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Misère de notre addiction numérique

Misère de notre addiction numérique
Les Etats et les grandes entreprises devraient faire preuve d'une vertu surnaturelle pour ne pas être tentés de tirer profit du fait que nous vivons dans une société où tout est enregistré LE MONDE | 02.01.2014 à 17h21 • Mis à jour le 03.01.2014 à 18h35 | Groupe Marcuse Comment combattre la tyrannie de la surveillance? La cascade de « révélations » sur les programmes de surveillance électronique, déclenchée par Edward Snowden au mois de juillet, continue. Les opinions publiques, qu'ils appellent à se soulever en défense de ces droits, semblent, elles, largement indifférentes. Dans cette affaire, ceux qui ne s'émeuvent point font preuve de plus de cohérence et de mémoire que ceux qui se montrent surpris et choqués. Pour ne citer que quelques livres très parlants : Tous fichés ! C'est dire à quel point les informations qui font régulièrement la « une » des journaux depuis cet été ne sont pas des révélations. Elle est une mise en cause de notre mode de vie ultra-branché.

L'addiction au pays du "gaming" (1ère partie) En Corée du Sud, la pression scolaire expliquerait en partie la dépendance aux jeux vidéo. Pour enrayer ce phénomène toujours plus inquiétant, les centres spécialisés se sont multipliés dans tout le pays, sous l’impulsion du gouvernement. Par Margaux COUTURIER et Anissa HAMMADI Boissons, nourriture, cigarettes... Il est facile de perdre le fils du temps dans un PC bang. (Anissa Hammadi) SEOUL, 13 juin 2014 - En Corée du Sud, la pression scolaire expliquerait en partie la dépendance aux jeux vidéo. Une jeune femme qui accouche dans un cybercafé, une mère assassinée par son propre fils pour l’avoir privé d’ordinateur ou encore un homme retrouvé mort après avoir joué plus de cinquante heures d’affilée… En Corée du Sud, des histoires comme celles-ci, il y en a tous les ans. Alors qu’un tiers de la population joue régulièrement en ligne, le nombre de drogués aux jeux ne cesse de croître de manière alarmante dans le pays « le plus connecté au monde ». 122 structures spécialisées (Anissa Hammadi)

About @ddict ? Un MOOC collaboratif sur nos usages du numérique. Le numérique est désormais partout. Pouvons-nous nous passer des écrans ? Sommes-nous addicts au numérique ? Comment bien vivre avec Internet ? Ce MOOC pluridisciplinaire et ouvert à tous permettra d'échanger sur nos usages du numérique et leurs conséquences dans nos vies. Ce MOOC permettra de mieux comprendre les différents usages associés aux mondes numériques, notamment les usages à risque et les addictions. Il s'agit avant tout d'un espace de partage et de réflexions autour des pratiques du numérique. Les technologies de l’information et de la communication sont variées (smartphone, ordinateur...), de même que les applications (bureautique, jeux vidéos) et les réseaux associés (Google, Facebook...) amenant des usages d’une grande variété. Notre objectif est de construire un dialogue entre participants du MOOC et chercheurs, portant sur nos usages et pratiques du numérique, que ceux-ci soient ludiques, excessifs, passionnants, à risque, distrayants, addictifs, etc.

Le côté diabolique du numérique. L’addiction aux médias numériques, et en particulier à la sphère du net, sera-t-elle bientôt considérée comme un problème au même titre que l’addiction à la drogue ou à l’alcool ? Tout le monde se met au numérique et personne ne peut plus vivre sans. Les internautes naviguent, vivent par le web 2.0 et en sont devenus complètement dépendants. D’ailleurs ils ne s’en cachent pas et avouent aisément leur addiction au phénomène. Dans une société qui vit de plus en plus par le numérique, Internet, les Smartphones et autres technologies digitales sont devenues incontournables. Internet représente 3,2% du PIB français en 2009 et ce chiffre pourrait augmenter et atteindre 5,5% d’ici 2015 ! Les Smartphones, dont les utilisateurs ne peuvent se passer, sont vecteurs de cancers ? Internet est vecteur d’addiction chez certaines personnes, de violences chez d’autres ? LEpitech a organisé une conférence sur les dangers liés aux diverses addictions liées au numérique. Prudence sur la toile !

“Les réseaux sociaux étaient ma drogue dure” Cyrille de Lasteyrie Entendons-nous bien, je ne parle pas de l’Internet pratique, celui qui permet de s’informer, de se cultiver rapidement, de réserver un billet de train, d’agir à distance sur ses comptes ou d’acheter ses cadeaux de Noël. Cet Internet-là est aussi salutaire et révolutionnaire que l’invention de l’imprimerie ou de l’eau courante. Non, je parle de l’Internet social, ce monstre difforme et suceur de temps. Ce terrain vague de l’ennui. J’ai 42 ans. Mais non, malgré ce tableau, je pense passer plus de six heures par jour sur le Net. Depuis l’avènement des outils de publication facile (blogs, Facebook, etc), les adeptes des médias sociaux partagent tout. Moi, moi, moi Pendant ce temps-là, ma fille réalise un coloriage ; je crois qu’elle m’a parlé. En réalité, cela ne l’est pas tant que ça. Ma pensée fragmentée Le temps du Net passe aussi vite qu’une partie d’« Angry Birds ». Cet article en est la preuve. Avant les médias sociaux, le chômeur voyait la journée défiler lentement.

Accro au jeu vidéo ? Le jeu vidéo est aujourd’hui un loisir qui concerne toutes les tranches de la population. Une enquête montre que 53 % des Français1 jouent régulièrement et 68 % occasionnellement. Qui joue le plus ? Qui joue ? Les derniers chiffres1 (octobre 2017) montrent que les plus gros joueurs se situent dans les tranches d’âge : 10-14 (95 %), 15-18 (92 %) et 19-24 (91 %). A quel type de jeu jouent les joueurs ? Dans le classement 2017 des 10 premiers jeux vendus en France toutes plateformes confondues1, on trouve : Les jeux de rôle en ligne massivement multi-joueurs (Massively multiplayer online role-playing game- MMORPG) dont « World of Warcraft » (WOW) et les arènes de bataille en ligne multijoueur (Multiplayer online battle arena-MOBA) dont « League of legends » (LOL) sont des jeux présentant potentiellement un caractère addictif. Puis-je être « addict » au jeu vidéo ? Le consensus sur l’expression à employer pour décrire un usage excessif des jeux vidéo a toujours fait débat. Les signes d'alerte

Comment devient-on accro au numérique ? Atlantico : Portables, tablettes, ordinateurs, les nouvelles technologies nous entourent. Elles sont partout : au bureau, à la maison, dans les magasins… Nous en avons tous un usage régulier, à partir de quel moment pouvons-être considérés comme addicts aux nouvelles technologies ? Comment cette addiction se traduit-elle au quotidien ? Michael Stora : Cela ne se traduit pas tant en terme d’heures passées sur les nouvelles technologies qu’en termes de rupture des liens sociaux réels. L’addiction se manifeste par un décrochage de la vie sociale : refus de participer à des repas de famille, moins de sorties en couple, abandon de ses responsabilités de parent... Pour les enfants cela commence par l’absence de présence au repas du soir et cela peut aller jusqu’à la déscolarisation. Les nouvelles technologies mettent la vie sociale au second plan petit à petit. Pour lire les autres épisodes de notre série de la semaine sur les Nouvelles addictions, consultez notre dossier : ici. Je m'abonne

Étude sur la cyberdépendance et ressources pour s'en sortir L'Institut universitaire sur les dépendances, le Centre Dollard Cormier, souligne la publication d'un ouvrage sur la cyberdépendance, un problème bien réel et qui est propre aux sociétés dans lesquelles Internet est au cœur du quotidien des gens. L'ouvrage en question dresse un portrait de ce problème qui touche de plus en plus d'internautes en soulignant les signes cliniques de cette dépendance, ses conséquences et les ressources pour la vaincre. D'autres professionnels se sont également penchés sur la question et offrent des outils sur le Web.Étude sur la cyberdépendance L'Étude intitulée «La cyberdépendance. État des connaissances, manifestations et pistes d'intervention», regroupe les différents éléments de recherche sur la cyberdépendance qui ont été recueillis jusqu'à ce jour. L'exercice a permis de mieux définir le problème et de préciser de quelles manières il se présente dans la vie des internautes, comment il influence leur quotidien et quels sont les moyens de s'en sortir.

Selon une étude, l'addiction au numérique n'existe pas Une étude, publiée par le Huffington Post, menée par quatre chercheurs, révèle le fossé entre la manière dont les technologies de communication sont perçues par la société et la façon dont les Hommes flirtent avec l’ère numérique. D’après les journaux, nos chers téléphones portables, nos précieux profils Facebook et nos tweets favoris seraient une grande menace pour notre vie privée mais aussi pour nos relations sociales. Quatre chercheurs se sont penchés sur la question pour contredire ces rumeurs. Durant trois mois, les scientifiques ont interrogé plusieurs dizaines de participants partout en France en s’intéressant particulièrement à leurs pratiques numériques quotidiennes. Selon cette étude, nos vies seraient loin d’être connectées en permanence et l’addiction numérique serait seulement un fantasme de la société. Observez bien : notre vie est faite de petites « déconnections ». La vie numérique ne serait pas non plus responsable d’une quelconque baisse des rapports humains.

Attention bias modification treatment in depressed adolescents -- ScienceDaily A study to be published in the March 2016 issue of the Journal of the American Academy of Child and Adolescent Psychiatry (JAACAP) reports that adolescents with major depression who performed a computer-based task designed to shift attention from sad to neutral to positive word associations showed reductions in negative attention biases and clinician-rated depressive symptoms. 11% of American adolescents suffer from Major Depressive Disorder (MDD). Facing a broad range of psychosocial and health problems, these youths are five times more at risk to attempt suicide than peers without psychiatric illness. A novel computer-based task, attention bias modification (ABM), designed to shift attention away from negative stimuli, was found to reduce depressive symptoms in adults. A group of researchers led by Dr. Wenhui Yang of Hunan Normal University, examined the short- and long-term effects of ABM tasks in 45 adolescents with MDD, selected from a school population (n=2731).

Bonjour Flavie, je te remercie pour ton commentaire.
Oui effectivement. Surtout au moment de la conférence de Barcelone (Mobile World Congress ) et des discussions qui ont pu suivre notamment avec Mark Zuckerberg.
Je joins un lien si tu voulais poursuivre davantage: Guillaume. by laurent_groupe_d_psy Mar 1

Bonjour, j'ai également lu et ajouté cet article... vraiment très intéressant ! by flavie_groupec_psy Feb 24

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