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Rôles au sein d'un projet/Intégrateur. Une page de Wikiversité.

Rôles au sein d'un projet/Intégrateur

Début de la boite de navigation du chapitre fin de la boite de navigation du chapitre. Intégrateur. Intégrateur : en quoi ça consiste ?

Intégrateur

L’intégrateur est un spécialiste de l’outil informatique, dont le métier est voisin de celui du développeur, dont il représente une évolution récente. La mission tourne essentiellement autour de la production, de la traduction et de la transposition des éléments constitutifs de nouveaux applicatifs qu’il assemble au système d’information en fonction de l’architecture préalablement retenue.

Quelles compétences pour quelles missions ? Travaillant en SSSI (société de services et d’ingénierie informatique), chez des éditeurs de logiciels et directement dans les entreprises utilisatrices, l’intégrateur est en quelque sorte une interface entre l’infrastructure informatique et les applications fonctionnelles. Rattaché au chef de projet technique, il exerce son activité au sein de plusieurs équipes de techniciens.

C’est un métier relativement récent, qui traduit une évolution de l’informatique. Qualités : rigueur, méthode, logique et rapidité. Service Levels vs Service Credits. Logiciel. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Logiciel

Démarche de construction d'un logiciel. En informatique, un logiciel est un ensemble composé d'un ou plusieurs programmes, ainsi que les fichiers nécessaires pour les rendre opérationnels. Le logiciel détermine les tâches qu'un appareil informatique peut effectuer et donne à l'ordinateur sa valeur ajoutée. Un logiciel peut être classé comme système, applicatif, standard, spécifique, ou libre, selon la manière dont il interagit avec le matériel, selon la stratégie commerciale et les droits sur le code source des programmes. Le terme logiciel propriétaire est aussi employé. Les logiciels sont créés et livrés à la demande d'un client, ou alors ils sont créés sur l'initiative du producteur, et mis sur le marché, parfois gratuitement.

Sauvegarde (informatique) Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Sauvegarde (informatique)

En informatique, la sauvegarde (backup en anglais) est l'opération qui consiste à dupliquer et à mettre en sécurité les données contenues dans un système informatique. Ce terme est à distinguer de deux notions proches : l'enregistrement des données, qui consiste à écrire des données sur un périphérique, tel qu'un disque dur, une clé USB, des bandes magnétiques, où les informations demeureront même après l'extinction de la machine, contrairement à la mémoire vive.l'archivage, qui consiste à enregistrer des données de manière à garantir sur le long terme leur conformité à un état donné, en général leur état au moment où elles ont été validées par leurs auteurs.

La sauvegarde passe forcément par un enregistrement des données, mais pas nécessairement dans un but d'archivage. Les copies de sûreté sont utiles principalement à deux choses : Licence de logiciel. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Licence de logiciel

Une licence de logiciel est un contrat par lequel le titulaire des droits d'auteur sur un programme informatique définit avec son cocontractant (exploitant ou utilisateur) les conditions dans lesquelles ce programme peut être utilisé, diffusé ou modifié. Principe[modifier | modifier le code] Une licence de logiciel est un contrat « par lequel le titulaire des droits du logiciel autorise un tiers à poser des gestes qui autrement les enfreindraient.»[1].

Interopérabilité en informatique. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Interopérabilité en informatique

L’interopérabilité ou interfonctionnement en informatique est la capacité que possède un système informatique à fonctionner avec d’autres produits ou systèmes informatiques, existants ou futurs, sans restriction d’accès ou de mise en œuvre. Les deux termes sont normalisés par la CSA et la Commission électrotechnique internationale (ISO/IEC 2382-18:1999). Introduction[modifier | modifier le code] La notion d'interface est essentielle pour aborder l'interopérabilité. On ne peut parler d'interopérabilité que lorsque les interfaces sont complètement définies, connues et librement utilisables. Enjeux[modifier | modifier le code] L’interopérabilité est une notion absolument cruciale pour le réseau téléphonique mondial et Internet. L’interopérabilité est une nécessité dans le domaine du commerce électronique. Nécessité des normes[modifier | modifier le code] Par exemple, la norme peut définir des éléments comme : Référentiel général d'interopérabilité.

Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Référentiel général d'interopérabilité

Le Référentiel Général d'Interopérabilité (RGI) est un document décrivant un ensemble de normes et bonnes pratiques communes aux administrations publiques françaises dans le domaine informatique. Son élaboration, qui a commencé dès janvier 2006, a été conduite par la Direction générale de la modernisation de l'État (DGME). Histoire[modifier | modifier le code] Le RGI a été créé par l'article 11 de l’ordonnance no 2005-1516 du 8 décembre 2005[1], qui disposait que les conditions d'élaboration, d'approbation, de modification et de publication de ce référentiel feraient l'objet d'un décret. Alors que fin 2005 l'Adaé (Agence pour le développement de l'administration électronique) devait être intégrée dans la nouvelle DGME, une équipe de spécialistes de ces sujets était constituée pour mettre en œuvre la rédaction du RGI.

La version 1.0 datée du 12 mai 2009 a été publiée le 16 juin 2009 et approuvée officiellement le 9 novembre 2009[3].