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Guerre 14-18

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Livre du samedi : Les poilus d’Harlem / Thomas. 15 Juil Thomas SAINTOURENS Ils sont porteurs de valises, manutentionnaires, boxeurs, mais aussi avocats ou musiciens de jazz.

Livre du samedi : Les poilus d’Harlem / Thomas

Tous Noirs américains. Le 15e régiment d’infanterie de la garde nationale de New York, créé en 1916 à Harlem, est une équipée de choc, composée de 2 000 soldats et de quelques officiers noirs, menés par une poignée de hauts gradés blancs idéalistes. Première Guerre mondiale : va-t-on commémorer les exploits de l’industrie chimique. C’est l’une des grandes « innovations » de la Première guerre mondiale : les armes chimiques.

Première Guerre mondiale : va-t-on commémorer les exploits de l’industrie chimique

Les gaz de combat, dont le fameux gaz moutarde, ont été utilisés par les deux camps, et mis au point par de grands groupes, comme Bayer côté allemand, ou les ancêtres de Péchiney et Rhodia côté français. Une implication historique que le géant allemand de la chimie, aujourd’hui fabricant de médicaments et d’OGM, aimerait bien faire oublier. Pourquoi la France est-elle le pays qui a le plus fusillé « pour l’exemple » pendant la Grande guerre. Quelques 918 militaires français ont été fusillés pour l’exemple pendant la « Grande guerre ».

Pourquoi la France est-elle le pays qui a le plus fusillé « pour l’exemple » pendant la Grande guerre

La grande majorité n’a pas été exécutée pendant les mutineries de 1917, mais pendant la première année du conflit, de septembre 1914 à octobre 1915. 918 fusillés pour l’exemple : cela peut sembler statistiquement dérisoire par rapport aux 1,3 million de soldats « morts pour la France ». Mais cette pratique de l’état-major fait peser sur la troupe une menace permanente, quand bien même le recours aux exécutions capitales n’a jamais été systématique.

Facilitée par le rétablissement des Conseils de guerre entre 1914 et 1916, la peine de mort est froidement réglementée par un décret de 1909. Une réglementation qui précise même les modalités du coup de grâce, administré « avec un revolver dont le canon est placé juste au-dessus le l’oreille et à cinq centimètres du crâne ». Ten lies we're told to justify the slaughter of 20 million in the First World War. Dominic Alexander Featured Articles Dominic Alexander debunks ten myths being used by politicians and historians to rebrand World War I in the centenary of its outbreak.

Ten lies we're told to justify the slaughter of 20 million in the First World War

The war was fought in defence of democracy This is contradicted by the basic facts. Germany had universal manhood suffrage while in Britain, including Ireland, some 40% of men still did not qualify for the vote. In Germany also, there were attempts to justify the war on the grounds that it was being fought to defend civilised values against a repressive, militaristic state, in the form of Russian autocracy. Britain went to war due to a treaty obligation to defend the neutrality of Belgium There was no clear and accepted obligation on Britain to do this, and, in fact, before the Belgian issue appeared, the war party in the cabinet was already pushing for British intervention on the entirely different ground that there were naval obligations to France.

Accueil - Apocalypse 10 destins. Idée reçue : les soldats étaient tous unis dans les tranchées. La Grande Guerre en dessins, des artistes pendant la premiere guerre mondiale 14-18. Exposition virtuelle - Sur les chemins de la Grande Guerre.

Première Guerre mondiale, 1914-1918 : chronologie de la guerre, la bataille de Verdun. 1914 - 1918 à l’école : ce n’est plus de l’histoire. Incendie de la halle aux draps d’Ypres, novembre 1914, par Marcel Augis (MARY EVANS/SIPA) La commémoration de la Première Guerre mondiale est aujourd’hui suffisamment avancée pour que les réticences qu’elle avait suscitées au fil des mois quant aux motivations de ses instigateurs se trouvent confirmées : dans sa déclinaison scolaire, empêtrée dans des injonctions administratives insistantes, cette opération mémorielle à grand spectacle n’a guère à voir avec l’histoire.

1914 - 1918 à l’école : ce n’est plus de l’histoire

C’est même tout le contraire. Des enseignants « mobilisés » Loin des tranchées : quand les multinationales européennes engrangeaient déjà les profits de la guerre. 6 septembre 1914.

Loin des tranchées : quand les multinationales européennes engrangeaient déjà les profits de la guerre

Les avant-gardes allemandes arrivent à Meaux, à une cinquantaine de kilomètres de Paris. Interrompant trois semaines de retraite, les armées françaises et britanniques font volte-face pour mener la première bataille de la Marne. À l’arrière, la mobilisation industrielle commence. Car la guerre semble devoir durer. Après un mois de conflit, l’armée manque déjà d’artillerie et de munitions. Le 20 septembre, le ministre de la Guerre, le socialiste Alexandre Millerand, organise une réunion à Bordeaux, où le gouvernement s’est réfugié. Quant à Louis Renault, il dirige la mobilisation des industriels en région parisienne. De grandes épopées industrielles commencent grâce au conflit En France, cette réorganisation de l’appareil productif porte lentement ses fruits. C’est aussi en pleine guerre que naît ce qui deviendra le groupe Dassault.

Un capitalisme d’intérêt général ? Première Guerre mondiale : va-t-on commémorer les exploits de l’industrie chimique. La Première Guerre mondiale à l’école : et si on relisait Montessori ? « La véritable défense de l’humanité ne peut se baser sur des armes.

La Première Guerre mondiale à l’école : et si on relisait Montessori ?

Tant que nous ne ferons pas confiance à la grande “arme pour la paix” qu’est l’éducation, les guerres continueront de succéder aux guerres et tant la sécurité que la prospérité des hommes ne seront pas assurées.L’éducation étant la seule voie de salut pour la civilisation et l’humanité, elle ne saurait se confiner dans ses limites actuelles ni conserver sa forme présente. »