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Poesie

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Emile Verhaeren, Les Villes tentaculaires, « Les Usines » - Analyse du poème. Texte étudié Emile Verhaeren (1855-1916), Les Villes tentaculaires (1895), « Les Usines » : Se regardant avec les yeux cassés de leurs fenêtresEt se mirant dans l'eau de poix et de salpêtreD'un canal droit, marquant sa barre à l'infini, .Face à face, le long des quais d'ombre et de nuit,Par à travers les faubourgs lourdsEt la misère en pleurs de ces faubourgs,Ronflent terriblement usine et fabriques.

Emile Verhaeren, Les Villes tentaculaires, « Les Usines » - Analyse du poème

Rectangles de granit et monuments de briques,Et longs murs noirs durant des lieues,Immensément, par les banlieues ;Et sur les toits, dans le brouillard, aiguillonnéesDe fers et de paratonnerres,Les cheminées. Se regardant de leurs yeux noirs et symétriques,Par la banlieue, à l'infmi.Ronflent le jour, la nuit,Les usines et les fabriques. Oh les quartiers rouillés de pluie et leurs grand-rues ! Introduction I. 1. Cet univers urbain est constitué d’éléments industriels. 2. Cet univers est un univers monotone animé de tristesse.

II. 1. Cette monotonie entraîne un sentiment de tristesse. 2. III. Tout Rimbaud - Les Illuminations. Enfance Cette idole, yeux noirs et crin jaune, sans parents ni cour, plus noble que la fable, mexicaine et flamande ; son domaine, azur et verdure insolents, court sur des plages nommées, par des vagues sans vaisseaux, de noms férocement grecs, slaves, celtiques.

Tout Rimbaud - Les Illuminations

À la lisière de la forêt — les fleurs de rêve tintent, éclatent, éclairent, — la fille à lèvre d'orange, les genoux croisés dans le clair déluge qui sourd des prés, nudité qu'ombrent, traversent et habillent les arcs-en-ciel, la flore, la mer. Dames qui tournoient sur les terrasses voisines de la mer ; enfantes et géantes, superbes noires dans la mousse vert-de-gris, bijoux debout sur le sol gras des bosquets et des jardinets dégelés — jeunes mères et grandes sœurs aux regards pleins de pèlerinages, sultanes, princesses de démarche et de costume tyranniques, petites étrangères et personnes doucement malheureuses. Quel ennui, l'heure du "cher corps" et "cher cœur". Sommaire. Tableaux parisiens. Retour table des sections Table des poèmes Paysage Je veux, pour composer chastement mes églogues, Coucher auprès du ciel, comme les astrologues, Et, voisin des clochers, écouter en rêvant Leurs hymnes solennels emportés par le vent.

Tableaux parisiens

Les deux mains au menton, du haut de ma mansarde, Je verrai l'atelier qui chante et qui bavarde; Les tuyaux, les clochers, ces mâts de la cité, Et les grands ciels qui font rêver d'éternité. Il est doux, à travers les brumes, de voir naître L'étoile dans l'azur, la lampe à la fenêtre, Les fleuves de charbon monter au firmament Et la lune verser son pâle enchantement. Table des matières Le soleil Ce père nourricier, ennemi des chloroses, Éveille dans les champs les vers comme les roses; Il fait s'évaporer les soucis vers le ciel, Et remplit les cerveaux et les ruches de miel. À une mendiante rousse Blanche fille aux cheveux roux, Dont la robe par ses trous Laisse voir la pauvreté Et la beauté, Le cygne à Victor Hugo.

Andromaque, je pense à vous! Paris change! Ah! Alcools. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Alcools

Alcools est un recueil de poèmes de Guillaume Apollinaire, paru en 1913. Alcools[modifier | modifier le code] Ce recueil, qu'Apollinaire mit 15 ans à élaborer, annonce la quête de modernité, de jeu avec la tradition, de renouvellement formel de la poésie de l'auteur. Alcools est un recueil pluriel, polyphonique, qui explore de nombreux aspects de la poésie, allant de l'élégie au vers libre, mélangeant le quotidien aux paysages rhénans dans une poésie qui se veut expérimentale, alliant une presque perfection formelle et une grande beauté à un hermétisme, un art du choc, de l'électrochoc, qui valut à Apollinaire d'être qualifié de mystificateur.

Alcools montre le poète déchiré par ses ruptures amoureuses (avec Annie Playden, avec Marie Laurencin)[1], ruptures qui résonnent au travers de poèmes tels que Mai[2], Les Colchiques[3] et, surtout, La Chanson du Mal Aimé[4]. Les poèmes par ordre alphabétique[modifier | modifier le code] Poésie - La Ville en poésie. La ville en poésie - Bibliographie Poèmes « Paris » d’Alfred de Vigny in Poèmes antiques et modernes, Poésie Gallimard, 1973. « Nouveau venu qui cherches... » de Joachim du Bellay in Les antiquités de Rome (1558), Flammarion. « Je suis un pâle enfant du vieux Paris... » de François Coppée in Intimités (1868). « Plainte » de Charles Cros in Le coffret de Santal (1873), Poésie Gallimard, 1972. « Grenier des saisons » de Maurice Fombeure in Paris m’a souri, Ed.

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