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PAGES ECRITES. Lire dit-elle. Les deux menteurs: L'origine du Monde (pierre) Une vallée bien sombre où l’on voit des ruisseaux Serpentins et habiles à façonner les roches A toutes les adoucir les arrondir à l’eau Hérissée de sapins qui ont des anicroches Vers l’orient se dresse un mont de muscles blancs.

Les deux menteurs: L'origine du Monde (pierre)

Bris de mots: Poésie. Les éditions Folle avoine fêtent leurs trente ansmercredi 15 décembre 2010 à 19h 30 : MAISON INTERNATIONALE DE RENNES19, quai Chateaubriand35000 Rennes Yves Prié sera accompagné de Heather Dohollau, poète d’origine galloise dont toute l’œuvre est publiée chez Folle Avoine ; Alain Kervern, poète, essayiste, traducteur de plusieurs poètes japonais et Nicolas Fedorenko, peintre, sculpteur et graveur.

Bris de mots: Poésie

" La présence est lumière mais elle ne peut être pressentie qu'à travers l'ombre. Le tout est dans la répartition : de combien de nuits a besoin le jour pour être jour? " (p.13) Listes des auteurs R. Poésie. Poètes invités-archives(N-Z) Poetes de l'amour: Invités, Jardin des Muses. Bécassine's articles. Poets by Nationality (Members) LE CAPITAL DES MOTS- RODRIGUE LAVALLÉ - Le Capital des Mots. Perrin Langda. Margherita ou chasse au cerf à l’ère bétonoïque quand femme avoir faim homme partir vers collines de béton armé chasser petit cerf métallique rougeoyant homme rester dissimulé derrière rochers fleuris près de rivière d’asphalte homme parfois trouver attente longue et traque trop difficile mais lancer multiprise comme bolas électriques quand cerf cracheur de brume dévoreur de bitume passer enfin et quand homme rentrer sous soleil pourpre avec disque de pain enduit de sauce tomate femme heureuse car aimer nourriture italienne.

Perrin Langda

SCOTOMISATION: Archive. La Nudité des Masques: Archive. En curation de textes et sentiments. Prodigue toujours ta beauté sans compter ni parler. Tu te tais. Elle dit à ta place: je suis, puis en multiples sens retombe, tombe enfin sur chacun. Rainer Maria Rilke. L’été parle la langue de l’eau, à la manière des ruisseaux qui s’écoulent de la colline.

Prodigue toujours ta beauté sans compter ni parler. Tu te tais. Elle dit à ta place: je suis, puis en multiples sens retombe, tombe enfin sur chacun. Rainer Maria Rilke

L’été est un nomade, ce qui le guide c’est ce voyage de serpents argentés vers la mer, leurs ruissellements brillants alors que la nuit se lève. Les étoiles comme des gouttes de pluie perlent. Certaines s’abreuvent de l’horizon indigo, d’autres prennent le maquis en poussant de petits cris. Il ne faut plus que mes larmes pour que chacune d’elles se pare d’une auréole et que les vagues portent sur leur tête une couronne d’écume. Sous les souffles des feuillages que la lune nourrit de lait et de sève, les tiges portent des fleurs hallucinées dont les pistils parfumés tissent des toiles magiques et des étoffes blanches. Emporté par l’élan vital, dans les bras d’une spirale, le monde danse, il tremble et sème les grains de beauté de la nuit. Toile poétique. Juste pour ne pas, et encore...

Poésie en points de suspension. ” Cette liberté d’écrire est une force étrange! ” : Six poètes du Nigeria. John Pepper Bekederemo Clark (né en 1935) Abiku* *(Selon une croyance Yoruba, l’Abiku est l’enfant qui ne cesse de mourir et renaître.)

” Cette liberté d’écrire est une force étrange! ” : Six poètes du Nigeria

Tu vas tu viens depuis tant de saisons. Dans « l'absolu du manque » Le rossignol s'éteint dans le champ de sable,plume rouge sur la page jaunie.

dans « l'absolu du manque »

L'écriture paie son tribut de sang séché. In au décousu de l'aile © éditions Jacques Brémond 1988, p.41 au cœur du désertune danse de sableécrase des corps d'oiseaux à vif leur sangse répand par le mondel'enflamme. Improvisation pour André Chenet - Dom Gabrielli. Ce que je ressens chez toi Chenet Poète est avant tout une très grande justesse aussi bien dans le ton que dans la mesure des colères le corps est là incandescent ce corps fait de livres aimés.

improvisation pour André Chenet - Dom Gabrielli

Bernard Perroy – 2. Le blog d'Irène Gayraud. Je viens de finir Les jardins statuaires.

le blog d'Irène Gayraud

Où finir un livre, plus que jamais, n’est pas le finir. Tant ce livre est foisonnant, mouvant, ouvert. Il m’arrive souvent, parvenue aux vingt dernières pages d’un grand roman, de ralentir sensiblement mon rythme de lecture, retardant ainsi la sortie obligatoire hors du texte. Ce fut le cas avec Les jardins statuaires. Et pourtant, une fois le livre fermé, je savais que cette contrée des jardins statuaires, ces steppes du Nord, ces chevauchées, demeureraient en moi comme un talisman, une amulette, telles celles portées par les nomades du roman.

État du matin après la suie. Dimanche 30 octobre 2011 7 30 /10 /Oct /2011 08:22 croque temps. le jour craque. un bruit de noix dans l'enrouement des mots. j'ai du gravier à l'âme comme une éraillure de chemin, une marche de neige carton au travers du larynx. je tends ma chevrotine à picorer des oiseaux, mon chat tueur d'envol. je tire à la grenaille dans les roues du destin, ça voile faux sur le vélo vital. croque tempes. je pense et fais le détour de toi en gris de buée. es-tu du noir de la bise pour que je n'y vois plus goutte. la nuit recoud mon bout de doigt sur le gel des fenêtres. à ta place l'espace de ma bouche croque en jambe, c'est loin de passer à l'échasse ces horizons au kilomètre. je cloche mes godilles d'aurore, je boite les steeple-chases d'amour en fin de course. c'est un matin avec un désir sportif et une retenue en chambre.

état du matin après la suie

Partager l'article ! État du matin après la suie: croque temps. le jour craque. un bruit de noix dans l'enrouement des mots. j'ai du gravier à l'âme comme une ér ... Autoren Details] Aquarium vert. Simon Norfolk, Épouvantail en UkraineSérie "For Most Of It I Have No Words: Genocide, Landscape, Memory", 1998J’ai hérité de la rosée de leurs larmes (…) Tu marches dans la ville noire les pieds meurtrissur la hanche te touche la mortRose Ausländer, Je compte les étoiles de mes mots Alors que certains estiment, par ignorance, peur ou haine, que la Shoah prend trop d’importance dans l’histoire et la mémoire collectives, d’autres, comme Sylvie-E.

Aquarium vert

Saliceti, nous disent combien l’impensable est encore niché en nous et sous nos pieds, comme un amer humus que les pluies et les labours ne peuvent tout à fait retourner pour mieux l’enterrer : depuis ce jour le sais-tu ? La pierre et le sel: janvier 2013. La Pierre et le Sel : Quel est l’itinéraire personnel qui t’a conduit à la poésie ? Culture familiale ? Ren­contres personnelles ? Études ? Bernard Grasset : Je crois que dès l’enfance j’ai eu l’intuition que ma vie graviterait autour de la culture, des choses de l’esprit. J’étais attiré par les mondes intérieurs, créés, imaginés, sensible aux mots comme à la musique, à la brève et intense clarté du chant. Recherche par thème. Secousse - Accueil. Recueils poétiques. Ouvre ton écorce, arbre ! Richard Brautigan : Moins de temps. 28 mars 2012 3 28 /03 /mars /2012 15:11 Richard Brautigan (1935-1984) Moins de Temps Moins de temps qu'il n'en faut pour le dire, moins de larmes qu'il n'en faut pour mourir; j'ai pris toutes les choses en compte, et voilà.

J'ai fait un recensement des pierres, elles sont aussi nombreuses que mes doigts et quelques autres; j'ai distribué quelques pamphlets aux plantes, mais toutes n'étaient pas désireuses de les accepter. J'ai gardé de la compagnie avec la musique pendant une seule seconde, et maintenant je ne sais plus quoi penser du suicide, car si jamais je voulais me séparer de moi même, la porte est de ce côté, et, ajouté-je malicieusement, l'entrée, la ré-entrée, est de l'autre.

Tomas Segovia : Vox Poetik. Tomas Segovia n'est plus depuis hier... enfin, c'est ce que disent les communiqués de presse... car nous le savons bien, nous qui les lisons encore et encore : les poètes ne meurent jamais. Leur vie coule dans leur langue, coule dans nos yeux... dès lors que nous répétons, même à voix basse, leurs mots et que nous les faisons nôtres, nous leur accordons l'éternité... Salut à toi, Tomas. Extrait des Variations du contemplateur :

POETES & POEMES ( Poetë & Poezi ) - Mon péché est… - Le Sud - Eugenio de… - Voyage - Karl… - Je ne sais plus… - L'amour - Alain… - L’exil - Pablo… - La dernière fois de… - L’impossibilité de… - SIMBAD. Lundi 26 décembre 2011 1 26 /12 /Déc /2011 14:33 photo Vasil Qesari On me crucifie et je dois être la croix et les clous.

Secousse-10 Sommaire. BEAUTY WILL SAVE THE WORLD. PHOTOGRAPHIES Guylaine CARROT. Jérôme Pergolesi online - Revue Les Tas de Mots n°11. Le Coeur de Ptah » 2009 » juin. Dans la mort nous aurons tout le temps nécessaire, et la lenteur nous ouvrira ses bras, et nous nous coucherons sur son grand corps comme nous nous couchons sur le corps de l’amour, mais sans impatience, sans frémissement ni extase, avec seulement le grand battement silencieux de notre âme qui continuera son voyage, et immobiles enfin nous saurons attendre que se lève la lumière perdue. Sylvie Fabre G in » Dans la lenteur « Encore une fois la nature du coucher de soleil reste inconnue.

Pascal Pratz - La poésie. Les feuillets de poésie : Le Scriptorium. À Patricia, disparue le 17 octobre 2011 De ce silence de deux ans. Août 2004. Textes presentes. Poésie. Cette petite robe qui tourbillonnait il en connaissait tous les boutons elle l’a jetée un jour sinistre de mai un soir noir de fatigue, gris d’abandon oui, non, encore, bientôt, peut-être, le soir tombe enfin, comme une prière malhabile et rebelle à la lumière la nuit est vivante en ce cruel hiver perdue sur la chaise, chiffonnée.

Poésie : SOLKO. Raphaël MONTICELLI. Photo M. Textes. 66 zone franche - Le forum de Francopolis: Poésie du monde. La pierre et le sel: octobre 2011. Notre ami Jean Gédéon, s'il manifeste ici par ses collaborations, ses talents de lecteur passionné et attentif, est aussi un poète dont l'écriture, quand elle ne se masque pas derrière le rire ou l'ironie, fait preuve d'une profonde humanité et de la difficulté de vivre. POEME-TEXTE-TRADUCTION. Poésie ininterrompue.

Franck Venaille, dans la fêlure intime du monde. On marche dans la fêlure intime du mondeCes soubresauts nés de la douleur primitive Quelle est la voix qui le dira ? Quel serace corps qui saura mener jusqu'à son terme la. Le rappel des oiseaux. Saba, Humberto. Le blog de l'écrit de la chouette. Chaque poème ici présent est écrit le jour ou la nuit même. Il n'est donc pas à prendre comme un objet fini, mais comme une "induction verbale". Une invitation à des "commentaires" qui enrichissent le parler ouvert de cet oxymore :

Anthologie poésie poètes d'aujourd'hui. Encore un peu - Oui mais - Et puis... - le cercle - Oui, non, peut-être - Lovelovelove - Le blog de lavieilledameindigne.over-blog.com. Gmc. DELIT DE POESIE : Archives. Actualité. Sur le site terreaciel.net, Sophie G. Lucas consacre une de ses "bonnes feuilles" à la dernière salve de plaquettes de la collection Poètes au potager. Olivier Bourdelier, Mal dit Poète singulier, Olivier Bourdelier propose là un ensemble d’une dizaine de poèmes avec force présence animaux, nature. Mais sous le beau et la douceur, une sourde violence. LE CAPITAL DES MOTS - CLARA RÉGY - LE CAPITAL DES MOTS ( REVUE DE POESIE CONTEMPORAINE)- ( POETRY BLOG) Enjambées fauves. Pagus-Pagina: octobre 2009. Untitled. Poèmes - Poésie - Les oiseaux de… - A tort ou à raison - haiku zen - Prisonnier d'un… - Il pleure dans mon… - Je suis - Le cercle des… - Grandeur Nature - Volupté des parfums… - Chroniques de lecture.

Poésie - C. CHAMBARD - Vision - Claude… - Thèmes - Claude… - Cadavre exquis -… - Élection - Claude… - Fulguration -… - Création… - Substitution -… - Interprétation -… - Poème en couleurs -… - Contraction -… - Elements… - Création audio -… - Fulguration -… Flottements : OMBRES CONTRE VENTS. De nulle part - Le blog de si-peu-de-nous.over-blog.com. Fileuse de lune. Carlos Fuentes : Le Siège de l’aigle. Mouvances.ca - Sommaire - Menu. Edmond Jabès : LES CARNETS D'EUCHARIS - Nathalie Riera. Olivier Bastide/Dépositions, le Blog. Riera - Bribes en ligne.