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Comité international de la Croix-Rouge - Index. Le passé imprévisible de la Première Guerre mondiale. Le passé est imprévisible.

Le passé imprévisible de la Première Guerre mondiale

D’une certaine manière, on ne sait jamais de quoi il sera fait. Au fil des ans, la mémoire d’un peuple comme celle d’une civilisation se métamorphosent. L’événement glorieux de la veille est honni aujourd’hui, à moins qu’il ne soit simplement oublié. Une banalité d’avant-hier peut inversement se retrouver au cœur de la conscience contemporaine. C’est que la mémoire est un champ de bataille, et celui qui maîtrise les codes du passé a toutes les chances de maîtriser les leviers du présent.

On l’a vu dans les sociétés occidentales avec la question de la repentance, lorsqu’on a cherché à développer chez elles un réflexe pénitentiel et une forme de honte de leur expérience historique. Si on préfère, la mémoire collective jamais pure : elle est investie de passions, de mythes, et souvent, d’une charge sacrée. Fitzwilliam Museum: La Grande Guerre: French prints of the First World War.

La Grande Guerre: French prints of the First World War The first seven months of World War I are dramatically illustrated in the colour lithographs and woodcuts of the series La Grande Guerre.

Fitzwilliam Museum: La Grande Guerre: French prints of the First World War

Scenes of action in the form of battles, sieges and airstrikes are punctuated by moments of relative repose, including commemorations, award ceremonies and depictions of the Allied forces, such as the English and Scottish taking five o’clock tea and Indian soldiers at prayer. Each print has a lengthy description below the image, following the individual trials and triumphs of the soldiers and creating a sense of visual reportage. Although not official propaganda material the prints are nevertheless deeply patriotic. The numbered series format encouraged the public, who were eager to commemorate the war, to continue collecting the set. Part of the First World War Centenary Partnership Programme. Image: Unknown artist, Pendant la bataille de l'Aisne , 1914 (detail). Related Links. Les rendez-vous du centenaire de la Grande Guerre: articles et informations. Chroniques 70.

Les archives de l'Agence Internationale des prisonniers de guerre seront en ligne cet été. Les fonds d'archives de l'Agence Internationale des prisonniers de guerre (AIPG) de la Première guerre mondiale sont en cours de numérisation.

Les archives de l'Agence Internationale des prisonniers de guerre seront en ligne cet été

Il seront accessibles au public dès août 2014, grâce à une application en ligne. Tout au long du conflit, cette agence a collecté, analysé et classé les informations qu'elle recevait sur les prisonniers de guerre et les internés civils de la part des pays en guerre des deux bords. Elle a alors joué un rôle irremplaçable d'information pour les familles dont elle traitait les demandes : où est mon mari, mon fils, mon frère ou mon cousin ?

Les volontaires conservaient les listes de prisonniers fournies par les autorités allemandes et les autorités alliées en Europe, en Afrique et en Asie. Ces listes furent reliées en 2.413 volumes couvrant la période 1914 à 1923. Ces documents sont résumés dans une banque de données manuelle composée de listes, environ 500 000 pages, ainsi que de fichiers d'index qui comptent 6 millions de cartes au total. 1ere Guerre mondiale: le laboratoire à ciel ouvert. (Agence Science-Presse) La «Grande Guerre» célébrera cet été son triste anniversaire.

1ere Guerre mondiale: le laboratoire à ciel ouvert

Il y a 100 ans, le monde connaissait la première des guerres totales. La première des guerres «scientifiques»... et où la médecine, comme la psychologie, ont commencé à apprendre beaucoup. Cliquer sur la photo pour agrandir Cette guerre, qui est pourtant essentiellement une guerre de tranchées, va en effet voir se déployer un nouvel arsenal: les premiers chars d’assaut, les avions, l’automobile («les taxis de la Marne»), etc. Guerre violente, elle modernisera les armes plus anciennes: lance-flammes, explosifs et obus, mais aussi des canons longue portée —telle la «Grosse Bertha»— et aussi l’utilisation de gaz chimiques —le gaz moutarde (ypérite) est resté le plus célèbre et le plus meurtrier— ou d’armes biologiques (tel l’anthrax). La science a donc pris pour la première fois une part active dans la guerre.

Quatre ans et demi de tranchées, ça laisse des traces. Nos invités: