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Facebook, nouvelle porte d'entrée dans l'adolescence

Facebook, nouvelle porte d'entrée dans l'adolescence
Deux tiers des 11-13 ans ont un profil. Et doivent apprendre, à peine sortis de l'enfance, à gérer une seconde identité. LE MONDE | • Mis à jour le | Par Pascale Krémer Il est le dénominateur commun d'une génération. 93 % des 15-17 ans et 81 % des 13-15 ans disposent d'un compte sur le réseau social Facebook. Chaque année, l'association Calysto, qui sensibilise au bon usage des outils numériques, questionne 35 000 enfants et adolescents. Le "baromètre 2012 Enfants et Internet", qui paraît samedi 23 mars, témoigne non seulement de la quasi-généralisation de la fréquentation de ce réseau mais aussi de son impressionnante remontée en âge. Les deux tiers des 11-13 ans détiennent un "profil", en dépit d'un âge minimum officiellement fixé à 13 ans par l'opérateur. Quid des autres réseaux sociaux ? L'inscription sur Facebook vaut désormais marqueur d'avancée en âge, rite d'initiation à l'adolescence. Entrée facilitée en adolescence, donc… Et aussi plate-forme d'entraide pour les devoirs.

http://www.lemonde.fr/societe/article/2013/03/23/facebook-nouvelle-porte-d-entree-dans-l-adolescence_1853164_3224.html

Inde : une concurrence encore faible qui favorise l'implantation de startups étrangères Les nombreux atouts de l'Inde, aussi bien économique que social, en font une destination de choix pour les startups. D'autant plus que la concurrence dans le domaine n'y est pas encore accrue. L'Inde est un écosystème jeune. Les réseaux sociaux, l’empathie et les adolescents Selon un sondage effectué pour l’ONG 30 Hour Famine, 55% des adolescents questionnés affirment que des réseaux sociaux comme Facebook ou Twitter les a rendu plus conscients des besoins des autres. La même question avait été posée en 2011, et seulement 44 pourcent des adolescents s’étaient lors sentis concernés. Pour Regina Corson, la Vice Présidente de l’association, cette augmentation est un signe des temps.

Vitesse et efficacité d'une langue à transmettre l'information Une chose qui m'a toujours étonné est la propension qu'ont les Espagnols à parler comme une mitraillette. Il n'est pas alors étonnant que l'oral devienne bien plus difficile que l'écrit pour certaines langues. La question qui se pose est alors de savoir si la rapidité d'élocution d'une langue donnée a un impact sur l'information réellement transmise. Les jeunes et internet : Deux enquêtes instructives Viennent de paraître deux enquêtes qui étudient les pratiques des adolescents sur internet : l’une porte sur les usages de Facebook par les collégiens et lycéens ; l’autre analyse le rapport des jeunes à la culture à l’ère du numérique. Les résultats de ces enquêtes s’avèrent particulièrement intéressants et édifiants dans la mesure où ils permettent de confronter le discours dominant et la réalité des pratiques. Ils peuvent ainsi éduquer notre regard sur les élèves en combattant certaines idées reçues. Ils constituent aussi une invitation à faire d’internet à l’école un véritable espace éducatif. Le Dictionnaire des Idées reçues version 2012 Jeune : individu décérébré, c’est-à-dire illettré (il n’aime pas lire, il ne s’intéresse pas à la culture…) et irresponsable (sur internet, il se met en danger et met en danger autrui).

8.7 M de “Digital Mums” en France ! Il faut peut-être enfin ranger au rayon « histoire de la publicité » le fameux concept de ménagère de moins de 50 ans pour définir les nouvelles cibles en rapport avec les réalités de consommation des nouveaux médias. C’est ce que fait WebMediaGroup avec la « Digital Mum », une femme ayant au moins un enfant à charge et se connectant au moins une fois par semaine à internet. Elle a un rapport à la société et à la consommation qui mêle le réel et le numérique. Il y a 4 mois, WebMediaGroup tentait dans une première étude une approche de cette cible en collaboration avec Ipsos.

Des usages d’Internet en progression chez les jeunes enfants Les jeunes enfants sont connectés au Web de plus en plus tôt. Pour les 3 à 6 ans, les usages sont encore modestes mais ils existent. C’est ce que révèle l’agence Aegis Media France qui vient de publier son étude « Kids & teens sur le Web ». 1 032 questionnaires en ligne ont été renseignés par 485 mamans d’enfants internautes de 3 à 6 ans et 557 enfants internautes de 7 à 12 ans. 31 % des enfants de 3 à 4 ans, 41 % des 5 à 6 ans, 67 % des 7 à 12 ans se connectent plusieurs fois par semaine, voire davantage sur Internet.

Ce qui pousse les entreprises à expérimenter la sieste Malgré les difficultés à dénicher quelques mètres carrés, les entreprises sont de plus en plus nombreuses à réserver un espace dédié à la sieste. Nos modes de vie ont en effet bien changé ces dernières décennies et la fatigue s’est imposée dans notre quotidien, entrainant de multiples conséquences : somnolence, inefficacité, stress, accidents, humeur… Des troubles qui usent les salariés et coûtent cher aux entreprises. Alors la sieste est-elle une solution efficace ? C’est en tout cas ce dont sont convaincus ces initiateurs qui ont dû braver un véritable tabou pour vendre ce projet dans leur entreprise. C’est pourquoi, nous avons cherché à comprendre quels ont été les différents facteurs à l’origine de ces décisions. Les salariés manifestent le besoin d’un espace de repos

Des ados se d shabillent pour obtenir des commentaires sur leurs blogs Après le «sexting», une pratique très prisée chez les ados qui consiste à s’envoyer des SMS à tonalité sexuelle, parfois avec photos ou vidéos à l’appui, voici le nouveau phénomène en vogue au pays des collégiens: le «dedipix» (dédicace + picture). «Si le sexting est vieux comme le téléphone portable, le dedipix, lui, est une tendance plus récente» qui prend de l’ampleur sur les blogs, explique à 20minutes.fr Thomas Rohmer, le président de Calysto, une association qui intervient dans des classes de collège pour décrypter avec les élèves l’impact du numérique sur leur vie. Alors, kesako le «dedipix»?

Le bonheur améliore la santé et allonge la durée de vie - Les news Psycho de Doctissimo L'analyse de 160 études met en évidence le fait que les gens heureux ont tendance à vivre plus longtemps et en meilleure santé, selon une synthèse parue dans la revue Applied Psychology : Health and well-being. Zoom sur les vertus démontrées d'un sentiment subjectif mais recherché par tous. Ed Diener, professeur en psychologie dans l'Illinois (USA) et Micaela Chan, Texas, ont regroupé des études de différents types : suivi sur le long terme de populations, malades ou non, expériences de physiologie, études de l'influence de l'environnement sur chez l'animal, analyse de l'impact de traitements, et études de la qualité de vie et de l'influence de facteurs tels que la douleur ou les problèmes de mobilité. Une baisse significative de la mortalité Plusieurs études se sont intéressées à l'impact du bien-être sur la longévité. Un travail publié en 2001 a analysé les journaux intimes de 180 nonnes américaines qui ont été suivies pendant plusieurs décennies.

L'usage intensif du mobile modifie les rapports de force et la vision de la réalité Le mobile est toujours plus présent dans le quotidien des Français. Après les digital native, ce sont maintenant toutes les générations qui l’ont adopté et l’utilisent en tout temps et en tout lieu. Actuellement, on assiste à une massification du phénomène mobile, à la fois en termes d’usage, de lieu et de temps. En effet, en France, ce sont maintenant 92% des 15-75ans qui prennent des photos avec leur mobile, 65% qui l’utilisent pour écouter de la musique et 51% qui vont sur les réseaux sociaux par ce biais. 38 millions de français accros à internet et aux réseaux sociaux Le dernier rapport de Médiamétrie note une augmentation de 10% du nombre d’internautes français. Des francais qui se connectent quotidiennement et passent plus de temps sur internet. À côté des réseaux sociaux, l’internet mobile via les smartphones et tablettes devient un nouveau relais de croissance.

Le blog de Serge Tisseron Posté par Serge Tisseron le 21 avril 2014. On me demande parfois quelle est la différence, du point de vue des images, entre le refoulement et le clivage. Ces mots désignent, rappelons le, deux mécanismes psychiques normaux de défense dont seuls les excès sont problématiques.

Les inégalités homme-femme face à internet en Aquitaine [AEC] Selon l’enquête réalisée par AEC dans le cadre du Diagnostic 2010 de l’Aquitaine numérique, on constate qu’il y a 61% d'internautes parmi les femmes contre 70% parmi les hommes. Quelques précisions et une infographie pour comprendre. Les hommes et les femmes ne sont pas égaux… face à internet. AEC apporte sa pierre à l’analyse des usages de la Toile en livrant une infographie des plus explicites : en 2010, en Aquitaine, les femmes accusent un retard significatif de 9 points de pourcentage sur les hommes quant à leur utilisation d’internet. Selon l’enquête "ménage" réalisée dans le cadre du Diagnostic 2010 de l’Aquitaine numérique , on constate qu’il y a 61% d'internautes parmi les femmes contre 70% parmi les hommes. Les chiffres nous livrent une réponse positive mais qu’il faut nuancer en étudiant d'autres critères.

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