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ZOLA DREYFUS, vidéo ZOLA DREYFUS, vidéo Economie et société Justice et faits divers - Archives vidéos Economie et société Justice et faits divers

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Assemblée nationale : La République et le suffrage universel Le 4 septembre, la foule envahit la salle des séances du Corps législatif. La République est proclamée. Assemblée nationale Voir aussi : Le 3 septembre 1870, Paris apprend le désastre de Sedan. Comme en 1793, comme en 1848, les grilles sont forcées et la salle des séances envahie. Léon Gambetta Gambetta : Contre le plébiscite, discours au Corps législatif (5 avril 1870) Gambetta proclame la République devant le palais du Corps législatif, 4 septembre 1870Assemblée nationale[Texte manuscrit de la proclamation à l'Hôtel de Ville] Les élections de janvier 1872 - un bureau électoral dans une commune des environs de Paris Carte d'électeur d'Honoré Daumier pour le scrutin du 7 janvier 1872Bibliothèque de l'Assemblée nationaleLa République, s'identifie à l'unité de la nation. — L'amendement Wallon Le fameux vote de la République « à une voix de majorité » est raconté comme suit par l'historien Daniel Halévy : Ainsi se trouvait respectée la préséance conservatrice. Daniel Halévy. 1.

La mobilisation des dreyfusards Les rebondissements de l’Affaire L’arrestation et la condamnation d’un officier juif français, Alfred Dreyfus, en décembre 1894, suite à la découverte d’un bordereau anonyme renfermant des informations secrètes destinées à l’Allemagne, parurent clore cette banale histoire d’espionnage. Cependant, celle-ci devait connaître de nouveaux rebondissements lorsque le lieutenant-colonel Picquart établit l’identité du véritable traître, le commandant Esterházy, en mars 1896 et que ce dernier fut acquitté par le conseil de guerre le 11 janvier 1898, au terme d’un procès inique. Cette décision scandaleuse ne fit qu’attiser les passions antagonistes qu’avait déclenchées l’Affaire et incita les partisans de la révision du procès de Dreyfus à se mobiliser pour émouvoir l’opinion publique en sa faveur. La mobilisation des dreyfusards La publication du manifeste de Zola, « J’accuse… ! Les deux France La présence de slogans tels que « Vive la France !

Esprit(s) de mai 68 En mai et juin 1968, l’intersyndicale de la Bibliothèque Nationale prend part aux mouvements contestataires qui agitent le pays et se réunit chaque jour rue de Richelieu pour réfléchir à l’avenir de la BN. Dans le même temps, une centaine d’agents volontaires font preuve d’ingéniosité et s’activent pour collecter tracts, affiches, banderoles qui forment aujourd’hui un témoignage unique du mouvement de mai 68. Voici des extraits du récit qu’en fait Marie-Renée Morin alors responsable du Service de l’Histoire de France. Comme tous les organismes publics ou privés, la Bibliothèque Nationale ne resta pas indifférente aux événements de mai 68. La collecte n'était pas aisée, du moins en dehors des points les plus chauds : la Sorbonne, l'Odéon, la Médecine, les Beaux-Arts, Censier, Jussieu où nous passions souvent... toutes sortes de volontaires les dernières négociations L'époque la plus difficile fut celle de la fin.

L'affaire Dreyfus "La vérité est en marche, et rien ne l'arrêtera" - Émile Zola Crise politique majeure sous la IIIème République, l'affaire Dreyfus implique un officier français de confession juive dans une histoire d'espionnage. Alimentant divers rebondissements, "l'Affaire" va scinder la France entre "dreyfusards" et "antidreyfusards" pendant plusieurs années. La IIIème République, qui a déjà vingt-quatre ans en 1894, affronte crises politiques (le boulangisme, le scandale du canal de Panama...) et instabilités gouvernementales et présidentielles, auxquelles s'ajoute le traumatisme de l'annexion de l'Alsace et de la Moselle par l'Allemagne (1871) qui alimente les nationalismes les plus extrêmes. L'armée connaît par ailleurs des mutations profondes. En septembre 1894, une lettre est rapportée à la Section de Statistiques par "voie ordinaire" (c'est-à-dire ramassée dans les corbeilles de l'ambassade d'Allemagne à Paris). Afin de confondre le capitaine, une comparaison des écritures est réalisée.

Mai 68, vidéo Mai 68, vidéo Economie et société Vie sociale - Archives vidéos Economie et société Vie sociale Vietnam: l'exécution à bout portant, par Eddie Adams - Polka Magazine Un cas d’école. La démonstration parfaite de l’instant décisif. Une image si forte que sa brutalité a galvanisé la contestation de l’opinion américaine contre la guerre du Vietnam — qui allait pourtant durer encore sept ans. Ce 1er février, la ville est en proie depuis deux jours à l’offensive surprise du Têt, le Nouvel An vietnamien, qui a lancé dans les plus grandes cités du pays des bataillons de combattants communistes du Front national de libération du Sud-Vietnam (FLNSV) — dits “Vietcongs”. “Un prisonnier, c’est une photo” Les combats ont cessé. Le photographe se trouve alors à moins de deux mètres du prisonnier. “Deux vies ont été détruites ce jour-là” Le tireur est le chef de la police nationale du Sud-Vietnam, le général Nguyen Ngoc Loan. “Je pense, raconte-t-il désormais, que deux vies ont été détruites ce jour-là. Un héros incompris et abandonné Le général Loan a continué le combat. Là, en Virginie, le chef de guerre exilé ouvre, contre toute attente, une pizzeria.

Le 13 mai 1958 et ses conséquences à Paris et Alger - Jalons pour l'histoire du temps présent Les événements du 13 mai 1958 mettent fin à la conception parlementaire de la République. Ce jour là, à Alger, un comité de vigilance fondé par d'anciens combattants, des groupes de patriotes et des partis politiques, appelle à manifester contre le FLN. Au même moment, à Paris, le président de la République René Coty désigne au poste de président du Conseil le MRP Pierre Pflimlin, qui est investi avec une majorité confortable de 174 voix pour, 120 contre et 137 abstentions. A Alger, Pierre Pflimlin est soupçonné de vouloir abandonner l'Algérie française, si bien que sa désignation entraîne la manifestation sur un terrain politique, à un moment où Alger connaît une vacance du pouvoir : Robert Lacoste, représentant du gouvernement en Algérie, est parti sans attendre son successeur. La manifestation dégénère en émeute, et les émeutiers s'emparent du siège du Gouvernement général.

Le général Picquart, faux héros de l'affaire Dreyfus L’histoire retient le général Marie-Georges Picquart comme le “héros” de l’affaire Dreyfus. Il est présenté comme le “lanceur d’alerte” qui a sacrifié sa carrière pour prouver l’innocence de Dreyfus. Jean Dujardin l'incarne dans le film de Roman Polanski J'accuse, dans les salles le 13 novembre 2019. Marie-Georges Picquart est un brillant militaire, né en 1854 en Alsace, il travaille au renseignement lorsqu’éclate en 1894 l’affaire Dreyfus. Mais Picquart découvre la machination : le document qui met en cause Dreyfus est un faux, fabriqué pour faire accuser le capitaine. Philippe Oriol, historien : "Picquart, c’est celui qui un jour va prendre la direction de “la section de statistiques”, c’est-à-dire le contre-espionnage. Mais le récit héroïque est en fait très éloigné de la réalité historique. D’après les archives, Picquart voulait avant tout protéger l’image de l’armée. Philippe Oriol : "On a parlé de Picquart comme d’un lanceur d’alerte.

» Le 13 Mai 1958 : la journée qui fit tomber la IVème République - Réussir en Histoire et Géographie Le mois de Mai 2008 aura été celui des anniversaires. Après les 40 ans de Mai 68, déjà évoqué dans des articles précédents, voici les 50 ans de la Vème République Voici un lien vers les vidéos de l’INA : Alors qu’en 1958 la Tunisie et le Maroc étaient déjà indépendants, la situation en Algérie s’était gravement détériorée: le Front de libération nationale (FLN) avait lancé une insurrection en novembre 1954, entraînant une escalade militaire. D’après le site de l’université laval au Québec. Archive exceptionnelle : écoutez la voix d'Alfred Dreyfus lui-même, en 1912 "Le 20 juillet 1906 fut une belle journée de réparation pour la France et la République. Mon affaire était terminée." Ce sont les mots d'Alfred Dreyfus. Non seulement ceux qu'il a écrits dans ses Mémoires, mais ceux qu'il prononce face à l'enregistreur Pathé tendu par le linguiste Ferdinand Brunot dans une petite salle de la Sorbonne, en mars 1912. Écoutez dans ce document exceptionnel le commandant réhabilité revenir sur l'ampleur de la fameuse "affaire" qui porte désormais son nom. Un document unique C’est un trésor des Archives de la parole : la voix d'Alfred Dreyfus lui-même. Commandant Alfred Dreyfus, mars 1912 "Mon affaire était terminée. Et même s'ils parurent oublier qu'ils ne furent pas les plus mal partagés car ils ne luttèrent pas seulement pour une cause particulière mais ils contribuèrent pour une large part à l'une des œuvres de relèvement les plus extraordinaires dont le monde ait été témoin. Les Archives de la parole à découvrir sur Gallica

13 mai 1958 naissance de la Cinquième République, vidéo 13 mai 1958 naissance de la Cinquième République, vidéo Histoire et conflits Epoques - Archives vidéos Histoire et conflits Epoques Hitler 1933 : pourquoi la presse n'a-t-elle rien voulu savoir ? Ils étaient 200 correspondants occidentaux en poste à Berlin de 1933 à 1941, et pourtant bien qu'autour d'eux s'abattent les persécutions sur les Juifs et les opposants, ils ne seront qu'une poignée à alerter l'opinion... Pourquoi le monde médiatique n'a pas compris qui était Hitler ? "Un fail comme celui-ci est forcément multi-causes" nous explique Daniel Schneidermann, auteur d'une enquête titrée"Berlin, 1933 : la presse internationale face à Hitler" aux éditions du Seuil. Il y a un contexte antisémite général en Europe bien avant l'arrivée du pouvoir de Hitler. Daniel Schneidermann, journaliste, créateur et animateur de l'émission, puis du site, " Arrêt sur images ". Les correspondants français, américains ou britanniques à Berlin veulent rester. "Superfail", à découvrir chaque lundi Deuxième saison de "Superfail", notre podcast "natif", né comme podcast et originaire du numérique, sans passer d’abord par l’antenne hertzienne. Pour vous abonner au podcast

13 mai 1958 - Alger se révolte Le 13 mai 1958, les Algérois d'origine européenne en appellent au général de Gaulle pour maintenir la souveraineté de la France sur l'Algérie. L'insurrection va avoir raison de la IVe République... et inutilement prolonger la guerre d'Algérie en mettant fin aux espoirs nés quelques mois plus tôt. Sabotage d'une solution politique Au début de l'année 1958, Pierre Pflimlin, député MRP (chrétien-démocrate) de Strasbourg, est pressenti pour la présidence du Conseil. Les gaullistes qui militent corps et âme pour le retour du général de Gaulle au pouvoir encouragent les Pieds-noirs à la sédition. Le 10 mai 1958, Alain de Sérigny, directeur de l'Écho d'Alger, publie un éditorial où il en appelle à de Gaulle pour sauver l'Algérie française que les partis traditionnels et le prochain gouvernement s'apprêtent à lâcher : «Je vous en conjure, parlez, parlez vite, mon général...» Le 13 mai 1958 est le jour de l'investiture de Pierre Pflimlin. Le général Jacques Massu en prend la présidence.

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