background preloader

Ils ont déjà réfléchis aux limites du Transhumanisme

Facebook Twitter

Cyberpunk

Philosophes - Ecrivains. Organismes gouvernementaux. Fabrice HADJAJ - "L'homme passe infiniment l’homme" Brève réflexion sur le transhumain.

Fabrice HADJAJ - "L'homme passe infiniment l’homme"

"Parvis des Gentils", Paris, UNESCO, le 24 mars 2011 par Fabrice Hadjadj 1. Pourquoi sommes-nous rassemblés ici ? Est-ce pour une cérémonie protocolaire, un peu guindée, où chacun aura rempli sa fonction mais où personne ne sera venu avec son cœur ? 2. Certains disent que l’émergence de l’homme, au cours de l’évolution, serait due à sa plus grande capacité d’adaptation au monde. Nous avons ainsi tous, ici, ministre ou agent de sécurité, le sentiment d’être des passagers ou des passants. Nietzsche le rappelle : « Ce qui est grand dans l’homme est de n’être pas un but mais un pont : ce qui peut être aimé dans l’homme est d’être un passage et une chute. » Avec une telle phrase, Nietzsche fait penser à Rousseau, selon qui l’homme se distingue des autres animaux non pas par sa perfection, mais par sa « perfectibilité », et il semble surtout reprendre une affirmation de Blaise Pascal : « Apprenez que l’homme passe infiniment l’homme. » 3.

Florian Olivier - Techniques, dominations et pouvoir des vivants. Klaus-Gerd Giesen - Humanisme et transhumanisme: l’Homme en question - 2004. Eric de Rus* Né dans les années 80 aux États-Unis, le courant de pensée transhumaniste tend aujourd’hui à s’étendre.

Klaus-Gerd Giesen - Humanisme et transhumanisme: l’Homme en question - 2004

Selon le site officiel de la World Transhumanist Association, «le transhumanisme est une approche interdisciplinaire qui nous amène à comprendre et à évaluer les avenues qui nous permettrons [sic] de surmonter nos limites biologiques par les progrès technologiques» (1). En quelques mots, le projet transhumaniste vise principalement à développer et à faire usage des nouvelles technologies, et en particulier de la génétique et des nanotechnologies, pour permettre à l’Homme de «s’améliorer». Il ne s’agit plus ici seulement d’utiliser la science à des fins thérapeutiques, mais bien de créer un «post-homme» dont les qualités ou capacités auront été génétiquement et technologiquement augmentées ou même créées. I. Comme son appellation le laisse supposer, le transhumanisme se définit comme une idéologie philosophico-scientifique en opposition à l’humanisme classique. II. III. Transhumanism Criticisms - Future.

Le critère de dégoût - Adamantin. 13 septembre 2010 Le critère de dégoût (célèbre dans le monde anglo-saxon sous le nom de Yuck Factor, ou de Wisdom of repugnance) est un argument clé des bioconservateurs (formulé pour la première fois par Leon Kass, en 1997).

Le critère de dégoût - Adamantin

Il désigne le sentiment de répulsion qui anime les individus au plus profond d'eux-mêmes lorsqu'il est question d'amélioration génétique, de clonage, etc. Paul Allen: The Singularity Isn't Near. Futurists like Vernor Vinge and Ray Kurzweil have argued that the world is rapidly approaching a tipping point, where the accelerating pace of smarter and smarter machines will soon outrun all human capabilities.

Paul Allen: The Singularity Isn't Near

They call this tipping point the singularity, because they believe it is impossible to predict how the human future might unfold after this point. Once these machines exist, Kurzweil and Vinge claim, they’ll possess a superhuman intelligence that is so incomprehensible to us that we cannot even rationally guess how our life experiences would be altered. Vinge asks us to ponder the role of humans in a world where machines are as much smarter than us as we are smarter than our pet dogs and cats. Kurzweil, who is a bit more optimistic, envisions a future in which developments in medical nanotechnology will allow us to download a copy of our individual brains into these superhuman machines, leave our bodies behind, and, in a sense, live forever. It’s heady stuff. Ray Kurzweil's Slippery Futurism. "It is now 2009.

Ray Kurzweil's Slippery Futurism

Individuals primarily use portable computers, which have become dramatically lighter and thinner than the notebook computers of ten years earlier. Personal computers are available in a wide range of sizes and shapes," he wrote, and if he had ended the sentence there, surely no one would disagree. But instead he continues: "—and are commonly embedded in clothing and jewelry such as wristwatches, rings, earrings, and other body ornaments. Ray Kurzweil does not understand the brain. There he goes again, making up nonsense and making ridiculous claims that have no relationship to reality.

Ray Kurzweil does not understand the brain

Ray Kurzweil must be able to spin out a good line of bafflegab, because he seems to have the tech media convinced that he’s a genius, when he’s actually just another Deepak Chopra for the computer science cognoscenti. His latest claim is that we’ll be able to reverse engineer the human brain within a decade. By reverse engineer, he means that we’ll be able to write software that simulates all the functions of the human brain. He’s not just speculating optimistically, though: he’s building his case on such awfully bad logic that I’m surprised anyone still pays attention to that kook. Sejnowski says he agrees with Kurzweil’s assessment that about a million lines of code may be enough to simulate the human brain. I’m very disappointed in Terence Sejnowski for going along with that nonsense. See that sentence I put in red up there? Faites progresser le débat - Newsring.