de l'année, après avoir atteint 0,5% en 2014. Lorsqu'on demande aux internautes s'ils ressentent les effets de l'inflation nulle dans leur quotidien, les réponses restent les mêmes: «De semaine en semaine, je trouve que le coût de mes courses augmente» ou «les prix décollent dans le textile notamment mais pas la qualité des produits ou des services» ou «Ce qui a surtout augmenté, c'est le logement». Cette impression se confirme-t-elle dans les chiffres? Dès lors, comment peut-on expliquer ce décalage entre le ressenti des Français et la réalité économique? Un deuxième élément se trouve dans ce que l'Insee appelle les «dépenses préengagées» qu'on ne peut pas éviter, au moins à court terme.

Revenu universel: le débat de dimanche chez mémé ! Si vous vous ennuyez lors d'une réunion de famille, et que vous avez envie de lancer un bon vieux débat houleux, le Captain' vous conseille de poser innocemment la question: "Ah et d'ailleurs, vous en pensez quoi de la proposition du revenu universel?". Et là, vous allez avoir le droit à l'opposition classique entre, d'un côté, les partisans du "oh mais on va pas donner de l'argent à des gens qui foutent rien / non mais ça coûte une fortune c'est utopiste / non mais c'est stupide de verser un revenu à Liliane Bettencourt", et, de l'autre côté, le groupe des "il faut penser à la société post-travail où les robots remplacent les hommes / cela permet de laisser la liberté aux individus de faire ce qu'ils aiment vraiment / il faut diminuer la précarité et les inégalités". Mais en fait, c'est quoi le revenu universel ? (1) L'universalité: Est-ce que "tous les individus" sont éligibles ? Doit-on verser un revenu aux enfants / aux non-résidents / aux non-français ?

Cinq chiffres pour comprendre le projet de budget pour 2016 LE MONDE | • Mis à jour le | Par Patrick Roger Le projet de loi de finances pour 2016 du gouvernement de Manuel Valls sera adopté, mercredi 30 septembre, en conseil des ministres. Ce projet de budget, fondé sur une hypothèse de croissance jugée « prudente » par le gouvernement – alors qu’à l’heure actuelle, la reprise de l’activité économique demeure lente – sera avant tout marqué par des baisses ciblées de l’impôt sur le revenu et par des mesures d’économies, dont le montant sera un peu supérieur aux premières estimations communiquées par le gouvernement. A ce propos, M. Valls, lors d’un entretien, mardi, avec le président de la Commission européenne, Jean-Claude Juncker, s’est engagé à prendre « les mesures nécessaires » afin de tenir la promesse de Paris de ramener le déficit public sous la barre des 3 % du produit intérieur brut (PIB) en 2017. « Voilà le message : la France est en mouvement, et rien n’interrompra l’élan de réformes qui a été engagé. 16 milliards d’euros

L'argent fait-il le bonheur ? Le Paradoxe d'Easterlin En 1974, l'économiste Richard Easterlin a démontré de manière empirique une relation étrange entre le bien-être et le PIB par habitant : à long-terme, il ne semble pas exister de causalité entre la croissance du PIB (ajusté de l'inflation) par habitant et le bonheur. Entre 1973 et 2004 par exemple, alors que le PIB réel par habitant a doublé aux Etats-Unis, le "bonheur" est resté constant (voir graphique ci-dessous). Cependant, lorsque l'on regarde la situation à un instant "t", il apparaît tout de même que l'argent fait un peu le bonheur : un ménage plus riche aura tendance à s'estimer plus "heureux" en moyenne qu'un ménage plus pauvre, et ceci particulièrement dans les pays en voie de développement. Mesurer le bonheur est une mission complexe, et encore plus lorsque l'on souhaite comparer un niveau "absolu" de bonheur entre différents pays ou à différentes périodes. Comment lire le graphique précédent ? Conclusion : L'argent fait-il le bonheur ?

Quels sont les pays candidats à une adhésion à l'Union européenne ? INFOGRAPHIE - La Bosnie-Herzégovine est le sixième pays à être actuellement candidat à une adhésion à l'UE. Parmi eux, de nombreux pays des Balkans qui cherchent à se réformer afin de répondre aux critères européens, mais aussi la Turquie. Pour prétendre adhérer à l'Union européenne, un pays doit répondre à un processus strict. Tout pays qui répond aux critères d'adhésion peut poser sa candidature. Appelés «critères de Copenhague», ils concernent l'économie de marché, la démocratie, l'État de droit et l'adoption de la législation européenne, y compris l'euro. La Commission européenne commence par examiner le dossier et émet un avis. Les pays des Balkans ont des accords propres à eux instaurés à la fin des guerres de Yougoslavie: les accords de stabilisation et d'association. La Bosnie-Herzégovine a officiellement déposé sa candidature d'adhésion lundi 15 février 2016. Le Kosovo est reconnu en tant que candidat potentiel à une adhésion en 2008.

Pouvoir d'achat et Revenu Disponible Brut "Ah le pouvoir d'achat, depuis l'euro c'est le bordel, il baisse en permanence!". Vrai ou faux? La bataille du pouvoir d'achat fait rage au sein des médias et de la classe politique depuis maintenant quelques années. Le revenu disponible brut correspond à la part du revenu primaire (=revenus d'activités et placements immobiliers et mobiliers) qui reste à la disposition des ménages pour la consommation ou l'épargne, auquel on ajoute les transferts sociaux (aides en tout genre) et l'on retranche les cotisations salariales et les impôts. Le revenu disponible brut (RDB) est donc un meilleur indicateur que le salaire pour évaluer l'évolution du pouvoir d'achat, car il prend en compte l'intégralité des revenus des ménages. Et donc ça donne quoi en France l'évolution du revenu disponible brut en valeur? Ok cool, ça c'est fait.

La banque de Norvège baisse ses taux pour soutenir l’économie Les temps sont durs pour les pays pétroliers – et pas seulement pour les émirats du Golfe. Jeudi 17 mars, la banque centrale de Norvège (Norges Bank) a baissé son principal taux directeur de 0,75 % à 0,50 %, un niveau historiquement bas. Objectif : soutenir l’économie du royaume, durement touchée par la chute des cours de l’or noir. Ces derniers ont en effet plongé de 60 % depuis mi-2014. « La croissance mondiale devrait ressortir en deçà de ce qui était espéré » tandis qu’en Norvège, les « perspectives de croissance se sont quelque peu détériorées », a expliqué Oystein Olsen, le gouverneur de Norges Bank, lors de sa conférence de presse. En 2015, le produit intérieur brut (PIB) continental – il exclut la partie la plus cyclique de l’activité pétrolière – a crû de 1 % seulement, son plus bas niveau depuis 2009.

Vidéo : Les Français, champions de l'épargne Cet article date de plus de huit ans. Publié le 31/10/2014 17:47 Durée de la vidéo : 3 min. Article rédigé par L'épargne est une obsession bien française. Depuis le 19e siècle, elle séduit les Français. Planquer l'argent dans son matelas. Une idée vieille du 19e siècle quand un aristocrate le duc de La Rochefoucauld et un banquier souhaitent éduquer les " petites gens" à l'épargne jusque-là réservée aux bourgeois. La création du livret A est avant tout politique. Un réflexe qui s'est généralisé au point de devenir culturel. Dans les années 1960, les Français placent leur argent de plus en plus. Depuis les Français placent dans d'autres produits comme le PEL, mais toujours dans l'optique d'économiser. Partager l'article sur les réseaux sociaux : Partager :

L’excès de dette menace l’économie mondiale LE MONDE ECONOMIE | • Mis à jour le | Par Marie Charrel L’excès de dette sur les cinq continents menace la reprise et risque de plonger le monde dans une nouvelle crise destructrice. Tel est, en substance, le message d’alarme lancé par les chercheurs de la Banque des règlements internationaux (BRI) dans le rapport trimestriel de l’institution, publié dimanche 6 mars. « Sur fond de déclin de la croissance de la productivité, le stock mondial de dette continue d’augmenter et la marge de manœuvre des pouvoirs publics se rétrécit sans cesse. Intitulé « Un calme précaire fait place à des turbulences sur les marchés », le rapport de l’institution, parfois surnommée « la banque centrale des banques centrales », revient d’abord sur les secousses qui ont agité les Bourses mondiales en début d’année. Accalmie ou début d’un krach ? Ces inquiétudes sont-elles justifiées ?

La BCE va racheter plus de 1000 milliards d'euros de dette publique et privée ECONOMIE - La BCE (Banque centrale européenne) va racheter 60 milliards d'euros par mois de dette publique et privée dès mars 2015 et jusqu'en septembre 2016. Soit 1140 milliards d'euros en 19 mois. Le conseil des gouverneurs "a décidé de lancer un programme élargi de rachats d'actifs", a annoncé Mario Draghi, président de la BCE, lors de sa conférence de presse à Francfort, lançant l'offensive monétaire tant attendue de la BCE. Celle-ci sera menée au moins "jusqu'à fin septembre 2016" et "en tout état de cause jusqu'à ce que nous voyions un ajustement pérenne dans la trajectoire de l'inflation en ligne avec notre objectif d'atteindre un taux d'inflation inférieur mais proche de 2%", a dit le président. "Nous croyons que les mesures de politique monétaire décidées aujourd'hui vont contribuer à faire remonter les attentes d'inflation", a affirmé Mario Draghi. L'euro repart à la hausse

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