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Secret Défense

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Georges-Henri Bricet des Vallons est un spécialiste des Sociétés militaires privées (SMP). Il est l'auteur d'un livre "Irak, terre mercenaire" (Favre, 2009). Docteur en sciences politiques, il collabore à l'Institut Choiseul, pour lequel il a co-dirigé le numéro de Sécurité globale sur la privatisation de la guerre. Comment réagissez vous au propos de Bruno Delamotte ? Il énonce un certain nombre de vérités. Que doit faire le gouvernement français sur le sujet, et que doit-il surtout ne pas faire ? Rendons d’abord grâce à l’autorité gouvernementale de s’être saisie du débat, alors la question était totalement taboue il y a encore quelques années. Il s’agit de trouver notre propre formule. L'affaire d'Arlit au Niger témoigne d'un dysfonctionnement. Je ne suis absolument pas en mesure de juger s’il y a eu dysfonctionnement ou non.

Sauvons les riches Vendredi au matin, malgré l’annonce faite la veille par Jean Sarkozy au journal de 20h de France 2 de renoncer à briguer la présidence de l’Etablissement public d’Administration de la Défense (EPAD), notre collectif Sauvons les Riches avait décidé de maintenir sa manifestation «Revival Ancien Régime» devant le conseil général des Hauts-de-Seine. Si par sa décision le «prince Jean» semblait avoir quelque peu recouvré la raison et de l’acuité visuelle, avec ses nouvelles lunettes et sa montre Swatch, nous souhaitions tout de même lui remettre en main propre son diplôme désormais célèbre de «fils à Papa, mention Balkany». Il s’agissait d’inciter Jeannot à continuer dans cette voie en renonçant également à être administrateur de l’EPAD pour plutôt retourner à l’Université passer ses diplômes et essayer de rattraper son retard (à 23 ans, il est temps qu’il obtienne son DEUG de droit). Puis nous décidons de tenter l’assaut du donjon surprotégé de Prince Jean pour lui rendre son dû.

J'affiche...! L'actualité en affiche par Geoffrey Dorne Actualités à la Une La Délégation Interministérielle à l’Intelligence Économique (II) Le deuxième volet du dossier sur la Délégation Interministérielle à l’Intelligence Economique (DIIE) porte sur la nouvelle posture de la Politique Publique d’Intelligence Économique (PPIE), sur le plan d’actions et le point de vue de certains pairs de l’IE. Le grand changement que nous percevons est que l’objectif premier de la PPIE n’est plus la synthèse de l’information rassemblée par les différents services, mais de préserver l’emploi et la compétitivité des entreprises. Il est donc présentement question de mettre à plat la mission du DIIE, mais aussi de se pencher sur les actions prioritaires et/ou globales définies par O. BUQUEN pour atteindre ses objectifs. Au cours des 5 premiers mois, O. « Nous avons commencé, en version start-up, le 15 octobre. - Une vision. - Concernant les actions à mener , il est question de : exportations et contrats à l’étranger, tri des investissements étrangers, sensibilisation des chefs d’entreprises. 2004 à 2009.

- Renseignement, Défense, Technologie, Terrorism Traverses La seconde question à poser concerne Merah et sa surveillance - ou plutôt son défaut de surveillance. La première chose qui m'a frappé, c'est l'extrême professionnalisme du terroriste. Merah avait reçu une excellente formation et j'ai tendance à le croire quand il prétendait avoir suivi des sortes de cours particuliers. Ce qui me conduit à une seconde réflexion: Merah n'a certainement pas agi seul - ainsi qu'en témoigne maintenant l'envoi de ses vidéos très proprement éditées et montées (25 minutes de séquence !) Qu'on ne vienne donc pas nous parler de "dégénéré", de "loup solitaire", de "fou pervers". Du coup, on peut aussi se demander comment il se fait qu'un individu de cette sorte, déjà repéré par les services de renseignement, n'ait pas été plus efficacement surveillé. Il y a plusieurs réponses. Ce qu'on peut en revanche déplorer, c'est que la surveillance n'ait pas été plus "serrée", mais bureaucratique et de routine, avec des contrôles périodiques assez lâches.

Les 400 culs CENTRE FRANÇAIS DE RECHERCHE SUR LE RENSEIGNEMENT RIA Novosti RussieInternationalDéfenseSociétéSciences et espaceCultureInsolites International © REUTERS/ Vasily Fedosenko Lougansk: les insurgés lancent un ultimatum à Kiev 19:29 27/04/2014 KIEV, 27 avril - RIA Novosti Les partisans de la fédéralisation de l'Ukraine à Lougansk (est) ont promis de passer à l'acte si les autorités ukrainiennes ne remplissent pas leurs exigences d'ici le 29 avril, le texte de l'ultimatum approprié a été publié sur le site internet 0642.com.ua. Dossiers Archives lumamejevesadi Top multimédia Diaporama: Tchernobyl: des images uniques Vidéo: La catastrophe de Tchernobyl, 26 avril 1986 Infographie: Tchernobyl: un accident aux conséquences catastrophiques Tweets de @ria_novosti_fr Articles les plus lus Lougansk: les insurgés lancent un ultimatum à Kiev Slaviansk: les experts de l'OSCE ne se reconnaissent pas comme otages Syrie/présidentielle: une femme se porte candidate (TV) Donetsk: Khodorkovski interdit d'accès au siège de l'administration Pour nous écrire Politique de sécurité

Les éco-comparateurs Entre les rumeurs, les interprétations, les communiqués, il est bien difficile de faire la part des choses sur l'affaire de la Société Générale. Mais l'affaire pose toute une série de questions pour lesquelles il devient possible d'apporter des réponses au moins partielles. Qu'est-ce qui est passé par la tête du trader accusé? Le trader incriminé était un arbitragiste, c'est-à-dire qu'il était chargé de déceler de petits écarts de prix entre actifs identiques pour réaliser des gains par des achats et des ventes simultanés, le plus souvent avec une opération au comptant jointe à une opération symétrique à terme. Pourquoi avoir pris ce risque, et avec une telle ampleur ?

La France a désormais son "Conseil de défense et Un décret, adopté ce matin en conseil des ministres, réorganise la direction, au plus niveau de l'Etat, des affaires de défense, de sécurité nationale et de renseignement. Il ne s'agit d'une surprise, ce décret ne faisant que concrétiser les orientations du Libre blanc et de la loi de programmation militaire. Il existe désormais un Conseil de défense et de sécurité nationale (CDSN), présidé par le chef de l'Etat, qui remplacera les Conseils de défense. Outre le président de la République, le CDSN comprend le Premier ministre, ainsi que les ministres de la Défense, de l'Intérieur, de l'Economie, du Budget et des Affaires étrangères. Le CDSN peut sièger en deux formations spécialisée, sous la forme d'un Conseil national du renseignement (CNR) et d'un Conseil des armements nucléaires (CAN). Le projet de créer un "conseil consultatif", évoqué dans le Livre blanc, n'est pas repris dans le décret, même si l'idée n'est pas complètement abandonnée.

Les cordons de la Bourse Grâce aux députés, le scandale des emprunts toxiques va se traduire en chiffres a priori incontestables. Selon le rapport de la commission d'enquête parlementaire sur les produits financiers à risque, publié ce matin, et consultable ici, au second semestre 2011, l’encours total des prêts structurés détenu par les collectivités locales françaises, ainsi que les hôpitaux et les organismes de logement social se montait à 32,125 milliards d’euros. Parmi cet encours, la commission estime que les emprunts à risque sont de 18,828 milliards d’euros, dont 15,787 milliards de très risqués. Pour obtenir ces chiffres, la commission a pratiqué le plus simplement du monde. Son rapporteur, le député UMP Jean-Pierre Gorges, l’a demandé aux banques, qui ont été obligées de lui répondre (le rapporteur d’une commission est « habilité à se faire communiquer tous documents de service », selon l’ordonnance 58-1100 du 17 novembre 1958). Celle du rapport Gissler. La Cour des comptes : Réagissez à l'article

Le Conseil National du Renseignement : une présidentialisation s

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