background preloader

Régime paléo

Facebook Twitter

Glucides et paléo : l’art de trouver l’équilibre. Plusieurs lectrices et lecteurs du blog m’ont récemment contacté pour me faire part de difficultés lors de leurs débuts avec le paléo : perte de masse grasse (poids) trop rapide, manque de « jus » lors d’activités sportives, sensation d’être fébrile, ou sans énergie.

Glucides et paléo : l’art de trouver l’équilibre

Après quelques échanges, nous sommes venus à la conclusion que leurs difficultés proviennent d’une inadéquation entre la quantité de glucides consommée et le niveau d’activité. Dans cet article nous abordons donc la question de la bonne quantité de glucides. Le paléo, faible en glucides ? Quand on fait un essai avec l’alimentation paléo, on retire soudainement ou progressivement de son assiette les céréales, les légumineuses et les produits transformés. On supprime ainsi par la même occasion les principales sources de glucides d’une alimentation « normale ».

Chez la plupart des gens, cette suppression a pour effet immédiat d’enclencher un mécanisme de perte de masse grasse (et donc de poids). Pas forcément ! Profil 1. Glucides et paléo : l’art de trouver l’équilibre. Manger Paléo expliqué en 300 mots. Manger paléo en 300 mots Les mauvaises habitudes alimentaires de notre société moderne sont une des principales raisons de la constante croissance de cas d’obésité, de problèmes cardiaques, de diabète et de plusieurs autres problèmes de santé.

Manger Paléo expliqué en 300 mots

Ça et le manque d’activité physique. Manger Paléo c’est un retour aux sources. C’est faire nos choix alimentaires en se basant sur ce que nos ancêtres mangeaient, et ce, pour optimiser notre santé. Ce n’est pas répliquer leur diète et style de vie à la lettre, c’est plutôt s’en inspirer pour faire des choix éclairés tout en tenant compte des changements sociaux et avancements technologiques d’aujourd’hui. L'étrange flore intestinale des chasseurs-cueilleurs. Les bactéries de nos intestins jouent un rôle crucial dans notre santé et peu à peu, les scientifiques établissent la liste des bonnes et des mauvaises.

L'étrange flore intestinale des chasseurs-cueilleurs

Mais celle-ci doit être remise à plat, puisque le peuple Hadza, des chasseurs-cueilleurs africains, ne porte pas certains des probiotiques jugés importants, mais ne déclare pourtant pas les nombreuses maladies métaboliques ou intestinales rencontrées dans le monde occidental… Le peuple hadza est l’un des derniers peuples africains à vivre encore de la chasse et de la cueillette. Un mode de vie qui change leur flore intestinale et qui nous poussent à revoir quelles sont les bonnes et les mauvaises bactéries commensales. © Woodlouse, Flickr, cc by sa 2.0 Nos entrailles constituent un terrain de jeu privilégié pour de nombreux micro-organismes. Il faut dire que nos intestins sont une aubaine pour de nombreuses espèces bactériennes, qui profitent de la nourriture qui passe dans ce long tuyau pour trouver de l’énergie. Futura Sciences. Le régime paléolithique. Vivelerégime Origine du régime paléo Le régime paléolithique n’a pas été inventé :il correspond à ce que les premiers humains mangeaient spontanément, de façon naturelle.

Le régime paléolithique

On en entend parler depuis que le Dr S. Boyd Eaton, en 1985, a publié un article intitulé « Paleolithic Nutrition » dans le prestigieux NewEnglish Journal of Medicine. Radiologiste et anthropologue médical à l’Université Emory (Atlanta), le Dr Eaton émettait alors l’opinion que l’alimentation idéale devait correspondre à celle de nos ancêtres de l’âge de la pierre. Une question de génome La théorie du Dr Eaton repose sur une évidence incontestable : le génome humain n’a que très faiblement évolué depuis l’avènement des premiers hominidés, il y a quatre millions d’années. Mais que mangeaient-ils, nos lointains aïeux? Les végétaux sont consommés peu après leur cueillette, sans transformation.

Régime paléo : feuille de route. Nous vous enregistrons !

Régime paléo : feuille de route

La santé est entre vos mains, et les plantes sont vos alliées ! Rejoignez les milliers d'abonnés recevant les conseils de Christophe, contributeur des magazines Plantes et Santé et Plantes et Bien-Être. Christophe partage ses connaissances sur les plantes pour vous aider à garder ou retrouver la santé. Faire le régime paléo… en 2014  14 Commentaires et 0 tweets Vous êtes sans doute nombreux à avoir entendu parler du régime paléolitique, du régime Seignalet ou du régime hypotoxique.

Faire le régime paléo… en 2014 

Les hommes et femmes qui défendent ce régime ont un raisonnement très simple, et imparable : l’homme de Cro-Magnon était « frugivore-omnivore », et l’homme d’aujourd’hui l’est encore… En 40 000 ans, notre code génétique n’aurait évolué que de 0,02% selon les antropologues. Or nos comportements alimentaires d’aujourd’hui ne sont plus du tout en phase avec notre passé génétique. C’est ce qui provoquerait, selon les tenants du régime « paléo », un nombre impressionnant de maladies, notamment les maladies inflammatoires, cancer en tête. Revenons au régime paléo pour éviter les maladies chroniques et le cancer nous dit-on. Cro-Magnon au menu Cro-Magnon (-35 000 à – 10 000 ans) était plus cueilleur que chasseur. Sur la base d’un apport journalier de 3 000 calories, les gens du Paléolithique ingurgitaient 3 à 10 fois plus de vitamines que nous.