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Les médias sont-ils sexistes ? (Acrimed)

Les médias sont-ils sexistes ? (Acrimed)

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Sexisme, stéréotype, rôles sexuels : quelques concepts Maitriser quelques concepts est indispensable avant de travailler avec les jeunes sur l'égalité des sexes. Voici quelques définitions simples. Le sexisme Ce terme, né dans les années 60, a été crée par les féministes, en se calquant sur celui de racisme. Le sexisme se définit comme une attitude discriminatoire envers une personne en raison de son sexe (souvent féminin).

Image des femmes dans la publicité télévisée : les décalages et stéréotypes persistent - CSA - Conseil supérieur de l’audiovisuel Le CSA a examiné plus de 2 000 spots publicitaires diffusés à la télévision ces derniers mois, en s’interrogeant sur la représentation des femmes qui s’y fait jour. Les chiffres qui en résultent, sans appel, révèlent la persistance des stéréotypes de genre. « Les chiffres parlent parfois plus que les mots, souligne Sylvie Pierre-Brossolette, conseillère en charge du droit des femmes, dans l’avant-propos de l’étude : établir un diagnostic sur des critères précis et quantifiables permet de donner une réponse, base à un dialogue utile avec tous les acteurs concernés. C’est à cet exercice que s’est livré le Conseil, pour répondre à la nouvelle mission que lui a confiée le législateur le 27 janvier 2017. »

#Balance ton sexisme - Vidéo Affaire Weinstein, harcèlement au travail, inégalités salariales…, c’est un fait, la parole autour de ces discriminations se libère. En fait, tous ces délits n’existent qu’au travers d’une notion : le sexisme. Le sexisme, qu’est-ce que c’est ? C’est une attitude ou une idéologie discriminatoire basée sur le sexe. Femmes et médias d'information - Article Les médias ne renvoient pas toujours de la société une image qui reflète la réalité. Ce constat est particulièrement vrai de la place des femmes dans l’information, où elles souffrent encore d’une sous-représentation et d’une abondance de stéréotypes. Au cours de la présentation à la presse de la saison de France Télévisions fin août 2012, un collectif féministe, La Barbe, s’empare du micro pour ironiser sur la « juste prédominance masculine à l’antenne » et dénoncer l’absence de parité femmes-hommes sur les plateaux. En outre, depuis quelques années, rapports et études se succèdent pour déplorer la persistance de clichés sexistes dans les médias d’information. Il n’y aurait donc pas que dans les sitcoms, les pubs ou les jeux vidéo que l’image de la femme serait mise à mal. Quotidiens, journaux télévisés et matinales radio comporteraient, eux aussi, leur part d’ombre dans ce domaine.

Les stéréotypes sexistes persistent dans les publicités TV Les stéréotypes et autres préjugés sexistes perdurent dans les publicités diffusées à la télévision, selon une étude réalisée par le Conseil supérieur de l'audiovisuel et rendue publique mardi. Des clichés "parfois d'un autre temps". Le CSA a analysé des spots diffusés juste avant 20 heures sur l'ensemble des chaînes de la TNT afin d'établir un constat de départ, à la suite de la loi Égalité et citoyenneté de janvier 2017, qui a étendu ses missions au respect de l'image des femmes dans les publicités à la télévision. "2.000 spots ont été examinés, avec des résultats qui montrent le maintien de stéréotypes et de clichés qui sont parfois d'un autre temps et qui sont en décalage avec la société", a expliqué à l'AFP Sylvie Pierre-Brossolette, membre du collège du CSA chargée du droit des femmes. Elle évoque notamment les spots pour des marques d'automobiles dans lesquels "on ne montre que des hommes au volant et des femmes à côté dans des rôles d'adjuvants agréables".

Le rayon jouets de ce Leclerc accusé de sexisme SEXISME - Avec les fêtes de fin d'année, les rayons jouets des grandes surfaces sont à nouveau au centre de toutes les attentions. Mais tous ces jeux qui font le plaisir des enfants réveillent parfois des clichés qui ont la peau dure, et qui en irritent plus d'un. C'est le cas dans ce Leclerc vendéen. Le magasin divise très clairement les jouets pour enfants, avec un rayon pour les garçons qui veulent être "un héros", en bleu, et un rayon tout en rose pour les filles qui veulent être "une princesse".

Idées cadeaux Noël 2018 : 3 initiatives pour des jouets sans stéréotype de genre En 2013, Guillaume Caboche et Edouard Trucy ont créé Pandacraft, une plateforme sur le web spécialisée dans la création de kits éducatifs et non-genrés pour les enfants de 3 à 12 ans. Chaque mois, une boîte contenant deux ateliers pratiques (le matériel est fourni) est proposée à l'enfant pour découvrir un thème précis : pirates, volcans, espèces sous-marine, corps humain... Le concept est simple : "révéler le génie des enfants", sans passer par les cases filles/garçons et les schémas que nous impose la société. À savoir que les filles sont empathiques et destinées aux professions sociales, tandis que les garçons sont faits pour les aventures, la prise de risques et les métiers manuels.

On a épluché les catalogues de Noël : 15 jouets, qui étaient unisexes il y a 10 ans, ont maintenant une version fille et garçon AH OUI QUAND MÊME - C'est un fait : les jouets sont de moins en moins unisexes et de plus en plus déclinés en version fille-rose et garçon-bleu. Pour le vérifier, petit tour des catalogues de Noël 2017. 23 nov. 2017 23:09 - Sibylle LAURENT A cette période de l'année, c’est difficile de passer à côté : Noël arrive, les rayons de jouet s’installent, les grands magasins sont désormais séparés en deux zones, bien distinctes : une bleue, et une rose. Il faut choisir son camp.

Jouets de Noël : encore trop de catalogues sexistes Certains distributeurs font des efforts, mais les marques de jouets, elles, perpétuent les clichés au nom de la rentabilité économique. Dans son catalogue de jouets de Noël, Carrefour présente un poupon interactif avec ces mots : « Deviens une véritable maman en prenant soin de ton Baby Born ! Existe en 3 modèles différents : fille, garçon ou ethnique. » Cela aurait pu passer inaperçu sans ce tweet du 15 octobre : @GraciosaTorpeza Twitter Des dizaines de commentaires dénonçant le caractère sexiste et raciste de cette publicité ont suivi. Carrefour n’a pas tardé à répondre aux accusations : « Nous regrettons l'erreur de libellé émanant d'un fournisseur et vous présentons nos excuses.

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