Aspects économiques et logistiques des guerres napoléoniennes. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
Les aspects économiques et logistiques des guerres napoléoniennes décrivent l'ensemble des facteurs économiques qui concoururent à la gestion matérielle — politique économique, production, etc. — et financière — financement des dépenses de guerre, etc. — des guerres menées sous le Consulat et le Premier Empire et par les causes et conséquences économiques de ces conflits. Ils couvrent également la gestion des ressources industrielles en vue de la production des armes et équipements militaires et l'organisation de celle-ci ou encore la logistique militaire et l'intendance militaire en vue de l'approvisionnement des armées en campagne. À la veille de la campagne de Russie de 1812, l'armée napoléonienne aligne quelque 690 000 soldats français et étrangers.
Napoléon et l'économie de guerre[modifier | modifier le code] — Jean Rousseau, La vie dans les manufactures d'armes Armes à feu individuelles[modifier | modifier le code] Les conséquences économiques du Blocus continental. Les denrées coloniales avaient fait la fortune des ports de l'ouest de la France (Nantes, Bordeaux, La Rochelle) sous l'Ancien Régime.
Les insurrections d'esclaves à partir de 1791 et la guerre avec l'Angleterre mirent à mal ce profitable commerce. Néanmoins, ces villes avaient repris une certaine activité grâce aux échanges économiques avec les pays dits neutres, les États-Unis et le Danemark essentiellement. Avec les décrets de Milan interdisant pratiquement tout trafic maritime avec ces pays, l'activité portuaire s'effondra à nouveau à partir de 1808. Lors de son voyage à Bayonne en avril de la même année, Napoléon s'arrêta quelques jours à Bordeaux. Constatant les dégâts économiques engendrés par le Blocus, il décida de financer quinze armements de navires à destination des dernières colonies encore aux mains de la marine française. Les négociants ne furent pas les seules victimes du blocus. L'organisation rationnelle de l'économie européenne voulue par Napoléon était une impasse.
Erfurter Fürstenkongress. Napoleon empfängt mit Alexander (3. v. re.) den österreichischen Botschafter in Erfurt Programmatisches Historiengemälde von Nicolas Gosse.
Vorgeschichte[Bearbeiten] Der Kongress[Bearbeiten] Rahmenprogramm[Bearbeiten] Napoleon benutzte auch die Gelegenheit, drei deutsche Geistesgrößen kennenzulernen – den politischen Publizisten und Dichter Christoph Martin Wieland (der bereits seinen Aufstieg vorausgesagt hatte, als Napoleon noch einfacher General gewesen war), den berühmten Historiker Johannes von Müller (mit dem er ein Dilemma diskutierte, das aktuell auch das seine war: ob Cäsar auf dem Gipfelpunkt seiner Macht, wenn er nicht ermordet worden wäre, eher den großen Feldzug gegen Osten - gegen das Partherreich - oder die Konsolidation des Römischen Reiches als Priorität gewählt hätte[1]), und Deutschlands größten Dichter Johann Wolfgang Goethe (den für sich einzunehmen propagandistisch wertvoll werden konnte[2]). Literatur[Bearbeiten] Darstellungen[Bearbeiten]
Traité de Tolentino. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
Le traité de Tolentino ou paix de Tolentino est un traité de paix, signé le 19 février 1797 à Tolentino[1], en Italie, entre la première République française et les États pontificaux. Signataires[modifier | modifier le code] Le traité, négocié pendant plusieurs jours, est signé par :
La carte de la participation. La Carte de la participation La carte de la participation (donc de l'abstention et même, vu le très faible nombre de votes négatifs, le vote favorable à l'hérédité) montre : 1.
Participation outrancièrement exagérée (90 % et plus) a) le cas de la Corse : les deux départements du Golo et du Liamone affichent des chiffres de participation outrancièrement trafiqués : 137 % pour le premier, 125 % pour le second. B) le cas du Dauphiné : 102 % de participation dans les Hautes-Alpes, 91 % dans l'Isère. Le cortège nuptial de Napoléon et de Marie Louise d'Autriche. Fastes impériaux En 1810, la France domine l’Europe continentale, et Napoléon, après son divorce avec Joséphine, obtient la main de Marie-Louise, fille aînée de l’empereur d’Autriche François Ier, scellant ainsi la nouvelle alliance entre les deux empires.
Le mariage, organisé les 1er et 2 avril dans les palais de Saint-Cloud, du Louvre et des Tuileries, consacre donc la suprématie française. La cérémonie religieuse du 2 avril se déroule non pas dans la nouvelle chapelle des Tuileries, édifiée à la place de la salle d’assemblée révolutionnaire, mais dans le salon Carré du Louvre. Dans la Grande Galerie, qui met ce salon en communication avec les Tuileries, se sont massés plus de huit mille invités devant lesquels le cortège impérial défile. Entrevue d'Erfurt. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
L'entrevue d'Erfurt ou congrès d'Erfurt est une réunion entre l'empereur Napoléon Ier (France) et le tsar Alexandre Ier (Russie), qui se tient à Erfurt, du 27 septembre au 14 octobre 1808, dans le but de réaffirmer l'alliance conclue l'année précédente lors du traité de Tilsit, qui a suivi la fin de la guerre de la quatrième coalition. Entrevue et négociation[modifier | modifier le code]
Campagnes militaires. Aux Amériques.