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Mythologie nordique : Freyja

Mythologie nordique : Freyja
Freyja d'après Bloomer National Museum, Stockholm Sœur jumelle de Freyr , elle était la déesse de la Terre et de la Fertilité. Freyja , la mystique aux yeux bleus et à la chevelure dorée, était la déesse de l’Amour et de la Beauté. Elle avait un beau collier magique qui s’appelait Brisingamen et portait une peau d’épervier. On dit que Freyja voyageait dans un chariot tiré par des chats. Freyja était la plus populaire de toutes les déesses, et celle que l’on vénéra le plus longtemps dans les pays nordiques. Quand son mari, Odr, était absent, Freyja pleurait des larmes en or, qui se transformaient en ambre quand elles tombaient à la mer.

http://mythologica.fr/nordique/freyia.htm

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MYTHOLOGIE NORDIQUE Thor Fils d'Odin et de Jord, membre des Ases, il était le dieu de la force et du tonnerre. Il a été révéré tout d'abord sous le nom de Donar ou Donner qu'on retrouve encore de nos jours dans Donnerstag alors que les Anglais utilisent Thursday (le jour dédié à Thor).Son visage était orné d'une longue barbe rousse tout comme ses sourcils et sa voix puissante couvrait le tumulte des combats.Infatigable et noble guerrier, Thor était le principal ennemi des Géants.Mais ce valeureux guerrier était aussi rude que simple. Un des poêmes de l'Edda fait ressortir sa gaucherie par rapport à Odin, plus habile que son interlocuteur à former un récit.Au cours d'un de ces voyages, il arriva à un bras de mer qu'il ne pouvait pas traverser.

Valkyrie Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Les Valkyries, dans la mythologie nordique, sont des vierges guerrières, des divinités mineures dites dises qui servaient Odin, maître des dieux. Les Valkyries, revêtues d’une armure, volaient, dirigeaient les batailles, distribuaient la mort parmi les guerriers et emmenaient l’âme des héros au Valhalla, le grand palais d’Odin, afin qu'ils deviennent des Einherjar. Ces héroïnes sont destinées à se battre aux côtés d'Odin à la venue du Ragnarök. Elles sont à l'image de ces femmes guerrières, les Skjaldmös que content les sagas nordiques. L'étymologie de leur nom provient du vieux norrois valkyrja (pluriel : valkyrur), des mots val (abattre) et kyrja (choisir) (littéralement, « qui choisit les abattus »).

les dieux de la mythologie nordique Hel Publié le 28/12/2010 à 21:28 par darkdreamsTags : Hel déesse Hel est la déesse des morts, elle est la fille de Loki et de Angrboda sœur de Fenrir et de Jörmungand. Dans les croyances nordiques ancestrales pré-chétiennes Hel est l'une des hypostases de Freyja la Grande Déesse mère le nom hel (helja) signifie : accueillir, cacher, car Freyja est aussi la déesse de la mort qui accueille la moitié des guerriers.

Valhalla Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Le Valhalla (également la Valhalle), dans la mythologie nordique, est le lieu où les valeureux guerriers défunts sont amenés. C'est le paradis viking au sein même du royaume des dieux, « la fortification d'Ásgard » où règne Odin.

Filles du Rhin Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Les trois Filles du Rhin jouant autour de l’or. Illustration de H. A. Gilgamesh Gilgamesh Palais de Sargon Gilgamesh est un roi à demi légendaire de la cité d'Ourouk (Uruk), qui aurait régné vers 2600 avant notre ère. D'origine sumérienne, ce récit s'est transmis d'abord de manière orale, puis il fut écrit vers 2000 avant notre ère à Babylone. La version la plus achevée, écrite sur douze tablettes, a été retrouvée à Ninive, dans la bibliothèque du roi syrien Assourbanipal (668-627 avant notre ère). Elle comprend 3400 vers répartis sur douze tablettes: Tablette 1 - Présentation de Gilgamesh et d'Enkidu Tablette 2 - Rencontre de Gilgamesh et d'Enkidu Tablette 3 - Décision d'aller combattre Humbaba; inquiétude d'Enkidu et du peuple.

Nixe Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Étymologie et terminologie[modifier | modifier le code] Les noms de « nixe » et « neck » sont issus du proto germanique nikwus ou nikwis, lui-même issu du langage proto-Indo-Européen, neig, qui signifie (« laver »)[2]. Cette forme est à mettre en relation avec le sanskrit nḗnēkti (« laver »), le grec nízō et níptō, et l’irlandais nigther[3]. La forme neck apparaît en Angleterre et en Suède (näck ou nek)[3]. La forme suédoise est issue du vieux suédois neker, équivalente du vieil islandais nykr (nykrs), et nykk en norvégien moderne[3].

Les Barbares : vraiment différents ? Chez tous les peuples, la peur des autres s’est toujours entremêlée, dans des proportions inégales, avec une curiosité pour leur différence, avec une fascination en face de leur étrangeté, avec, parfois, une sympathie pour ceux que l’exil a déraciné. Notre actualité, qui est grosse d’incertitudes sur le sort des Syriens et des Africains que la guerre ou la faim jettent sur les rives de l’Europe, est destinée à exaspérer ces sentiments et à exalter les passions du rejet. A telle enseigne que beaucoup de nos concitoyens sont portés à refouler au-delà de nos frontières les hommes et les femmes qui, nourris d’un patriotisme différent et alourdis de malheurs, prétendent à rejoindre notre sol et notre façon de vivre. Par quoi l’on est conduit, tout droit, dans l’esprit de cette émission, à s’intéresser à ces peuples que la Grèce et la Rome antiques ont fustigés comme Barbares. Programmation sonore :

Odin Pour l’article ayant un titre homophone, voir Audin. Odin (du vieux norrois Óðinn) est le dieu principal de la mythologie nordique. Il existe dans la mythologie germanique en général, où il est appelé Wōden en vieil anglais, Wodan en vieux saxon des Pays-Bas ou Wotan en vieux haut-allemand ou Gaut. Son nom proto-germanique est *Wōdanaz.

Lorelei Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Heine + Turner Lorelei (Loreley, Loreleï ou Lorely) est le nom d’un rocher qui culmine à 132 mètres au-dessus du Rhin à proximité de Sankt Goarshausen (Saint Goarshausen en français) en Allemagne (Rhénanie-Palatinat)[1]. La Mètis et l’hybris (ou hubris ou ubris) La mètis désigne en grec, non pas l’intelligence, mais une forme particulière d’intelligence et de pensée, fondée sur la ruse, l’astuce, le stratagème, mais aussi la dissimulation, la tromperie voire même le mensonge. La mètis, rappelle Jean-Pierre Vernant, s’épanouit dans la pensée grecque archaïque qui ne fait pas de distinction entre l’être et le paraître, entre le monde des Idées et le monde sensible. Elle s’applique donc à des réalités mouvantes, instables et ambiguës, qui ne se prêtent ni au raisonnement rigoureux, ni à la mesure précise, ni à la mise en système. Elle renvoie aussi bien au savoir-faire de l’artisan, qu’à l’adresse du navigateur évitant les écueils, ou à l’habileté du sophiste.

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