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Apollon

Apollon
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Apollon (en grec ancien Ἀπόλλων / Apóllôn, en latin Apollo) est le dieu grec du chant, de la musique et de la poésie. Il est également dieu des purifications et de la guérison, mais peut apporter la peste avec son arc ; enfin, c'est un des principaux dieux capables de divination, consulté, entre autres, à Delphes, où il rendait ses oracles par la Pythie. Il a aussi été honoré par les Romains, qui l'ont adopté très rapidement sans changer son nom. Dès le Ve siècle av. Mythe Naissance Sa naissance est contée en détail dans l’Hymne homérique à Apollon[8] : sur le point d'enfanter, Léto parcourt la mer Égée, cherchant un asile pour son fils. Tétradrachme de la région Illyro Péonienne représentant Apollon Chez les Hyperboréens L'arrivée à Delphes La guerre de Troie Dans la guerre de Troie, Apollon se range aux côtés des Troyens, qui lui consacrent un temple sur leur acropole[27]. Un dieu vengeur Un dieu bâtisseur Amours Fonctions et culte Chez Homère B. Related:  `test 1028`test 1028

Religion grecque antique (culte) Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Prières[modifier | modifier le code] La prière (en grec ancien εὐχή / eukhế) peut être une demande précise ou un simple appel à la divinité ; quoi qu'il en soit, elle n'est jamais silencieuse : les mots, prononcés à voix haute, comptent ; dire seulement dieu (θεός / theós) est en soi une forme d'invocation. La demande peut aussi ressortir à la malédiction, celle d'un ennemi ou de soi-même lorsque l'on prête serment (on se maudit par avance au cas où l'on en viendrait à ne pas respecter sa parole ; jurer sur le Styx est la forme de serment de nature religieuse la plus puissante) ; on la nomme dans ce cas ἀρά (prononcez et écrivez : « ará »). Offrandes[modifier | modifier le code] Offrandes spontanées[modifier | modifier le code] L'offrande désintéressée peut se rencontrer, par exemple, à la campagne : passant près d'un temple, un paysan dépose spontanément des fleurs. Il est en outre possible d'offrir des vêtements aux statues des dieux.

Aphrodite Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Dans la mythologie grecque, Aphrodite (en grec ancien Ἀφροδίτη / Aphrodítê) est la déesse de l'amour et de la sexualité[1]. Mythe[modifier | modifier le code] Naissance[modifier | modifier le code] Diverses traditions post-homérique et post-hésiodique font naître Aphrodite du sang de Cronos mutilé par Zeus, ou bien des amours de Cronos et d'une mystérieuse Évonymé (fragment d'Epiménide), auquel cas elle apparaît comme la sœur aînée des Moires et des Érinyes. Amours d'Aphrodite[modifier | modifier le code] Aphrodite a également une liaison avec : Aphrodite passe en outre pour avoir distingué de nombreux héros mortels, parmi lesquels : La vengeance d'Aphrodite[modifier | modifier le code] La vengeance d'Aphrodite est terrible. Dans l'Iliade[modifier | modifier le code] La légende la plus connue concernant Aphrodite est peut-être celle qui raconte la cause de la guerre de Troie. Attributions[modifier | modifier le code] D'autres représentations :

Artémis Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Le nom d'Artémis[modifier | modifier le code] Divinité des frontières[modifier | modifier le code] Née sur l'île d'Ortygie (« l'île aux cailles »), appelée plus tardivement Délos, Artémis fait du pays des Hyperboréens sa résidence principale[6] où elle règne en maîtresse de la nature sauvage et des animaux. « Que toutes les montagnes soient les miennes », déclare-t-elle dans l'hymne de Callimaque de Cyrène. Selon une légende, Artémis est née un peu avant Apollon et elle aurait aidé Léto, sa mère, à accoucher, remplaçant ainsi Ilithyie, déesse de l'accouchement[10]. Chasseresse à l'arc d'or[modifier | modifier le code] Surnommée « la Bruyante » (Κελαδεινή / Keladeinế), elle mène sa meute et la pousse de la voix. Didrachme d'Ionie représentant la déesse Artémis. La déesse sagittaire est enfin appelée par Homère Artémis khrysêlakatos, « à l’arc d’or », et par Hésiode iokhéairê, « l'archère »[12]. Déesse vierge[modifier | modifier le code]

Apollon II . La naissance et les attributs Léto, la mère d'Apollon a du mal à accoucher des enfants qu'elle attend de Zeus car Héra est folle de jalousie, la poursuit sans cesse. Mais elle finit par trouver une île où elle accouche d'abord d'une petite fille, Artémis, qui l'aide tout de suite à mettre au monde un fils: Apollon. Zeus offre à son fils une lyre et un char. Nourri, comme les dieux, de nectar et d'ambroisie, Apollon devient en sept jours un très bel adolescent qui apprend la musique et la poésie. Apollon, dans la mythologie grecque, est le dieu de la lumière solaire, de la divination, de la raison, des arts et plus précisément de la musique et de la poésie. Grâce à la musique de sa lyre, il ravit les dieux.

Apollon © Olympia Museum Apollon, (Gr. Απολλων; Lat. Apollo) l'une des principales divinités de la mythologie grecque était le dieu de la Lumière, des Arts et de la Divination. Il est fils de Zeus et de Léto, né sur l'île stérile d'Ortygie (l'île aux cailles) qui plus tard le nom de Délos, où sa mère, poursuivie par la jalousie d'Héra, avait finalement trouvé refuge. L'étymologie du nom d'Apollon demeure incertaine. D'ailleurs les anciens eux-mêmes connaissaient plusieurs Apollon. Fonctions Ses fonctions sont très variées. Apollon citharède Il est le dieu de la Lumière, et conduit parfois le char du Soleil (Hélios). Apollon, © Musée de Wurtzbourg • Il est le dieu des arts, en particulier de la Poésie et de la Musique. Callimaque lui attribue l'invention de la lyre à sept cordes; tandis que, suivant la tradition commune, elle aurait eu pour inventeur Hermès, qui en aurait fait présent à Apollon après lui avoir volé ses boeufs. Chez Homère, Apollon n'a aucun rapport avec les Muses. Attributs

Dionysos Dionysos et satyre Dionysos (Διονυσος) qu'on retrouve sous le nom de Bacchus chez les romains et qui fut assimilé à une ancienne divinité italique, Liber Pater, est une divinité complexe de l'ancienne Grèce. On a longtemps pensé que son culte était récent mais la découverte des tablettes mycéniennes de Pylos remettent en question cette idée. Il ne faisait pas partie des douze Olympiens à l'origine, mais Hestia lui céda sa place. La complexité de sa divinité se traduit par un grand nombre de surnoms et d'épithètes : Nysaios: de Nysa Bromios: bruyant Dithurambos : Cantique consacré à Dionysos dansé et chanté par des choristes déguisés en satyres Evios : cri lancé lors des bacchanales Bakkhos : (Bacchus) qui retentit Zagreus, Sabazios : dieu phrygien Couronné de pampres, tenant le thyrse, la patère ou le canthare ou encore la grappe de raisin, la ciste mystique, il chevauche un bouc, un âne ou une panthère apprivoisée. Dionysos enfant British museum

Athéna, déesse de la Sagesse Athéna, déesse de la Sagesse et assimilée à la déesse latine Minerve, est l’une des principales divinités du panthéon grec. Première enfant de Zeus, selon l’orthodoxie, elle fut sa plus grande alliée face à ses ennemis et fut la déesse tutélaire de la ville d’Athènes. Les origines d’Athéna Athéna est née au bord du lac Tritonis, lac du dieu Triton. Autrefois, un grand lac salé occupait une grande partie de ce que l’on appelle aujourd’hui la Tunisie. La côte nord-ouest de l’Afrique se nommait la Lybie et il semble qu’une importante communauté lybienne se soit installée en Grèce dans un lointain passé. Triton était un dieu marin, tels Pontos, Nérée, Thaumas et Phorcys, dont beaucoup font partie de la descendance "monstrueuse" de Gaïa et sont liés aux époques "barbares", avant la prise de pouvoir par Zeus, ce qui signifie que ces divinités sont très anciennes. Les légendes les plus courantes font d’Athéna la fille de Zeus. L’Athéna olympienne Zeus s’unit à Métis, qui fut enceinte d’Athéna.

Bataille de Marignan Guerres d'Italie Batailles Gênes (mai 1515) · Marignan (13 - 14 septembre 1515) La bataille de Marignan (Marignano en Italie, aujourd’hui Melegnano, ville à 16 km au sud-est de Milan) eut lieu les 13 et 14 septembre 1515 et opposa le roi de France François Ier et ses alliés vénitiens aux mercenaires suisses qui défendaient le duché de Milan. La bataille de Marignan est l’un des épisodes des guerres d'Italie commencées par Charles VIII en 1494 afin de contrôler le duché de Milan. Première victoire du jeune roi François Ier, acquise dès la première année de son règne, elle fit environ 16 000 morts en seize heures de combat[1]. Les guerres d’Italie[modifier | modifier le code] Les guerres d’Italie furent une suite de conflits menés par les souverains français en Italie au cours du XVIe siècle pour faire valoir leurs droits héréditaires sur le royaume de Naples, puis sur le duché de Milan. Le cardinal Matthieu Schiner, dessin d'Albert Anker (1831 – 1910) d’après une gravure ancienne.

Apollon le dieu de la lumière, de l'harmonie, de l'oracle et de la médecine Apollon est une des douze grandes divinités de l'Olympe, fils de Létô et Zeus ; le frère jumeau d'Artémis. Létô (la douce) ; Latone chez les romains : fille du Titan Cœcos et la Titanide Phœbé. Zeus séduit par Létô, pour s'unir à elle, il la change en caille après qu'il s'est métamorphosé lui-même en caille.Quand la jalouse Héra découvre la liaison illégitime de Létô avec son époux Zeus, elle décide de la punir en la faire poursuivre par le serpent Python, et en interdisant de l'accueillir en aucun lieu éclairé par le soleil au moment où elle est au point d'accoucher.De peur de la colère d'Héra, Létô est chassée de toutes les terres et les îles, mais voilà enfin, les ailes du vent du Sud qui la transportent à une île aride flottante, et sans racine qui accepte de l'accueillir, c'est Ortygie (ou Astéria) ou l'île aux cailles.

Apollon Déméter Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Dans la mythologie grecque, Déméter (en grec ancien Δημήτηρ / Dêmếtêr qui dérive de Γῆ Μήτηρ / Gễ Mếtêr, « la Terre-Mère » ou de Δημομήτηρ / Dêmomếtêr, « la Mère de la Terre », de δῆμος / dễmos, « la terre, le pays ») est la déesse de l'agriculture et des moissons. Mythe[modifier | modifier le code] Quand Hadès, souverain des morts, enleva Perséphone pour en faire son épouse, sa mère, Déméter, partit à sa recherche et négligea les récoltes de la Terre. Déméter enseigna aux humains le travail des semis et du labour. Culte[modifier | modifier le code] Dans Les Travaux et les Jours, Hésiode revient fréquemment sur Déméter, et il y donne de nombreux détails sur les rites religieux entourant la fertilité et le travail de la terre. Déméter était honorée dans les mystères d'Éleusis, un culte célébrant le retour à la vie et le cycle des moissons. Épiclèses, attributs et sanctuaire[modifier | modifier le code] Sources[modifier | modifier le code]

Brahmā Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Cette page contient des caractères spéciaux ou non latins. Si certains caractères de cet article s’affichent mal (carrés vides, points d’interrogation…), consultez la page d’aide Unicode. Quadruple tête de Brahma, sculptée au Cambodge (province de Siemreap, Phnom Bok) dans le style du Bakheng (fin IXe - début Xe siècle), Musée Guimet Sa vie dure 36 000 de ses jours (cent de ses années), chacun d'eux valant environ 8,64 milliards d'années des mortels (voir Mesure védique du temps). Ce dieu est un deus otiosus[4] : bien qu'étant le Créateur de toutes les créatures vivantes, il n'y a que quelques temples lui étant totalement dédiés, à Pushkar au Rajasthan, à Kumbakonam, à Thirupattur au Tamil Nadu[5], et à Thirunavaya au Kerala[6], ainsi que le temple d'Angkor Vat au Cambodge. Dans le canon bouddhique, Brahmā apparaît dans plusieurs récits comme un personnage important[3]. Représentation[modifier | modifier le code] Brahmā, sur Wikimedia Commons

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