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Plate-formes Collaboratives vs Taxi

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Le Taxi : Un clic, un taxi. Bientôt des taxis amateurs à la campagne ? Et si demain, chacun d’entre nous pouvait en toute légalité devenir chauffeur de taxi dans les campagnes dépeuplées ?

Bientôt des taxis amateurs à la campagne ?

L’idée, évoquée en décembre dernier lors des Assises de la mobilité, vient d’être proposée par le gouvernement aux organisations du secteur dans le cadre de la future loi sur les mobilités (LOM) prévue pour l’automne prochain. Un projet de loi pourrait être déposé avant l’été. Objectif ? Chauffeurs VTC : la difficulté de l'examen fait débat. Les professionnels s'alarment du niveau de difficulté des questions posées lors de l'examen pour devenir chauffeur.

Chauffeurs VTC : la difficulté de l'examen fait débat

Le taux de réussite est en chute libre. « Qu'est-ce que l'honorabilité dans votre profession ? », « Donnez une définition de suranné »... Uber en Italie, c’est fini. Heetch et ses dirigeants condamnés pour transport illégal de passagers. La société de transport et ses cofondateurs ont été condamnés à verser 441 000 euros en réparation du préjudice moral causé aux chauffeurs de taxis.

Heetch et ses dirigeants condamnés pour transport illégal de passagers

La plate-forme va être suspendue. La start-up Heetch, qui facilite le transport entre particuliers, et ses deux dirigeants ont été reconnus coupables, jeudi 2 mars, de complicité d’exercice illégal de la profession de taxi, de pratique commerciale trompeuse et d’organisation illégale d’un système de mise en relation de clients avec des chauffeurs non professionnels. Le tribunal a condamné la société, tout comme Teddy Pellerin et Mathieu Jacob, à verser 441 000 euros en réparation du préjudice moral causé aux chauffeurs de taxis, auxquels s’ajoutent 91 000 euros pour leurs frais de justice. Heetch devra en outre payer une amende de 200 000 euros, dont 150 000 euros avec sursis, et chacun des dirigeants 10 000 euros d’amende, dont la moitié avec sursis. Lire aussi : Procès Heetch : de New York à Paris, haro sur les plates-formes collaboratives. L’Etat va bien racheter une partie des licences des taxis, Tourisme - Transport.

VTC contre taxis: le Conseil d’Etat suspend le décret. Les Voitures de tourisme avec chauffeur (VTC) gagnent une manche dans la bataille qui les oppose aux taxis. Le Conseil d'Etat vient de suspendre le décret gouvernemental leur imposant un délai de 15 minutes entre la réservation et la prise en charge du client. Une suspension temporaire en attendant une décision sur le fond du problème. La plus haute juridiction avait été saisie par les VTC après l'adoption de ce décret par le gouvernement pour apaiser les taxis.

Ceux-ci dénonçaient comme de la concurrence déloyale ces nouveaux services de transport aux particuliers qui, contrairement à eux, n'ont pas à amortir le prix de leur licence (près de de 220.000 euros). Taxis contre VTC : la solution de Terra Nova pour racheter les licences des taxis. Dans un rapport qu’il présente jeudi 17 mars, le think tank Terra nova propose une solution originale pour mettre fin aux tensions entre taxis et VTC.

Taxis contre VTC : la solution de Terra Nova pour racheter les licences des taxis

Depuis de nombreuses années maintenant, les taxis voient leur monopole écorné par ces chauffeurs de véhicules de transport avec chauffeur qui sont branchés sur des applications smartphone comme Uber, Chauffeurs privés, Snapcar ou Heetch. Pas étonnant que la situation leur semble intenable, explique Terra nova : "L’omniprésence des accès internet, l’information accrue des usagers et la baisse continue des tarifs dans le secteur concurrentiel laissent augurer d’un avenir difficile pour les taxis. " Notamment pour leurs licences, que l'Etat cède gratuitement chaque année, mais que les chauffeurs se revendent pour plus de 100.000 euros d'occasion. L'État lance une plateforme électronique pour les taxis. La plateforme électronique le.taxi va faciliter la mise en relation des chauffeurs de taxi avec leurs clients grâce aux applications pour smartphones.

L'État lance une plateforme électronique pour les taxis

À l'avenir, sa mise en service devrait être élargie dans plusieurs agglomérations françaises. Après trois mois de test à Montpellier, la plateforme électronique le.taxi a été officiellement lancée ce mardi dans la capitale héraultaise. Développé par l'État, ce nouvel outil prévu dans la loi Thévenoud du 1er octobre 2014 et présenté en octobre 2015, va permettre la mise en relation des taxis avec leurs clients grâce à des applications pour smartphones. «Nous avions déjà mis en place ce système à Montpellier avant que l'État ne se joigne à nous avec la plateforme pour réaliser des tests grandeur nature. [...]

L'idée était de se mettre au goût du jour. Taxis : pourquoi l'État ne peut pas racheter toutes les licences. LE SCAN ÉCO - Racheter toutes les licences des taxis coûterait environ 8 milliards d'euros.

Taxis : pourquoi l'État ne peut pas racheter toutes les licences

Non seulement les caisses vides de l'État ne le permettraient pas, mais surtout, politiquement, le signal serait très mauvais. Explications. Avant, il n'y avait pas les VTC. Un chauffeur de taxi, pour exercer, rachetait une licence à un autre chauffeur partant à la retraite (l'État ne délivrant quasiment plus de nouvelles licences gratuites). À un prix très élevé, certes. Cliquez ici pour agrandir l'infographie Mais, désormais il y a les VTC. » LE SCAN ÉCO - Taxis, VTC, Uber: la licence au cœur des tensions.