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Caillaux vs Calmette - 1914

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Le 16 mars 1914, Mme Caillaux assassine M.... - Yvon Généalogie. Le Figaro - 13 mars 1914. Le Petit journal - 29 mars 1914 - Supplément du dimanche. Le Petit Parisien - 17 mars 1914. L'Écho de Paris - 17 mars 1914. L'Humanité - 17 mars 1914. Le Figaro - 17 mars 1914. La Croix - 18 mars 1914. L'Ouest-Éclair (Rennes) - 18 mars 1914. La Croix - 19 mars 1914. L'Ouest-Éclair (Rennes) - 19 mars 1914. Le Figaro - 20 mars 1914. La Croix - 21 mars 1914. Le Petit Parisien - 25 mars 1914.

Salon d'attente rue Drouot, chaise de Mme Caillaux [attendant Mr Calmette au journal Le Figaro] Assassinat de Mr Calmette, l'épicerie par où sortit Mme Caillaux [pour éviter la foule en quittant le commissariat] Gaston Calmette. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Gaston Calmette

Pour les articles homonymes, voir Calmette. Biographie[modifier | modifier le code] Excédée par cette campagne, l'épouse du ministre, Henriette Caillaux, après la publication par Calmette d'une lettre signée « Ton Jo » que l'homme politique avait adressée à sa future épouse, alors qu'elle n'était encore que sa maîtresse et qu'il était marié à Berthe Gueydan[3], se rend à la rédaction du journal, tue son directeur, qui venait de recevoir l'écrivain Paul Bourget, en vidant le chargeur de son pistolet automatique (un Browning modèle sac à main caché dans son manchon)[4].

Le scandale entraîne dès le lendemain la démission du ministre. Gaston Calmette est le frère aîné du bactériologiste Albert Calmette (1863-1933). Marcel Proust lui dédia le premier volume de À la recherche du temps perdu, Du côté de chez Swann. Références[modifier | modifier le code] Gaston CALMETTE : Sa généalogie - GeneaStar. Gaston Calmette: Mourir pour des ridées. « Gaston Calmette, vous dites?

Gaston Calmette: Mourir pour des ridées

Euh... Non, moi je connais Albert, l'inventeur du B.C.G. [son frère]!» C'est la réponse que nous a faite une descendante du fameux directeur du «Figaro». Peut-être dormait-elle pendant les cours d'histoire? Ce jour-là, l'épouse du ministre des Finances radical Joseph Caillaux, ne supportant plus de voir son mari traîné dans la boue par le grand quotidien conservateur, révolvérise l'impudent. «Le ploutocrate démagogue» Cette insulte, devenue le surnom attitré du ministre dans les colonnes du «Figaro», est une trouvaille d'Aristide Briand – le duo Barthou-Briand, voire le président Poincaré, ne sont jamais très loin derrière le journaliste. À la manière d'un feuilletoniste, chaque jour ou presque pendant trois mois, le pamphlétaire signe un billet haineux contre celui qui propose de taxer les riches. Les apostrophes du bouillant rédacteur évoquent parfois un manuel de rhétorique pour apprentis polémistes: «Son programme, le voilà!

Paparazzi au grand style. Henriette Caillaux. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Henriette Caillaux

Pour les articles homonymes, voir Caillaux. Henriette Caillaux, née Henriette Raynouard (« Rainouard » sur sa pierre tombale) (5 décembre 1874 à Rueil-Malmaison[1] - 29 janvier 1943 à Mamers), épouse de Joseph Caillaux, est connue pour avoir assassiné le 16 mars 1914 le journaliste Gaston Calmette, directeur du quotidien Le Figaro. L'affaire Caillaux[modifier | modifier le code] Henriette Caillaux, décidée à défendre la réputation de son mari et la sienne, décide de rencontrer Calmette le 16 mars 1914 à la direction du Figaro au 26 rue Drouot, où elle se fait conduire dans la voiture de ministre de son mari. Portant une jaquette de karakul assortie à sa robe de satin noir et une toque à aigrette, elle a les mains enfouies dans un manchon à fourrure, ce qui est surprenant pour la saison. Récit - Henriette Caillaux, meurtre au Figaro. L’affaire Caillaux est l’un des plus grands scandales politiques que la France ait jamais connus.

Récit - Henriette Caillaux, meurtre au Figaro

Loin d’être un simple fait divers, ce récit met en scène des grands noms d’avant-guerre de 1914. L’acteur principal de cette affaire aurait pu s’appeler Joseph Caillaux. Mais c’est un tout autre jeu qui s’est déroulé le 16 mars 1914. Henriette, sa femme, est l’auteure du tristement célèbre « Meurtre au Figaro ». Abattu froidement de quatre balles à bout portant. Joseph Caillaux. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Joseph Caillaux

Pour les articles homonymes, voir Caillaux. Joseph Marie Auguste Caillaux, né au Mans le et mort à Mamers le , est un homme politique français. Disciple de Pierre Waldeck-Rousseau, il commence sa carrière politique parmi les républicains modérés, adhérant à l'Alliance républicaine démocratique à sa création en 1901, alors qu'il est ministre des Finances de Waldeck-Rousseau, avant de rejoindre le Parti radical dans les années 1910, dont il devient rapidement l'une des principales figures[1].

Instigateur de l'impôt sur le revenu et partisan d'un pacifisme libre-échangiste, ses prises de positions et sa personnalité difficile suscitent une haine véhémente parmi ses anciens amis et la droite nationaliste, qui mènent contre lui de violentes campagnes de presse. La Chute du président Caillaux (2013)