background preloader

Comment la technologie et Internet développent nos esprits

Comment la technologie et Internet développent nos esprits
Temps de lecture: 10 min Si vous répondu «46,1519», «8.000» et «Quantas», deux possibilités. La première, vous êtes Rain Man. La seconde, c'est que vous utilisez la technologie d'augmentation cérébrale la plus puissante du XXIe siècle: la recherche Internet. Certes, le Web ne fait pas réellement partie de votre cerveau. L'idée que nous pourrions inventer des outils capables de modifier nos capacités cognitives peut surprendre, mais en réalité, il s'agit d'une des définitions fondamentales de l'évolution humaine. Ce que l'Internet et les technologies mobiles ont changé Avec l'acquisition du langage, nos ancêtres ont non seulement remanié leur façon de communiquer, mais aussi leur façon de penser. Mais, à l'époque, dire que ces informations faisaient partie de l’esprit humain était encore tiré par les cheveux. L'Internet et les technologies mobiles ont commencé à changer la donne. Le disque dur externe de nos cerveaux L'Internet serait-il devenu le disque dur externe de nos cerveaux?

Faster, Please: Breaking Down Barriers to the Internet of Things | Innovation Insights The Internet fridge is here today ;-). What’s taking everything else so long? Image: anthonyjhicks/Flickr Like something out of a sci-fi movie, the Internet of Things promises to transform our daily lives. If buzz alone could manifest the Internet of Things, it would already be a done deal. Technology, it turns out, isn’t one of them. Instead, the biggest barriers to the Internet of Things are the closed systems that dominate today’s technology landscape. For these companies, and many others like them, staking out your ground and competing for customers drives innovation, but it also walls in users. This doesn’t mean users should be forced to leave their cherished iPhones or beloved Droids—or whatever their devices, software, and services of choice may be—on the recycling heap. Beyond APIs, an industry push for open standards would also make sharing data far easier and more frictionless. All signs point to a bright future for the Internet of Things, but skepticism remains.

Ce que vous "likez" sur Facebook en dit (beaucoup) sur vous Facebook connaît tout ou presque de vous... Et vous donnez (beaucoup) à voir sur vous-mêmes à travers vos "likes", à longueur de clics. Le constat est un peu vertigineux. "Nous dévoilons nos comportements digitaux, les Facebook Likes, qui peuvent être utilisés pour faire ressortir nombre de choses très personnelles sur nous-mêmes: âge, orientation sexuelle, ethnie, positions politiques et religieuses, traits de personnalité, intelligence, bonheur, utilisation de substances addictives, séparation des parents... ". Et ils ont démontré clairement les liens très proches entre ces "j'aime" souvent cliqués à la va-vite et différents traits de l'identité des utilisateurs. Le "Like", comportement impulsif Les chercheurs ont par exemple réussi à deviner avec plus de 93% de réussite l'origine et le sexe des interrogés. Vous avez un QI élevé ?

Internet des objets: la start-up française MyFOX lève 3,2 millions d'euros MyFOX, start-up française spécialisée dans l’internet des objets, vient de boucler un tour de table de 3,2M € auprès d’un pool d’investisseurs comprenant COGEPA, Orkos Capital, Jaïna Capital et ses propres fondateurs. MyFOX s’est notamment spécialisée dans les solutions de sécurité en lançant en 2009 un système d’alarme et vidéosurveillance accessible directement sur smartphone. La start-up s’est aussi diversifiée dans la domotique au travers de solutions de contrôle du foyer à distance (volets, chauffage, lumières…) depuis un smartphone, un ordinateur ou une simple télécommande. Cette levée devrait permettre à MyFOX d’enrichir son offre en renforçant ses investissements en R&D et de soutenir son développement international indique Jean-Marc Prunet, son président.

Web-social : Indignez-vous ! Ca ne gêne personne… (Et ça ne fait absolument rien avancer, voire, au contraire, ça sert l’oligarchie au pouvoir. Humeur grincheuse à propos de l’indignation web 2.0 des réseaux sociaux.) Ceux qu’on appelle les rebelles en carton plâtre sont légions. Particulièrement depuis l’essor des deux grands réseaux sociaux, Twitter et Facebook (choisis ton camp camarade). Ils signent des pétitions Avaaz : l’ONG américaine (pas vraiment claire niveau financement) qui s’indigne de la disparition des requins comme du sort des femmes du Burundi, de la fonte des pôles en passant par la politique d’austérité européenne. Des petites choses comme le respect du code du travail, la disparition des retraites, la politique néo-libérale tendance stalinienne qui écrase tout sur son passage et paupérise une bonne partie des citoyens européens, par exemple. Le journalisme, les luttes de terrain et ton PC Tout le monde fait la même chose : c’est trop cool… Consommer de l’indignation comme on consomme un BigMac

Li-Fi, la technologie alternative au Wi-Fi ? Transmettre sans fil du contenu multimédia par la lumière ? Le Li-Fi, vous connaissez ? C’est en regardant un reportage télé que je suis tombé par hasard sur cette technologie de communication sans fil encore méconnue du grand public… Cette techno prometteuse pourrait se présenter dans le futur comme une véritable alternative au bon vieux Wi-Fi qui a envahi nos maisons, nos lieux publics et qui nous fait passer un tas d’ondes électromagnétiques à travers la tête… Le Li-Fi, acronyme de « Light Fidelity », est donc une technologie de communication à distance sans fil basé sur la lumière LED visible. Cette innovation repose sur la transmission de données numériques à distance par modulation de la lumière à une fréquence tellement élevée qu’elle n’est pas perceptible par l’œil humain. Ces modulations sont tout simplement interprétée comme du langage binaire composé de 0 et de 1. Coté sécurité de l’information, c’est assez simple… Il n’y a pas de mot de passe. Image à la une : Ubimind.net

Sam Jacob Opinion column on unboxing Opinion: in this week's column, Sam Jacob explains why YouTube movies of consumers ritualistically unpacking their purchases "bring a sharp eye to the designed world". "Hi my lovelies!" would be a strange opening for a philosophical treatise on human relations with inanimate objects. Perhaps that’s philosophy's loss. It is, on the other hand, exactly how an unboxing video might begin. Here’s the typical format for an unboxing: first we see our protagonist and presenter with a large cardboard box. We are then taken deeper, through layer upon layer of wrapping and boxes like unwrapping an onion. The unboxing video is strange modern phenomenon. It’s certainly something to do with the way we shop. But internet retail means the point of contact with things has been displaced from the shop counter to the doorstep. As much as they are about consuming, unboxing videos also represent a form of design criticism.

Sortir de la tyrannie du présent La quantité massive de données dont nous disposons sur tous les sujets, des sciences sociales aux systèmes environnementaux, nous laisse espérer la possibilité de mieux comprendre le monde dans lequel nous vivons. Mais les arbres ne cachent-ils pas la forêt ? Le mathématicien Samuel Arbesman (@arbesman) affirme dans Wired qu'il nous faut désormais compléter ces big data par les "long data" : des informations sur les phénomènes lents, se développant sur le très long terme. Pour cela, nous devons collecter et surtout interpréter des données s'étendant sur plusieurs siècles, voire des millénaires. Un exemple de ce genre de travail, cité par Arbesman, est l'oeuvre Jared Diamond, auteur de Guns, Germs and Steel (traduit en français sous le titre De l’inégalité parmi les sociétés - Wikipédia). Si ces "long data" peuvent présenter un grand intérêt pour les historiens, sont-elles vraiment importantes pour qui cherche à envisager le futur ? Vers la psychohistoire - et au-delà ! Rémi Sussan

Mettez le wifi en sourdine et vivez deconnectés Demain des spots et des restos "wifi-free" vous offriront des havres de déconnexion. Pour couper les fils avec votre vie virtuelle le temps d'une pause... Demain, dans le monde de l'ultra-connexion où votre t-shirt sera branché sur le web, où vos lunettes augmenteront la réalité et où votre sac à main parlera avec votre portable, les places dans les zones "No-Wifi-Zone" seront chères et prises d'assaut. On y discutera à l'ancienne autour d'un café au lieu de tweeter, on s'y racontera des potins non-connectés. Et les restos les plus "hype" afficheront fièrement le label "Wifi Cold Spot". En attendant, pratiquez la déconnexion de manière progressive et douce.

DBpedia Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. DBpedia est un projet universitaire et communautaire d'exploration et extraction automatiques de données dérivées de Wikipédia. Son principe est de proposer une version structurée et sous forme de données normalisées au format du web sémantique des contenus encyclopédiques de chaque fiche encyclopédique. DBpedia vise aussi à relier à Wikipédia (et inversement) des ensembles d'autres données ouvertes provenant du Web des données : DBpedia a été conçu par ses auteurs comme l'un des « noyaux du Web émergent de l'Open data »[2] (connu également sous le nom de Web des données) et l'un de ses possibles points d'entrée. Historique[modifier | modifier le code] Le projet a été lancé par l'université libre de Berlin et l'université de Leipzig, en collaboration avec OpenLink Software. Structure du dépôt de données[modifier | modifier le code] Représentation en carte heuristique des relations entre DBpedia et divers autres projets du Web.

Digital Detox : tendance déconnexion [LeWeb'12] SigFox, le « Google » des objets connectés de demain ?  Il disent ne pas avoir de concurrent. Ni en France, ni dans le monde. SigFox, une société 100% française fondée en 2010 par Christophe Fourtet, se positionne comme « le premier opérateur cellulaire bas débit dédié au « machine to machine » et à l’internet des objets. SigFox revendique 2M d’euros de CA, ses clients sont des grands comptes (Suez, Assurances MMA, EDF etc…). Le PDG de Sigfox, Ludovic Le Moan, est l’ex-fondateur de Goojet, un site de widgets orientés news sur mobile.

Related: