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INTERPOL - Organisation internationale de police criminelle

INTERPOL - Organisation internationale de police criminelle
Cybercrime is a fast-growing area of crime. More and more criminals are exploiting the speed, convenience and anonymity of the Internet to commit a diverse range of criminal activities that know no borders, either physical or virtual. These crimes can be divided into three broad areas: Attacks against computer hardware and software, for example, botnets, malware and network intrusion; Financial crimes and corruption, such as online fraud, penetration of online financial services and phishing; Abuse, in the form of grooming or ‘sexploitation', especially crimes against children. See advice about the Heartbleed bug and about how to stay safe on the Internet. The changing nature of cybercrime New trends in cybercrime are emerging all the time, with costs to the global economy running to billions of dollars. In the past, cybercrime was committed mainly by individuals or small groups. INTERPOL’s role Our main initiatives in cybercrime focus on:

Centre européen de lutte contre la cybercriminalité WHEN? The European Cybercrime Centre (EC3) commenced its activities in January 2013. WHY? To strengthen the law enforcement response to cybercrime in the European Union (EU) and to help protect European citizens, businesses and governments. The threat from cybercrime is increasing and the EU is a key target mainly due to its advanced Internet infrastructure its internet-based economies and payments systems. WHY AT EUROPOL? The EC3 has been tasked to focus on the following three areas: Cybercrimes committed by organised groups, particularly those generating large criminal profits such as online fraud ; Cybercrimes which cause serious harm to the victim such as online child sexual exploitation ; Cybercrimes (including cyber-attacks ) affecting critical infrastructure and information systems in the European Union. With regard to these three areas, Europol’s EC3:

INTERPOL Centre Européen de Lutte contre la Cybercriminalité (EC3) Commission européenne communiqué de presse Bruxelles, le 10 février 2014. Centre européen de lutte contre la cybercriminalité – un an après Quelles sont les principales menaces en matière de cybercriminalité? Ces questions sont au cœur d'un rapport présenté aujourd’hui par l'EC3. «Les comportements criminels évoluent rapidement. Troels Örting, chef du Centre européen de lutte contre la cybercriminalité a ajouté: «Dans les 12 mois qui ont suivi la création de l'EC3, nous nous sommes investis à fond avec les autorités répressives de toute l’Union européenne dans la lutte contre la cybercriminalité transfrontière, y compris au niveau des enquêtes. Selon un récent sondage Eurobaromètre, 12 % des internautes de l'UE ont vu leur compte de messagerie ou de réseau social piraté. 7 % ont été victimes d'une fraude bancaire ou à la carte de crédit. Principales réalisations de l'EC3 Crimes de haute technologie (cyberattaques, logiciels malveillants) Exploitation sexuelle des enfants en ligne Liens utiles

ENISA Cybercriminalité La réussite de la montée en puissance de ces unités conditionne grandement la capacité générale de la gendarmerie, en matière de cybercriminalité, à remplir avec efficacité et synergie sa mission à tous les échelons. Au niveau central Dès 1998, la Gendarmerie nationale a identifié l'enjeu que représentent les nouvelles technologies en mettant en place des structures et des formations adaptées : - Département cybercriminalité du service technique de recherches judiciaires et de documentation (STRJD). Il assure la surveillance du réseau en recherchant les infractions portant atteinte aux personnes et aux biens et relatives à la transmission de données à caractère illicite sur Internet (sites, les " Internet Relay Chat", les newsgroups, les réseaux d'échanges communautaires, le peer to peer). - Département informatique et électronique de l'institut de recherche criminelle de la Gendarmerie nationale (IRCGN). Au niveau de la chaîne territoriale - Les unités territoriales et de recherches :

Note n°1 gendarmerie nationale Le coût de la cybercriminalité évalué à plus de 400 milliards de dollars par an Criminalités numériques | Cybercriminalité, analyse criminalistique des systèmes numériques Loi sur la fraude informatique - CYBERCRIMINALITE - EureNet.com - Integration de vos projets Informatique & Internet - Eur'Net CODE PENAL - (Partie Législative) Article 323-1 Le fait d'accéder ou de se maintenir, frauduleusement, dans tout ou partie d'un système de traitement automatisé de données est puni de deux ans d'emprisonnement et de 30000 euros d'amende. Lorsqu'il en est résulté soit la suppression ou la modification de données contenues dans le système, soit une altération du fonctionnement de ce système, la peine est de trois ans d'emprisonnement et de 45000 euros d'amende. ( source LEGIFRANCE ) Article 323-2 Le fait d'entraver ou de fausser le fonctionnement d'un système de traitement automatisé de données est puni de cinq ans d'emprisonnement et de 75000 euros d'amende. ( source LEGIFRANCE ) Article 323-3 Le fait d'introduire frauduleusement des données dans un système de traitement automatisé ou de supprimer ou de modifier frauduleusement les données qu'il contient est puni de cinq ans d'emprisonnement et de 75000 euros d'amende. ( source LEGIFRANCE ) Article 323-4 ( source LEGIFRANCE ) Article 323-5

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