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Google & journalisme

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» Programme. 23 projets innovants sélectionnés en 2013 par le FINP. Télécharger le rapport 2013 du FINP au format PDF 39 projets déposés, 23 retenus et quelques tendances qui se dégagent, grandes ou petites.

23 projets innovants sélectionnés en 2013 par le FINP

Après 8 mois de fonctionnement du Fonds pour l’Innovation Numérique de la Presse Google & AIPG (FINP), c’est d’abord la diversité qui frappe. Diversité des acteurs, diversité des projets. Les éditeurs de la presse quotidienne régionale et nationale (6 et 5 projets sélectionnés) et les pure players (5 projets) affichent un dynamisme certain. Arrivent ensuite les news magazines avec 3 projets financés par le FINP. L’info locale, une dynamique particulière La presse régionale accélère grandement sa stratégie numérique. Les Mags changent de rythme Le changement de rythme est une tendance du moment loin d’être réservée à la presse locale.

Taxe Google : les médias font-ils de l'info ou du lobbying ? C'est l'un des dossiers que les médias suivent avec attention en ce moment, et pour cause : faut-il taxer Google et reverser l'argent aux éditeurs de presse ?

Taxe Google : les médias font-ils de l'info ou du lobbying ?

Depuis une dizaine de jours, les articles se multiplient sur le sujet dans la plupart des journaux et des sites. Et l'on se pose la question : les journalistes de ces médias peuvent-ils traiter le sujet avec neutralité, tant leur média est partie prenante dans l'actualité traitée ? Soyons clair : je ne crois pas à la mythique objectivité journalistique. Simplement, et c'est déjà énorme, à l'honnêteté et à l'équilibre dans le traitement d'un sujet. Google contre les éditeurs de presse : le bal des hypocrites. Faut-il faire payer Google pour sauver la presse ?

Google contre les éditeurs de presse : le bal des hypocrites

L'Etat a-t-il raison de vouloir donner gain de cause aux patrons de presse qui réclament une rémunération pour l'indexation de leur contenu par le moteur de recherche ? Depuis plusieurs semaines, et encore ce week-end dans les pages de Libération, nouveaux acteurs et vieux acteurs de la presse en ligne s'affrontent. Alors que Google, en mesure de représailles, menace de ne plus référencer la presse, tollé chez les éditeurs : ils crient à la censure, tout en disant qu'il s'en fiche puisqu'au Brésil, ils s'en sont bien passés, eux...

Bref, on l'aura compris, cette bataille d'arguments cache beaucoup d'hypocrisie de part et d'autre... Petite désintox en huits points : LIRE LA SUITE DE MON BILLET SUR LA TRIBUNE.FR. - Editeurs de contenus, si vous cessiez de vous faire phagocyter par Google et Facebook ? Le gui, parasite du chêne, en Klein d’oeil – Crédit photo: martinlabar via Flickr.com Facebook a modifié son algorithme Edgerank.

- Editeurs de contenus, si vous cessiez de vous faire phagocyter par Google et Facebook ?

Ce dernier filtre les publications qui s’affichent sur le mur des abonnés d’une page fan. Désormais, sont privilégiés ceux qui suscitent le plus de likes, de commentaires, de partages… Comme l’explique lemonde.fr dans une tribune, ceci est une prime aux contenus les plus insolites, les plus “fun”, les plus “émotionnels”. Le Monde, journal de référence refuse donc cette tentative d’inflexion de sa ligne éditoriale. La qualité socio-économique de son lectorat, qui se vend plus cher que la moyenne, met peut-être lemonde.fr économiquement à l’abri d’une légère baisse d’audience.

Google poised to let users buy Web content with Google Wallet. Micropayments, a long-discussed way of supporting content on the Web that has yet to catch fire with users, is about to get a big boost from Google.

Google poised to let users buy Web content with Google Wallet

The company confirmed today that users will soon be able to pay for Web content using Google Wallet, buying individual articles for an average of $0.25 to $0.99 each. Once users buy the page, they will own it forever, Google said. L’École de journalisme de Sciences Po et Google s’associent. Google fait ami-ami avec les journalistes français ces temps-ci… Après le partenariat avec l’AFP et le CFJ dans le cadre des présidentielles, Google s’associe aujourd’hui à l’École de journalisme de Sciences Po « afin de promouvoir la qualité et l’inventivité de l’information sur les réseaux numériques ».

L’École de journalisme de Sciences Po et Google s’associent

Pour ce faire, le partenariat signé par le vice-président de Google David Drummond et les directeurs de Sciences Po s’articule autour de quatre axes. La création d’un prix de l’innovation en journalisme tout d’abord, où peuvent participer tous les apprentis Albert Londres des treize écoles reconnues par la profession. Ce prix récompensera la production de contenus attestant d’une “utilisation innovante de l’Internet et des nouvelles technologies, au service d’une information de qualité”, et le gagnant empochera 10 000 euros. Le deuxième axe est la formation des élèves au référencement web. Troisième et quatrième axes : des bourses.

Ça, c’est pour la version officielle. Jean-Marie Charon : "Avec ce partenariat avec Google, l’école de journalisme de Sciences po raisonne à courte vue" Actu | Politique Propos recueillis par Mathieu Oui | Publié le , mis à jour le.

Jean-Marie Charon : "Avec ce partenariat avec Google, l’école de journalisme de Sciences po raisonne à courte vue"

Un prix pour récompenser l’innovation en journalisme. Devient partenaire de l’Ecole de journalisme de Sciences Po – Actualités Google. Ouest Médialab - Les atouts de Nantes. JSK         John S. Knight Journalism Fellowships at Stanford » Google chief urges newspapers to rethink – and help themselves. The digital earthquake that’s knocking the traditional news industry off its foundations is not over, said Richard Gingras, Google’s head of news and social products.

JSK         John S. Knight Journalism Fellowships at Stanford » Google chief urges newspapers to rethink – and help themselves

And it probably never will be. “Sometimes I think folks in the news industry like to comfort themselves by thinking that somehow we’re going from a transition from one point of stasis to another, and then it’ll all become cozy again and we can sit back and breathe easy for another 50 years,” Gingras said in a seminar with Knight Fellows last week. “That’s clearly not going to be the case– things are going to continue to change.”