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Conversation avec Françoise Héritier: «L'égalité homme/femme n'est pas l'indifférenciation»

Conversation avec Françoise Héritier: «L'égalité homme/femme n'est pas l'indifférenciation»
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5 fausses idées sur les personnes intersexes Souvent discriminées, les personnes intersexes sont victimes d’idée reçues. A l'occasion de la journée de la visibilité intersexe, le 26 octobre, voici cinq fausses idées qu'il est urgent de dissiper, pour mieux lutter contre les stéréotypes de genre et comprendre les enjeux liés à l'intersexuation. 1- « Tout le monde naît garçon ou fille » Beaucoup de gens pensent que le monde est divisé en deux catégories bien distinctes de personnes, les hommes et les femmes. Pourtant, ce n'est pas toujours le cas. Le terme intersexuation est un terme générique utilisé pour désigner un large éventail de variations naturelles qui affectent les organes génitaux, les gonades, les hormones, les chromosomes ou les organes reproducteurs. Mais ça veut dire quoi, être intersexe ou intersexué(e) ? 2 - « L’intersexuation est très rare » Selon les spécialistes, environ 1,7 % de la population naît avec des caractéristiques intersexes, ce qui est comparable au nombre d’enfants qui naissent avec des cheveux roux.

Les hommes et les femmes sont-ils égaux face aux mathématiques ? Si vous avez vu le documentaire Comment j'ai détesté les maths, d'Olivier Peyon, cela vous a peut-être frappé même si ce n'est pas le sujet du film : sur les 17 chercheurs et professeurs de mathématiques qui apparaissent dans le film, 15 sont des hommes et deux seulement sont des femmes. Le reflet de la réalité. Les mathématiques sont-elles réellement plus compliquées pour les filles que pour les garçons ? © Wikimedia Commons - Wallpoper Si l'on regarde les lauréats de la médaille Fields (en anglais) - considérée comme l'équivalent du prix Nobel de mathématiques - depuis la création du prix en 1936, sur les 52 médailles décernées, pas une seule n'a été attribuée à une femme. En France, le CNRS compte dans ses rangs 16 % de mathématiciennes pour 84 % de mathématiciens. Le test Des chercheurs de l'Université de Provence ont fait passer un test à des écoliers et des écolières. Cette expérience a été réalisée sur deux groupes comprenant des filles et des garçons. Pour que cela change

19 personnes trans avant/après leur transition transgenre à couper le souffle Si les habitudes ont parfois la vie dure, et que les trans ne sont pas encore vus comme des personnes à part entière lorsqu’il s’agit de leur genre, de gros progrès sont faits chaque année grâce à la lutte contre la transphobie, grâce à l’ouverture d’esprit grandissante des populations, et grâce à la médiatisation du problème. Si tout n’est clairement pas joué, on tend vers une démocratisation du respect envers les trans, et quand on pense qu’on vit en 2017, il serait peut-être temps ! Au-delà des préjugés et des difficultés liés au fait d’être trans, un bon point est à noter : la chirurgie et la médecine font des miracles de nos jours, et il est beaucoup plus facile aujourd’hui d’effectuer une transition (du point de vue apparence, on entend) que ça a pu être le cas au cours de ces dernières décennies. Publié par Odilon Duval Robert le 06 Sep 2017 Publié par Odilon Duval Robert le 06 Sep 2017

Les stéréotypes de genre sont dangereux pour la santé Le 16 janvier 2014, rediffusé dans le cadre d’un partenariat avec le Centre Hubertine Auclert (notre Manifeste) Les stéréotypes de genre, #OnEnParle ! madmoiZelle est la fière partenaire de la campagne #OnEnParle, pour déconstruire les stéréotypes de genre. Aux côtés du Centre Hubertine Auclert, qui lutte pour l’égalité entre les femmes et les hommes en Île de France, nous nous engageons pour un avenir sans injonctions à la masculinité ni à la féminité. Si tu veux en savoir plus, rends-toi sur le minisite du Centre Hubertine Auclert ou participe au quizz sur l’Instagram de Rose Carpet. Et en attendant, découvre cet article qui témoigne des débats autour des stéréotypes de genre en 2014, et surtout de pourquoi ils sont mauvais pour la santé… Littéralement. En 2018, les stéréotypes de genre sont (encore) dangereux pour la santé Lutter contre les stéréotypes filles — garçons est un enjeu d’égalité et de mixité, selon le rapport du Commissariat général à la stratégie et à la prospective.

Océan, une transition sur grand écran BB : Ma première question, elle est toute simple : est-ce que ça va, Océan ? Océan : (rires) Est-ce que ça va ? Écoute, oui ça va. Ça va bien. BB : Je te pose la question parce qu’en voyant le documentaire, on se demande ‘Comment il fait pour ne pas être exténué ?’. Déjà, il ne faut pas oublier que je suis blanc, que j’ai de l’argent, que je suis valide et que ce sont des privilèges. Je me heurte aussi à la violence médiatique, parfois, je réponds à des journalistes qui souvent ne sont pas du tout au fait des questions trans et posent donc des questions gênantes. BB : D’où le « ça va bien » ? Oui ! BB : L’idée, c’était d’en faire une sorte de moyen de protection ? Océan : Non… Tout mon travail artistique, c’est travailler sur l’intime, travailler sur le personnel pour produire du collectif, pour aussi nourrir le patrimoine LGBTQ+ et que d’autres puissent voir ça et prendre de la force. A Paris, il y a un bouche-à-oreille qui fonctionne… mais ce n’est pas le cas partout BB : Par exemple ?

La fabrique des garçons : sanctions et genre au collège J'ai reçu en cadeau le livre La fabrique des garçons. Sanctions et genre au collège dont je vais vous proposer le résumé. Sylvie Ayral a étudié le nombre de sanctions dans 5 collèges très différents et a constaté que 75.7% à 84.2% des élèves punis ou sanctionnés étaient des garçons. 84.2% à 97.6% des élèves punis pour violences sur autrui étaient des garçons. Plein d'éléments ont déjà été étudiés afin d'estimer pourquoi des élèves sont punis et sanctionnés mais la sanction ne l'a jamais été par le prisme du genre. Dans une première partie, l'auteure explique ce qu'est le système de punitions et de sanctions. L'effet pervers de la sanction est que pour arrêter la violence, on fait soi même preuve de violence. Daniel Welzer-Lang dit que la virilité est "apprise et imposée aux garçons par le groupe des hommes au cours de leur socialisation pour qu'ils se distinguent hiérarchiquement des femmes. Dans les collèges, le principe de proportionnalité est souvent non respecté.

Hillary and Chelsea Clinton disagree on transgender identity There’s at least one topic Hillary and Chelsea Clinton don’t see eye to eye on — transgender identity. In an interview with the the Sunday Times of London, the mother-daughter duo were asked if someone with a beard and penis can ever be a woman. “Ye-esss. Yes,” Chelsea replied. Her mom, meanwhile, looked “uneasy,” journalist Decca Aitkenhead wrote. “Errr. And while Chelsea, 39, said she supports children being able to play on sports teams that match their gender identity, Hillary, 71, appeared conflicted. “I think you’ve got to be sensitive to how difficult this is,” Hillary said. During the discussion, the reporter pointed out that many women of Hillary’s generation are uncomfortable with biological males sharing their bathrooms. “I would say that, absolutely,” the former secretary of state said, nodding firmly. That’s when Chelsea shot a “furious stare” at Aitkenhead, who called out the glare. “I’m a terrible actor,” the former first daughter laughed.

Androcentrism: It’s Okay to Be a Boy, but Being a Girl… Sociologists use the term “androcentrism” to refer to a new kind of sexism, one that replaces the favoring of men over women with the favoring of masculinity over femininity. According to the rules of androcentrism, men and women alike are rewarded, but only insofar as they are masculine (e.g., they play sports, drink whiskey, and are lawyers or surgeons w00t!). Meanwhile, men are punished for doing femininity and women… well, women are required to do femininity and simultaneously punished for it. Illustrating this concept, much more concisely, is this altered photograph of James Franco in drag. Sent along by Stephanie V., the photo was originally for the cover of Candy, a “transversal style” fashion magazine. I’m not sure who added the copy,* but I like it: * So Caro Visi, where I found the image, credits Virus, but I can’t find it there. UPDATE: Sarah and John, in the comments thread, pointed out that the language is borrowed from a movie titled The Cement Garden.

sans titre Béatrice Denaes au Studio 104 de Radio France en compagnie de Daniel Morin (France Inter) Béatrice Denaes, anciennement Bruno Denaes, née le 14 mars 1956 à Calais, est une journaliste française, ancien médiateur des antennes de Radio France de 2015 à 2018. Elle est diplômée de l’École supérieure de journalisme de Lille (ESJ Lille-1979). En 2019, elle annonce son changement de sexe et d'état-civil. Biographie[modifier | modifier le code] Carrière[modifier | modifier le code] Bruno Denaes commence sa carrière comme pigiste en 1975, au quotidien Nord-Littoral[1] et à l’hebdomadaire régional la Croix du Nord-Magazine, puis à FR3 Nord Pas-de-Calais (1978-1979), où il présente les matinales de la radio. Durant son service national (1979-1980), il crée un journal télévisé pour le 43e RI de Lille et réalise plusieurs magazines vidéo. Bruno Denaes rejoint l’équipe de France Info en 1989 pour assurer la rédaction en chef des matinales[9]. Notes et références[modifier | modifier le code]

Détruire la virilité Beaucoup d'hommes semblent très occupés à tenter de définir leur place dans le féminisme. C'est pour moi un phénomène assez curieux que de voir des hommes, qui ont déjà une place immense dans la société, venir encore en réclamer une dans le féminisme, perdre du temps à débattre de ce sujet alors qu'il y a d'autres urgences. Discuter de sa place c'est toujours un temps qui ne sera pas passé à discuter des inégalités subies par les femmes. Alors puisque certains cherchent leur place dans le féminisme, que même là il faut se préoccuper d'eux sinon ils passent leur temps à solliciter notre attention pour en réclamer une, attribuons leur en une. Qu'est ce que la virilité ? Dans son livre, Stoltenberg dit qu'il faut détruire la virilité. Soit on part du principe que 90% de détenus masculins c'est une coïncidence. 98% de violeurs c'est une coïncidence. 99% agresseurs sexuels c'est une coïncidence. On a coutume de dire que seuls les vrais hommes ne violent pas.

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