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1914

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Exposition au CDI. L'Europe en 14. Chronologie 1914. ETE 14. Les raisons d'une sérénité paradoxale Cette surprise de la fin du mois de juillet et la sérénité paradoxale de l’été qui précède, un été comme les autres, inopinément interrompu, s’expliquent par plusieurs raisons.

ETE 14

Elle a d’abord été en partie créée par les Empires centraux, qui ont avancé masqués, pour prendre leurs adversaires par surprise. Quand il embarque pour sa croisière estivale habituelle, Guillaume II a déjà arrêté la ligne dont l’Allemagne ne va pas dévier : les entretiens des 5 et 6 juillet, à Postdam, avec son allié autrichien ont conclu qu’il fallait que l’Autriche exploite l’assassinat de Sarajevo pour régler son compte définitivement à la Serbie en lui adressant un ultimatum qu’aucun État souverain ne pourrait accepter, et ceci au risque d’une guerre régionale. La quinzaine suivante est consacrée à lever l’opposition initiale du premier ministre hongrois et à préparer l’ultimatum dans le secret des chancelleries. 1914 en France. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

1914 en France

Cette page concerne l'année 1914 du calendrier grégorien. Événements[modifier | modifier le code] Janvier[modifier | modifier le code] 13 janvier : Aristide Briand et Louis Barthou fondent la Fédération des gauches. Mars[modifier | modifier le code] 17 mars : à Paris, Henriette Caillaux assassine Gaston Calmette, le directeur du Figaro, qui avait mené une campagne de diffamation contre son mari, le ministre des finances Joseph Caillaux, qui quitte immédiatement ses fonctions.29 mars : réforme de la contribution foncière qui cesse d'être un impôt de répartition et dont l'assiette reposera désormais sur un taux, un tarif et des évaluations révisés tous les 20 ans. Avril[modifier | modifier le code] 26 avril - 10 mai : victoire de la gauche (radicaux et socialistes) aux élections législatives en France contre la “folie des armements” Mai[modifier | modifier le code] Juin[modifier | modifier le code] Juillet[modifier | modifier le code]

3 août 1914 - Centenaire de la déclaration de guerre de l’Allemagne à la France. À l’origine, un complexe jeu d’alliances Face au cataclysme de la Grande Guerre, à ses dix millions de morts et à ses dizaines de millions de blessés, l’assassinat à Sarajevo de l’archiduc héritier François-Ferdinand de Habsbourg par un Serbe bosniaque, désireux que sa nation soit rattachée à l’État serbe, est certes le déclencheur de la guerre, mais ne peut rendre compte du complexe jeu d’alliances qui fait entrer dans le conflit presque tous les pays européens, auxquels s’ajoutent les États-Unis en 1917.

3 août 1914 - Centenaire de la déclaration de guerre de l’Allemagne à la France

Des sentiments nationaux exacerbés Pour la génération de 1914-1918, la Grande Guerre signe un véritable changement d’époque. Nouvelle "guerre des nations", mais aussi guerre "patriotique" où chaque peuple se croit menacé d’agression, et où l’idée d’ennemi héréditaire revient dans tous les esprits, la Première Guerre mondiale procède de l’exacerbation des tensions nationalistes en Europe. L’Europe divisée en deux blocs Premières étapes de la généralisation du conflit 28 juin 1914.

Centenaire de la première bataille de la Marne (6 au 12 septembre 1914) Prélude : un repli stratégique Moins d’un mois après le déclenchement de la guerre, face à la progression de l’armée allemande sur l’ensemble du front Ouest, pour l’armée française, c’est la grande retraite.

Centenaire de la première bataille de la Marne (6 au 12 septembre 1914)

Pendant dix jours, un million de soldats partis se battre sur les frontières franco-belges et franco-allemandes se replient en combattant jusqu’au Sud de la Marne. La bataille n’est pas pour autant perdue. Car le général Joffre, commandant en chef français, a alors l’idée géniale de faire de cette déroute apparente un vaste repli stratégique, redéployant par chemin de fer les divisions d’Alsace et de Lorraine jusqu’à l’Ouest de l’Ourcq où 100 000 hommes de la VIe armée du général Maunoury se tiendront massés, et le long de l’Aisne, avec la création de la IXe armée qu’il confie au général Foch, et qui demeurera au centre du dispositif. Sursaut : la contre-offensive Paris est de plus en plus menacée. Les taxis de la Marne Il faut envoyer des renforts. Apocalypse, la 1ère Guerre mondiale - Carte - France 2.

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