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Faut-il se réjouir, ou pas, de la baisse de l’euro ?

Faut-il se réjouir, ou pas, de la baisse de l’euro ?
Depuis l’été 2014, la monnaie européenne a reculé de plus de 10 % face au dollar. L’euro faible a des effets positifs pour les économies européennes, mais cette faiblesse a aussi un revers négatif. Mercredi 14 janvier, pour la première fois depuis novembre 2005, l’euro est tombé à 1,1729 dollar, une valeur inférieure à son cour d’introduction, en janvier 1999 (1,1747 dollar). La devise européenne s’est certes ensuite un peu ressaisie. Mais, depuis l’été 2014, elle a reculé de plus de 10 % face au billet vert, et de 5 % face aux autres devises Faut-il se réjouir de cette faiblesse de l'euro ? Oui, il faut se réjouir de la faiblesse de l’euro, parce que... Pendant des années, la valeur de l'euro a été surévaluée par rapport à l'état de santé réel de l'économie de la zone euro. Ce recul de l'euro peut contribuer à soutenir – un peu – la croissance. Non, il ne faut pas réjouir de la faiblesse de l’euro, parce que… Lire aussi Les mesures de la BCE compatibles avec le droit européen

Les Français et la hausse des prix du carburant Dans un contexte de crise économique et de tension récurrente en matière de pouvoir d’achat, le prix des carburants marque une augmentation continue depuis plus de deux ans et contraint de plus en plus le budget des ménages en ayant atteint des sommets ces derniers jours. Interrogés par l’Ifop pour Dimanche Ouest France sur les conséquences de cette hausse des prix des carburants sur leur situation personnelle, les Français optent à plus d’un tiers (39%) pour une utilisation réduite de la voiture. Cette option assez radicale progresse de 15 points par rapport à une enquête de 2000, ce qui témoigne de l’impact de plus en plus sensible de la hausse du prix des carburants sur le budget des ménages mais également, sans doute, d’une prise de conscience environnementale plus répandue aujourd’hui.

Pourquoi l'euro baisse Le Monde.fr | • Mis à jour le | Par Marie Charrel La baisse de l'euro face au dollar, observée depuis mai, a franchi un nouveau cap : mercredi 24 septembre, la monnaie est unique est tombée sous la barre des 1,28 dollar, contre 1,38 dollar en mai. Un niveau qui n'avait plus été atteint depuis juillet 2013. Jeudi 25 septembre au matin, l'euro évoluait toujours autour de 1,27 dollar. Comment expliquer cette baisse et surtout, est-elle durable ? L'effet du décollage de l'économie américaine et du changement de cap de la Fed Chaque semaine, de nouveaux indicateurs confirment la vigueur de la reprise américaine. De ce côté-ci de l'Atlantique, le tableau est en revanche beaucoup plus sombre. Résultat : tandis que la Banque Centrale Européenne (BCE) poursuit ses soutiens à l'économie, la Réserve fédérale américaine (Fed), elle, commence à retirer les siens. Lire aussi : La Fed reste prudente sur la remontée des taux d'intérêt Mais ce n'est pas là le seul facteur qui explique la baisse de l'euro.

2014-2019 : une nouvelle Commission, pour quelle Europe ? Marquée d'abord par les élections du Parlement européen, 2014 est également une année charnière pour la Commission européenne qui sera renouvelée le 1er novembre prochain. Elu le 15 juillet, son nouveau président doit faire face à une crise de confiance des Européens vis à vis de l'UE. Quelles seront les prochaines priorités de la Commission Juncker ? La France aura-t-elle des postes clés au sein de l'institution renouvelée ? Quels sont ses pouvoirs et comment fonctionne cette institution ? Toute l'Europe vous propose un dossier complet pour tout savoir sur la prochaine Commission européenne. Commission européenne : comment ça marche ? La Commission européenne est l'organe exécutif de l'Union européenne. L'élection du président de la Commission européenne Comment Jean-Claude Juncker a-t-il succédé, le 15 juillet 2014 à José Manuel Barroso, ancien président de la Commission européenne pendant 10 ans ? Commission Juncker : quelles priorités pour 2014-2019 ?

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