GenèveActive - Climax Redvx: De l’orgasme tellurique à l’apocalypse. Climax Redvx, au premier plan: Allan McCollum The Dog from Pompei (détails en bas de page) Eveline Notter, commissaire de l’exposition CLIMAX REDVX, au Bâtiment d’art contemporain de Genève, propose un parcours atypique à travers les bouleversements telluriques et climatiques extrêmes.
Rares sont les expositions thématiques qui se tiennent aussi bien. De Pompéi à Aceh, en passant par Lisbonne, les orgasmes telluriques et autres grandes catastrophes naturelles n’ont cessé d’effrayer autant que de fasciner les artistes qui trouvent dans ces phénomènes matière à approcher les forces de la nature à leur paroxysme. Eveline Notter a conçu Climax Redvx (Climax comme point culminant d’une tension, et Redvx – retour – pour rappeler une première programmation vidéo à la Fondation Louis-Jeantet) en se demandant « comment évoquer le climat et les phénomènes naturels extrêmes dont les médias ne cessent de parler. Law Breaker. As the result of my first attempt in writing my reflection on the unit I ended up writing a whining post.
So hopefully this is a better attempt than the last. After my exhibition in A119a, many people have come and complemented on the success of the piece. Telling me how great it was, even though they had a bad sense of smell they could still smelt it (which I am very grateful of). It is not that I am doubting their reactions, it is just I am doubting myself. I have come to realise the work that I am making right now is lacking in focus and purpose, partially because I am making work that is my daily interest i.e. things that I am interested in seeing and looking or inspired by. Debombourg Baptiste « L'Atelier A – Arte. Baptiste Debombourg Biographie Si le geste initial de Baptiste Debombourg se manifeste souvent par la destruction d’emballages, de meubles standard ou de verre feuilleté, le colmatage puis la fabrication d’objets ou d’environnements insolites à partir de ces éléments de rebus constituent l’acte central de sa pratique de sculpteur.
Big boum et big bang dans l’art. Épisode 4.
Après trois premiers opus riches en « Boums » et en « Bangs », plus besoin de vous faire un dessin pour vous faire comprendre qu’il y a de l’explosion dans l’art et de l’art dans l’explosion. Dernière piste à explorer, dernier sujet à partager avec vous: l’objet et l’explosion. Alors, n’oubliez pas votre casque avant d’entrer dans le deuxième paragraphe de cet article, il risque d’y avoir du grabuge et des gravats. Fiction » Nos ruines. Cataclysmes de films hollywoodiens, images de catastrophes récentes, cités industrielles désertées : la ruine est un motif de notre époque, son décor, la forme dans laquelle elle se pense et se rêve.
Loin de la colonne antique dont les romantiques ont pu faire leur modèle, la ruine contemporaine est le miroir d’un présent qui contemple, non sans frissons, son propre espace déserté, rendu à la vie des choses. Invitation à se promener parmi quelques ruines qui sont les nôtres, le texte qui suit dessine à son tour les contours de leur étrange présent, interrègne temporel entre un après de l’événement et une relance utopique de l’histoire. Ce texte a été écrit par Diane Scott, dans le cadre d’une résidence hors-les-murs de l’Institut français, à Berlin, en 2011.
Il est « la première pierre » d’un travail plus long. Strasbourg. La Chambre. Dossier_pedago_ruines. Heterotopia, l’âme de la ruine chez Vincent J. Stoker. # 313 – Esthétiques de la ruine sous influence techno. Du 08.05.13 au 18.05.13 à la Favela Chic. A travers les arts visuels, # 313 – Esthétiques de la ruine sous influence techno explore les liens qui unissent musique techno de Détroit et esthétique de la ruine.
La première section de l’exposition, grâce à une sélection de photographies issues du site internet Detroit Urbex, donne d’emblée à voir aux yeux des visiteurs le paysage urbain de la ville Détroit. La seconde partie présente les œuvres de cinq jeunes artistes qui ont répondu à l’appel à projet du collectif. Photographie, graphisme, vidéo et performance filmée sont autant de supports sur lesquels ils livrent leur vision du thème de l’exposition. Parler de techno, c’est aussi parler de violence, de révolte, de ruine mais également de l’espoir qui anime Détroit ; et c’est bien de cela qu’il est question dans chacune des œuvres exposées.
Yves Marchand et Romain Meffre, « De cette architecture qui fait les belles ruines » Urbex Art : Les « Unregistred city » par l’artiste chinois Jiang Pengyi. (All photographs of Jiang Pengyi, via Blindspot Galerie ) The Chinese artist Jiang Pengyi, in its consideration of planning, presents an intriguing series, “Unregistred City”.. cities unregistered.
Creation of any piece of miniature towns abandoned and disposed in abandoned places, How to make your head spin! The artist explains that it is a way to criticize what he calls "excessive urbanization, redevelopment and demolition” Beijing. The work of Jiang Pengyi is both urban art and social critic, a mixture sulfur.
Presse_fichier_paulviriliofr. Exposition Ce qui arrive. Site officiel 29 NOVEMBRE 2002 - 30 MARS 2003.
