Attention à la marche (documentaire) Minding the Gap (en français : « Attention à la marche », voir ici) est un film documentaire de 2018, réalisé par Bing Liu et plusieurs fois primé (Sundance, etc.).
Il s’agit d’une chronique des amitiés qui lient trois jeunes hommes de la ville de Rockford, dans l’État de l’Illinois, aux États-Unis, unis par leur amour du skateboard. Les séquences vidéos du documentaire s’étalent sur plus de 12 ans de vie des protagonistes, les plus anciennes ayant été tournées par Bing Liu alors qu’il avait 14 ans. Le journaliste A. Océans Poubelles [HD] Into Eternity VOSTFR : ONKALO, Le site d'enfouissement définitif de déchets nucléaires [ARTE] The Atomic Cafe (1982) - VOSTFR. Le café atomique et autres documentaires sur la folie nucléaire (par Ana Minski et Nicolas Casaux) « Les deux pôles de la civilisation sont le travail organisé mécaniquement, et la destruction et l’extermination organisées mécaniquement.
En gros, les mêmes forces et les mêmes méthodes d’opération étaient applicables aux deux domaines. »— Lewis Mumford Le documentaire The Atomic Cafe, « film d’horreur comique » — comme on pouvait le lire sur une affiche d’époque — sorti en 1982, constitué d’images d’archives des années 1940 à 1960 (interventions télévisuelles, discours politiques, clips publicitaires, etc.), expose la propagande d’État des États-Unis visant à faire accepter l’utilisation de la bombe atomique et la domestication de l’atome. J. Is for Junk Economics. Petit bréviaire économique (1) Confucius pensait que les troubles sociaux commençaient par l’incapacité de nommer les choses par leurs noms.
La première étape pour réformer un monde mal structuré est donc la « rectification des noms ». Pour Confucius, cela signifiait restaurer le sens original des mots. La terminologie économique actuelle a manifestement besoin d’une telle rénovation. En rejetant l’économie classique d’Adam Smith, de John Stuart Mill et des autres critiques de la propriété foncière et des monopoles, les défenseurs des revenus de prédation [1] ont brouillé et obscurci la terminologie économique au moyen d’euphémismes pour nier l’existence d’un repas gratuit [2].
Les termes rentier et usure, qui ont joué un rôle si central au cours des siècles passés semblent aujourd’hui anachroniques et ont été remplacés par une double pensée orwellienne plus consensuelle. Comme les annonceurs le savent, nommer un produit modifie la façon dont les gens le perçoivent. La Quatrième révolution industrielle : ce qu’elle implique et comment y faire face. Nous sommes à l’aube d’une révolution technologique qui va fondamentalement changer nos relations aux autres ainsi que notre façon de vivre et de travailler.
Ces changements, dans leur importance, leur portée et leur complexité, ne ressembleront en rien à ce que l’humanité a pu connaître jusqu’alors. Nous ne savons pas encore ce qui va se passer, mais une chose est sûre : notre réponse doit être globale et elle doit impliquer toutes les parties prenantes au niveau mondial : le secteur public, le secteur privé, le monde académique et la société civile. À propos d’Extinction Rebellion – Partie III : La 4e Révolution industrielle (par Kim Hill) Le premier volume de cette série d’articles exposait les intérêts industriels et étatiques derrière l’objectif d’Extinction Rebellion d’atteindre la neutralité carbone.
Dans le deuxième, nous regardions les objectifs, tactiques et solutions à la crise climatique auxquels renvoie Extinction Rebellion, et qui servent la société industrielle au détriment de la nature. Dans cette troisième partie, nous nous intéresserons à l’histoire du mouvement pour le Climat, aux tactiques utilisées par les élites pour coopter les mouvements sociaux et les amener à servir l’agenda étatico-industriel, ainsi qu’à la nature de cet agenda. Le présent article est en grande partie une synthèse de l’enquête de Cory Morningstar visant à mettre au jour les manipulations du mouvement Climat par d’importantes entreprises et ONG.
La fabrication du consentement Les industriels construisent le consentement dont ils ont besoin au moyen de diverses tactiques : À propos d’Extinction Rebellion – Partie II : solutions et tactiques promues (par Kim Hill) Dans la première partie de cette enquête, la neutralité carbone, la demande principale d’Extinction Rebellion, est exposée comme une campagne visant à sauver l’économie capitaliste et l’industrie des énergies fossiles.
Dans cette deuxième partie, nous nous penchons sur les autres exigences d’Extinction Rebellion : que les gouvernements disent la vérité et mettent en place une Assemblée citoyenne. Nous nous penchons également sur leurs tactiques et les solutions proposées pour parvenir à ces fins. Exigence 1 : que les gouvernements disent la vérité à propos de la crise climatique. À propos d’Extinction Rebellion – Partie 1 : zéro émission nette (par Kim Hill) L’article suivant est une traduction d’une critique du mouvement Extinction Rebellion, rédigée par Kim Hill, une activiste australienne.
Il est possible que la branche française du mouvement prenne une direction différente des autres branches d’Extinction Rebellion, et notamment des branches principales, britannique et états-unienne. Cela serait sans doute souhaitable, mais ne changerait pas grand-chose à l’affaire. En effet, une branche locale d’un mouvement formulant des objectifs contraires à ceux des branches principales, cela risque de ne pas très bien fonctionner, d’ajouter de la confusion à une situation déjà hautement confuse. En outre, les branches britannique et états-unienne sont les plus suivies et médiatisées au monde. Wrongkindofgreen. Extinction Rebellion dispense une formation conçue pour contrôler la résistance radicale des « obstructionnistes de gauche » Par Cory Morningstar Paru sur Wrong Kind of Green et The Art of Annihilation sous le titre Extinction Rebellion Training, or How to Control Radical Resistance from the ‘Obstructive Left’ « Nouveau pouvoir » – « La capacité d’exploiter la foule connectée pour obtenir ce que vous voulez »– Jeremy Heimans, cofondateur de Purpose/Avaaz, expert de la B Team En haut : Document de formation du coordonnateur local d’Extinction Rebellion (XR).
Schéma : Le cercle « US » (« NOUS ») en haut signifie Extinction Rebellion. Le cercle orange du milieu identifie les activistes politiques « le plus souvent obstructionnistes » (« d’extrême gauche ») qui doivent être contournés afin d’atteindre le cercle du bas. Le cercle du bas représente les citoyens apolitiques, le public-cible de XR. Haïe par des imbéciles, encensée par des idiots : le chemin de croix de Greta (par Nicolas Casaux)
Pour mieux comprendre ce billet, il est conseillé de commencer par lire, au préalable, celui-ci et celui-là. « Greta, je t’aime » !
« Merci Greta » ! Greta Thunberg, Extinction Rebellion et le mouvement pour le développement durable (par Nicolas Casaux) Une compilation de quelques billets publiés sur les réseaux sociaux, au cours des derniers mois, à propos d’Extinction Rebellion, de Greta Thunberg et du « mouvement pour le climat » qui est en réalité, dans son immense majorité, un mouvement pour le développement durable.
Certaines personnes qui ne connaissent pas bien notre perspective politique nous demandent parfois ce que nous proposons, ce que nous voulons, parce que critiquer « tout le monde » (Greta Thunberg, Aurélien Barrau, Cyril Dion, Extinction Rebellion, etc.), ça commence à bien faire. Pour faire court, j’aurais pu reprendre la formule de mon ami Thierry Sallantin : « je fais partie des luddites, c’est-à-dire que […] je suis contre l’industrialisme, pour l’artisanalisme, ma position politique, c’est que je veux tout casser ». Malheureusement, en tant qu’explication, ça risquerait de ne pas suffire, et/ou d’être mal perçu ou mal compris. Développons un peu. Détruire le capitalisme avant qu’il ne nous détruise (à propos de Lubrizol), par Frédéric Lordon (Les blogs du Diplo, 7 octobre 2019) On se croyait en start-up nation. On se retrouve à Tchernobyl. Qu’en un instant tout le glamour de pacotille de la Station F et des écrans tactiles s’écroule pour faire revenir d’un coup des images d’URSS n’aura pas été le moindre des paradoxes de l’explosion Lubrizol.
Il faut pourtant s’y rendre : des pompiers envoyés en toute méconnaissance de ce qui les attendait, avec pour tout équipement « spécial » de pauvres masques de bricolage pareils à ceux des manifestants, à piétiner des heures dans la sauce qui troue les bottes et leur promet des pieds comme des choux-fleurs — et tout ceci, parfaite ironie, alors que la série Chernobyl venait de remporter un succès de visionnage bien fait pour consolider la commisération réservée aux régimes soviétiques et le sentiment de supériorité capitaliste (au prix tout de même de devoir oublier que Tchernobyl était en sandwich entre Three Miles Island et Fukushima). En finir avec la culture du viol (par Ana Minski) – Le Partage.
En finir avec la culture du viol Noémie Renard anime depuis 2011 le blog Antisexisme.net. Elle a également animé un forum de discussion de 2011 à 2015 afin d’analyser les violences sexuelles dont sont victimes les femmes. Dans son livre En finir avec la culture du viol, publié en mars 2018 aux éditions Les petits matins, elle identifie les mécanismes favorisant les violences sexuelles et leur tolérance dans les pays occidentaux, et plus particulièrement en France. Elle met en lumière un ensemble de représentations culturelles et d’idées reçues qui banalisent les violences sexuelles. « L’expression « culture du viol » est née dans les années 1970 aux États-Unis au sein du mouvement féministe radical. La culture du viol se caractérise par des idées reçues, des stéréotypes de genre, des attitudes concernant la sexualité, et permet de maintenir des inégalités sociales entre hommes et femmes et entre adultes et enfants.
Chronique : la violence masculiniste, suivie d’un entretien avec Francis Dupuis-Déri (par Ana Minski) – Le Partage. Francis Dupuis-Déri, professeur de science politique à Montréal, observe depuis plusieurs années la crise de la masculinité. Dans son ouvrage récemment paru, La crise de la masculinité, autopsie d’un mythe tenace, il analyse le sens politique de cette crise qui ne correspond ni à une réalité économique, politique, sociale ou culturelle, ni à une réalité empirique, puisque, dans les faits, ce sont les hommes qui sont à la tête des États, qui dirigent les principales institutions internationales, qui gouvernent le monde, qui détiennent le pouvoir décisionnaire.
Confusion renouvelable et transition imaginaire (par Nicolas Casaux) – Le Partage. La photo de couverture de l’article (ci-dessus) montre des travailleurs dans une usine d’assemblage de cellules de panneaux solaires photovoltaïques, à Dezhou, province de Shandong, en Chine. Dans son livre Des ruines du développement, Wolfgang Sachs met en relief les conséquences sociales d’un appareil aussi anodin, en apparence, que le robot de cuisine : « Il extrait les jus de fruits en moins de temps qu’il ne faut pour le dire.
Quelle merveille ! …à première vue. Il suffit de jeter un coup d’œil sur la prise et le fil pour s’apercevoir qu’on est en face du terminal domestique d’un système national et, en fait, mondial. Ce qu’il écrit à propos d’un robot électrique est vrai de tous les objets produits en masse par la société industrielle, et notamment des appareils hautement technologiques. . « Il produit de l’électricité grâce à la lumière solaire. Démocratie directe, violence et technologie : un entretien avec Francis Dupuis-Déri – Le Partage.
Note de l’intervieweur (Nicolas Casaux) : je me suis entretenu, par mail, avec Francis Dupuis-Déri (FDD, dans le texte ci-après), professeur de science politique à l’université du Québec à Montréal, militant et auteur de plusieurs excellents livres, que je vous recommande vivement. Voici donc : 1. Dans ton dernier livre, La peur du peuple, tu proposes une démonstration assez convaincante de la capacité des êtres humains à s’autogérer. Mais tu ne sembles pas aborder, ou alors pour l’évacuer assez rapidement, la question de la limite, de l’échelle à laquelle cela pourrait s’appliquer, la question de la taille (cf. le livre d’Olivier Rey, Une question de taille), également développée par Ivan Illich, Leopold Kohr, et d’autres : cette observation selon laquelle au-delà d’une certaine limite, d’une certaine densité de population, au-delà d’une certaine quantité d’individus, l’auto-organisation égalitaire n’est plus possible.
Les (ultra)riches sont des psychopathes (par Nicolas Casaux) – Le Partage. Quelle époque terrible que celle où des fous dirigent des aveugles.— William Shakespeare De nombreuses études scientifiques, d’année en année, l’ont démontré de différentes manières, les ultrariches ont tendance à être de sacrés sociopathes. On peut par exemple lire, dans un article[1] de Slate intitulé « C’est scientifiquement prouvé: les riches n’en ont rien à faire des autres », publié en 2018 : « Un nombre croissant d’études démontrent que nous ne sommes pas tous logés à la même enseigne.
De la royauté aux « démocraties » modernes, un continuum antidémocratique (par Nicolas Casaux) – Le Partage. Vivons-nous en « démocratie » ? Bien sûr que non[1] ! Quelle drôle de question[2], me direz-vous. La civilisation et la destruction du monde (par Stéphane Durand) – Le Partage. Le mythe de la démocratie comme invention moderne (à propos de “La peur du peuple” de Francis-Dupuis Déri) – Le Partage. Comment l’agriculture néolithique a semé les graines des inégalités modernes il y a 10 000 ans (par James Suzman) – Le Partage. Oser critiquer l’individualisme généralisé – DécroissanceS. Adresse à tous ceux qui ne veulent pas gérer les nuisances mais les supprimer (par l’EdN) – Le Partage. Scolariser le monde (2010) Sur la nature sauvage des enfants & « Scolariser le monde » (par Carol Black) La démesure, l’ignorance systémique, et la destruction du monde naturel. Une brève contre-histoire du “progrès”, de la civilisation et de leurs effets sur la santé (par Nicolas Casaux)
L’étrange logique derrière la quête d’énergies « renouvelables » L'insoutenable pollution de l'air du transport maritime. La démesure, l’ignorance systémique, et la destruction du monde naturel (par Nicolas Casaux) Et si le problème, c’était la civilisation ? Renaud Garcia : « La technologie est devenue l’objet d’un culte » Hold-up social : comment le droit du travail a été démantelé en Europe, sans aucun bénéfice sur l'emploi et les gens. Le rôle de la littérature dans l’enfer capitaliste en expansion (par Arundhati Roy) Lettre ouverte au type sur Twitter qui se demande si le sexe biologique est réel (par Jonah Mix) Les sociopathes (de France Télécom à Macron), par Frédéric Lordon (Les blogs du Diplo, 31 mai 2019) Total, un gouvernement bis, par Alain Deneault (Le Monde diplomatique, août 2018) Mondialisation néolibérale : ennemi de la démocratie ? Usbeketrica. La fonte du permafrost libère des bactéries, des virus et du méthane par Claude-Marie Vadrot.
2118 : comment Noa Darwin a sauvé l'humanité. « On ne sapera le capitalisme qu'en lui opposant une merveilleuse alternative » Repartir de zéro : la nouvelle utopie de la science-fiction. Human Impacts. Changement climatique : l’humanité est déjà affectée de 467 façons différentes. L'espèce humaine souhaite-t-elle réellement éviter sa propre extinction ? « Une fois qu'un écosystème s'effondre, on ne peut plus revenir en arrière » Worldometers. 60 % des populations d'animaux sauvages ont disparu depuis 1970. Climat : pourquoi la voiture électrique n'est pas la solution. Start [Le JTerre] Interactive: The impacts of climate change at 1.5C, 2C and beyond. UN Says Climate Genocide Coming. But It’s Worse Than That.
Il est encore temps. Écotopia : bienvenue dans le futur désirable. Les câbles d’Internet : qui sont-ils, quels sont leurs réseaux ? Le numérique, mauvais élève de la transition énergétique. Le rôle central et dangereux de l’océan face au changement climatique. La Servante écarlate, un manuel pour les dystopies du XXIe siècle. Des chercheurs veulent nous préparer à l'effondrement climatique. » Voilà comment les scientifiques de l’ONU se préparent à la fin du capitalisme. La Particule humaine : Jean-Marc Barr dans les ruines de notre civilisation. Over the next decade vertical farms will have to hire 100,000 workers. 7 classiques de l'anticipation à (re)voir d'urgence. « La science-fiction expérimente les conditions de la vie en commun » « Thermostat 6 », le court-métrage qui critique le déni écologique. Heineken et Nestlé: deux multinationales aux méthodes contestables.
« Changer de système ne passera pas par votre caddie » Climat : la société civile n'est malheureusement pas la solution. Effondrement de la civilisation ? Pablo Servigne [EN DIRECT] Pablo Servigne: penser l’effondrement de notre monde. Présages #7 - Pablo Servigne : collapsologie, intuition et émotions. Animaux trop Humains : Entraide Animale (Documentaire) Au cœur des réseaux de l'évolution. K2264. "La loi de la jungle, c'est aussi la loi de l'entraide"
Comment réduire l’empreinte environnementale du web. Quelle est l’empreinte environnementale du web. Internet, une histoire pas tellement virtuelle. Pour sauver la biodiversité, il faut limiter le changement climatique. Les humains ont déjà détruit la moitié de la biomasse sur Terre. « Tous les indicateurs sont au rouge pour la biodiversité » « La survie du monde vivant doit passer avant l'économie » Addiction à la technologie : la faute aux designers ? « Plus vous lisez en diagonale, plus votre cerveau réclame de la rapidité »
Imaginez : en 2038, la France a réussi la transition écologique. Une croissance tournée vers le climat génèrerait 26 000 milliards de dollars. 2118 : la « grande dystopie » du XXIe siècle rangée dans un musée. 15 espèces communes en voie de disparition. #BrightMirror, saison 2, chapitre 5 : transport. « La baisse catastrophique des populations d'oiseaux continue » Comment commencer en Permaculture ou en Agroécologie ? Mon Jardin en Permaculture. « Les eaux usées sont une ressource » Usbek & Rica. Les fermes verticales ou l'utopie d'une écologie hors sol.