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Conservation du sol : 1.000 ha en semis direct - Reportages - Vidéos - La France Agricole mercredi 28 mai 2014 Jean-Claude Quillet, agriculteur à Montlouis-sur-Loire (Indre-et-Loire), sème ses cultures en direct depuis 17 ans. Entre son exploitation, celle de ses deux associés et les prestations de service, ce sont plus de 1.000 ha qui sont semés tous les ans, aussi bien sur des terrains sableux que sur des terres argileuses. Avec le laboratoire Celesta-lab, il a fait analyser son sol ainsi que celui de son voisin, en système de labour. Voir tous les reportages vidéo. Réalisé par Adèle MagnardJournaliste reporter d'images Fonctionnalité réservée aux abonnés Le commentaire d'article est réservé aux abonnés de La France Agricole. Si vous êtes abonné, identifiez-vous dans le bloc "services experts" situé en haut à droite de la page. Si vous voulez vous abonner et profiter de tous les contenus du site ainsi que de l’édition papier de La France Agricole, cliquez sur le lien ci-dessous :

Ferme du Pouzat - le festin du sol untitled Plantain : cette petite plante de nos jardins est l’un des médicaments les plus utiles de la planète. Vous avez l’avez piétinée, ignorée, et vous avez même essayé de l’éliminer de votre pelouse. Cependant, cette petite herbe inoffensive est l’un des médicaments les plus utiles de la planète, et elle ne demande qu’à être récoltée. Le Plantain lancéolé et le Grand (Plantago major): En général, les 250 espèces de cette plante ont les mêmes propriétés. Le grand (Plantago major)ou plantain des oiseaux, originaire d’Europe, a ses feuilles basales qui sont disposées en rosette. Indications : Le plantain contient de la pectine, de l’aucubine, des flavonoïdes (apigénine, lutéoline, quercétine) et d’autres dérivés phénoliques (acide caféique, chlorogénique) et des hétérosides (flavonol, aicdes phénol), une substance mucilagineuse (2 à 6%) riche en arabinose, galactose et acides uroniques (arabinogalactane anti-inflammatoire), de la vitamine C (8 mg/100g) ainsi que du soufre, du zinc, de la silice, du potassium et du calcium. Contre-indications : Posologie: Pour faire votre sirop c’est très simple.

Garden Tower : le jardin bio à domicile Comment cultiver une nourriture saine de ses propres mains quand on habite en ville ? C’est pour répondre à cette question qu’est née la Garden Tower, véritable petit jardin urbain de 7,6m2 de surface cultivable pour à peine plus d’1m2 de surface au sol. Conçue en plastique recyclable, cette petite tour autonome qui vise à relocaliser la production alimentaire accueille jusqu’à 50 plantes grâce au compost qu’elle génère elle-même. Qui n’a jamais rêvé de cultiver ses propres légumes et salades ? Séduisante, l’idée reste pourtant une utopie aux yeux de millions de citadins. Ecologique et quasi-autonome © Garden Tower Project Perforée de larges fentes, la tour permet de cultiver jusqu’à 50 plantes différentes de façon rapide et naturelle. De par sa structure qui limite l’évapotranspiration, la tour consomme moins d’eau qu’une culture sur sol à surface équivalente ou d’autres conteneurs traditionnels. Projet collaboratif et socialement responsable Nicolas Blain

Bienvenue dans l’agriculture de demain, libérée des pesticides et du pétrole, et créatrice de dizaines de milliers d’emplois Ce jour de printemps, Charles Hervé-Gruyer est accroupi au pied d’une butte de terre et repique des navets. Autour, une mare et un cours d’eau où viennent se réfléchir les rayons du soleil, de quoi augmenter légèrement la température de la butte cultivée. Nous sommes ici sur une petite île de la ferme du Bec Hellouin, à une cinquantaine de kilomètres de Rouen, dans l’Eure. Des canards [1] barbotent et viennent, quand c’est nécessaire, happer les limaces qui menacent les cultures. Sur le côté poussent des roseaux. Un peu plus loin, un jardin-forêt – entendez, des arbres et arbustes fruitiers mélangés à des plantes aromatiques et médicinales – abrite les cultures des vents dominants. « Nous avons créé des petits milieux qui interagissent entre eux, avec une circulation de la matière organique », explique Charles. « Un cocon de nature vivante, protégée. » Sur son île, Charles Hervé-Gruyer ressemble un peu à un aventurier… de l’alimentation de demain. Une agriculture sans pétrole

Un système de culture autonome en eau et autofertile? | Derrière cet anglicisme se cache un système de culture utilisé fréquemment en permaculture très intéressant. On pourrait traduire ce dernier par « une jardinière autosuffisante », beaucoup moins fun me direz-vous…N’hésitez pas à nous proposer des noms après lecture de l’article, si celui-ci vous inspire. Pour simplifier, le « wicking beds » est un système de culture éventuellement mobile, en jardinière donc « hors-sol », et complètement autosuffisant en eau et en fertilisant si on le souhaite. Les avantages sont énormes dans certains contextes, culture sur béton, parking, toitures, sols incultes, tout d’abord. Ce système est particulièrement adapté pour les milieux urbains, les toitures, les endroits où le sol fertile n’est plus accessible. On pourrait tout à fait penser à des déclinaisons professionnelles dans des lieux où la culture maraîchère serait difficile, je pense encore une fois aux milieux urbains. Fonctionnement Le principe de fonctionnement d’un wicking bed est très simple.

Technique de permaculture | monjardinpolitique Bien qu’il y ait une description de mulch en couche pour jardins dans Permaculture 1 (p. 1181), cette technique a provoqué de nombreuses questions, auxquelles j’espère pouvoir répondre ici. Cette technique est illustrée sur la fig. 3.3, et des méthodes similaires sont décrites par Ruth Stout en même temps que d’autres, publiées ou non, qui toutes connaissent des variations. Un film vidéo de l’auteur faisant la démonstration du procédé peut être obtenu par W.A.I.T. La toute première chose à savoir sur le mulch en couche est qu’il épargne beaucoup de travail et économise beaucoup d’eau, tout en utilisant des matériaux que l’on a l’habitude de jeter. La première étape (fig. 3.3) est de répandre sur le sol une poignée de dolomie et une poignée de fumier de poulet ou de sang et d’os en poudre ; ces deux derniers apportent l’azote qui va démarrer la réduction du carbone dans les couches suivantes. 75 mm de, au choix : ou un mélange de ces matériaux. 150 mm de, au choix : Pour finir. OK.

monjardinpolitique | Ou comment faire de la politique en jardinant… tout un programme !!! Focus sur la permaculture, un système autonome et hyperproductif inspiré par la Nature Comprendre les écosystèmes pour les adapter aux hommes de manière durable en cherchant l’autosuffisance. Bienvenue en permaculture. Un système plus productif que l’agriculture industrielle, qui respecte la nature et prône la diversité. Concevoir un système de culture fertile et autosuffisant Rendre fertile la terre indéfiniment en créant un système à la fois durable et autosuffisant. La permaculture est un mélange d’agroécologie, de biomimétisme (ingénierie inspirée du vivant), d’agriculture biologique, de pédologie (science des sols), de paysagisme et de philosophie. L’idée principale est d’intégrer le travail de l’Homme dans la Nature, et non de façonner la Nature pour satisfaire les besoins de l’Homme. Formation en permaculture à Syndey en Australie Le mot permaculture vient de l’expression anglaise “permanent agriculture”. Des techniques simples pour laisser la nature s’exprimer Un système de permaculture en marche demande très peu de travail et d’énergie pour fonctionner.

Une famille américaine fait pousser 3 tonnes de nourriture bio par an dans son jardin Aux États-Unis, à 15 minutes du centre-ville de Los Angeles, une famille fait sa révolution en créant sa propre ferme urbaine qui produit assez de nourriture pour être auto-suffisante. C’est à Pasadena en Californie, que vit la famille Dervaes au milieu d’une micro ferme de 370 mètres carrés. Devenue une véritable ferme urbaine, elle produit 2,7 tonnes de nourriture par an, ce qui rend la famille auto-suffisante en nourriture. Cet exemple donne une idée et fait réfléchir sur ce qu’il est possible de faire dans un endroit assez commun, à une dizaine de minutes du centre-ville. Un objectif : manger des légumes du jardin 100% bio Vous pensiez ne pas pouvoir faire pousser beaucoup de nourriture en milieu urbain ? Jules Dervaes a créé cette ferme, il y a plus de 20 ans, avec ses trois enfants, Justin, Anaïs et Jordanne, dans le but de manger une nourriture saine, biologique, sans OGM et cultivée maison. Vue satellite de la ferme des Dervaes Une vie plus simple, des factures plus légères

La permaculture et l’agroécologie — Des solutions sensées aux problèmes modernes | écomestible Posted by admin on Lundi, novembre 11, 2013 · Leave a Comment La permaculture et l’agroécologie sont des approches apparues dans les années 70 face à la destruction massive des sols et de la biodiversité par l’agriculture industrielle et chimique. La permaculture a été fondée en Australie, vers la fin des années soixante par Bill Mollison et David Holmgren. L’agroécologie est plus connue chez nos cousins français. Le Québec à connu sa révolution verte comme ailleurs en adoptant l’agriculture chimique et mécanisée.

Faire un max de blé grâce à la permaculture : La méthode Fukuoka-Bonfils | Jardinons la planète Un permaculteur complètement inconnu du grand public a peut-être mis au point une technique de production de blé révolutionnaire. Alors qu’en Beauce aujourd’hui, les agriculteurs les plus en pointe lèvent fièrement leur poitrail en réalisant 100 quintaux de blés à l’hectare, Marc Bonfils, déclarait dès les années 80 pouvoir en produire 150. Sa solution? S’inspirer de la physiologie de la célèbre graminée. Une démarche qui prend sa source dans la lecture du livre de Fukuoka, la révolution d’un seul brin de paille. Coup de génie, coup de folie ou les deux? Qui est Marc Bonfils? Autant le dire tout de suite, la vie de ce personnage est des plus énigmatique. Avant toute chose, j’ai essayé de connaître le personnage et éventuellement rentrer en contact avec lui pour obtenir des informations de premières main, mais ce curieux permaculteur avait déjà rendu l’âme. La culture moderne du blé La culture du blé est aujourd’hui toujours moto-mécanisée, du semis jusqu’à la récolte. J'aime :

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