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Quelle est l’empreinte environnementale du web ? - Green IT

Quelle est l’empreinte environnementale du web ? - Green IT
Depuis un peu plus d’un an, chaque journaliste ou institution que je rencontre me pose les deux mêmes questions : quels sont les impacts environnementaux du web ? Et comment les réduire ? La réponse tarte à la crème, archi médiatisée, consiste à accuser les vilains centres de données qui seraient, selon certaines ONG, la source de tous les maux. En réalité, la situation est plus complexe et les solutions diverses. Car chaque tiers – utilisateur, réseau, data center – a des impacts différents, et pas aux mêmes étapes du cycle de vie. Pour apporter une réponse synthétique et précise, je viens de passer quelques semaines à faire des calculs approfondis. 200 équipements utilisateurs pour 1 serveur On compte environ 3 milliards de terminaux connectés (2 milliards de smartphones et 1 milliard d’ordinateurs) et 5 à 7 milliards d’objets connectés, soit environ 9 milliards de clients, pour environ 45 millions de serveurs. Cela nous permet de déduire deux premiers ratios intéressants :

https://www.greenit.fr/2015/05/12/quelle-est-l-empreinte-environnementale-du-web/

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Comment réduire l’empreinte environnementale du web ? - Green IT Dans un précédent article, nous avons vu que l’empreinte annuelle moyenne d’un internaute est de l’ordre de : 350 kWh d’énergie;200 kg de gaz à effet de serre ;3 000 litres d’eau. Les équipements des internautes et les objets connectés concentrent les impacts associés à la fabrication (scope 3) : épuisement des ressources naturelles non renouvelables, impacts environnementaux et sanitaires associés à l’extraction des minerais et à la fabrication des composants électroniques, changement climatique. Une élue japonaise visée par des insultes sexistes La scène a suscité l’indignation des Japonais. Mercredi, alors qu’elle prenait la parole devant l’assemblée municipale de Tokyo pour évoquer la politique familiale et le faible taux d’emploi des femmes, Ayaka Shiomura a été interrompue par les remarques plus que déplacées de ses collègues. « Tu fais partie de celles qui devraient se marier le plus vite possible », a lancé un élu. Dans l’assemblée un autre a renchéri : « Tu n’es même pas capable d’avoir des enfants ! » Des commentaires sexistes qui n’ont pas manqué de faire rire les élus, visiblement très amusés par cette humiliation. Après avoir esquissé un sourire gêné, l’élue de 35 ans a fini son discours la voix tremblante et les larmes aux yeux.

Quel est le coût écologique de votre surf sur internet ? - Le Parisien Chaque action que nous effectuons sur notre ordinateur, du simple courrier électronique à l'utilisation d'un programme plus complexe, nécessite en effet une production importante d'énergie, liée à la puissance de calcul et à l'usage des ressources réseau, et elle génère un volume non négligeable de CO2 dont les effets se font déjà sentir. A titre d'exemple, l'Ademe (Agence de l'environnement et de la maîtrise de l'énergie) a calculé que l'envoi des emails d'une entreprise de 100 personnes générait chaque année pas moins de 13,6 tonnes équivalent CO2, soit environ 13 allers-retours Paris-New York… La raison de cet emballement ? Un accès de plus en plus massif à un réseau qui n'a pas été conçu pour faire face à la demande et croît à une vitesse exponentielle. Un nuage pas très écolo Au cœur de ce maelström numérique, on trouve les datacenters, ou centres de données. Des efforts payants Il y a donc urgence à réagir.

A quel point le cinéma est-il sexiste ? On a les chiffres Le site Polygraph a passé 4 000 films au test de Bechdel, qui permet de déterminer si une oeuvre est sexiste. Résultat ? Euh... déprimant. Le Big Data est-il polluant ? Du commerce à l’énergie, en passant par la finance, la santé, le transport, la culture… et même la science, les données numériques représentent pour beaucoup le pétrole du XXIe siècle. Chaque jour, l’industrie du Big Data se fait plus grosse, représentant déjà plus de 4 millions d’emplois directs dans le monde ! Mais il y a une donnée que nous avons peut-être oubliée en route : tout a un coût. Et celui du Big Data est écologique. Derrière cette informatique virtualisée, distribuée et distante, se trouvent, en effet, des infrastructures bien réelles qui ont une consommation énergétique et un impact carbone forts.

Nature à l’école : le temps est-il venu de faire classe en plein air ? Dès l’annonce des mesures de déconfinement, l’idée d’une école dont les cours s’organiseraient à l’extérieur s’est développée. Plusieurs tribunes ont appelé à ouvrir l’école sur la société, à faire classe dehors. Avec la mise en place de protocoles sanitaires contraignants, cette école du dehors devenait à la fois une « solution sanitaire et salutaire » et un symbole de liberté retrouvée. Ce 24 août 2020, en déplacement dans une école de l'Oise, le ministre de l'Éducation a évoqué aussi les bienfaits pédagogiques de la classe en plein air, notant qu'elle pourrait faire partie des recours en septembre dans un contexte de lutte contre l'épidémie de Covid-19, tant que la météo le permet. Ce mouvement d’ouverture à la nature n’est pas nouveau. Il s’agit d’un courant pédagogique ancien et international qui connaît aujourd’hui un réel regain d’intérêt.

Smartphone Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Un smartphone ou téléphone multifonction ou téléphone intelligent est un téléphone mobile disposant en général d'un écran tactile et d'un appareil photographique numérique, et des fonctions d'un assistant numérique personnel et d'un ordinateur portable. Selon le principe d'un ordinateur, il peut exécuter divers logiciels/applications grâce à un système d'exploitation spécialement conçu pour mobiles, et donc en particulier fournir des fonctionnalités en plus de celles des téléphones mobiles classiques comme : l'agenda, la télévision, le calendrier, la navigation sur le Web, la consultation et l'envoi de courrier électronique, la géolocalisation, le dictaphone/magnétophone, la calculatrice, la boussole, l'accéléromètre, le gyroscope, la messagerie vocale visuelle, la cartographie numérique, etc.

Ces livres de jeunesse qui préparent la rentrée scolaire De Matilda à Harry Potter de nombreux livres destinés à la jeunesse ont comme cadre un environnement scolaire. Loin d’être une mode récente, ce thème récurrent s’est développé à partir du XIXe siècle avec la parution en 1857 de Tom Brown’s School Days de Thomas Hughes. Peu connu en France, et désuet même en langue anglaise, ce roman a mis en place les bases du genre, des scènes de compétitions sportives à la place du directeur d’école, en passant par les figures de l’ennemi juré, du meilleur ami, des scènes de cafétéria ou des coups montés. Infographie : l'impact d'internet sur notre environnement La société Kualo nous révèle une infographie intéressante qui résume l’impact d’internet et de notre consommation sur l’environnement. Le 22 avril dernier, nous célébrions la Journée de la Terre. Concrètement, il s’agit d’un événement spécial qui a pour but de sensibiliser les populations à l’importance du respect de l’environnement. À cette occasion, le fournisseur de solutions d’hébergement web Kualo nous révèle une infographie fascinante qui explique l’impact d’internet sur notre environnement. L’occasion de constater que le web est sûrement l’une des industries qui polluent le plus au monde, et que nos actions du quotidien sur internet y sont pour beaucoup. Kualo nous donne également quelques pistes pour réduire cette pollution et adopter une démarche plus écologique.

Gaspillage alimentaire : quelles conséquences pour la planète ? Les chiffres sont affolants. Entre 25 et 30% de la nourriture produite chaque année pour la consommation humaine - soit environ 1,3 milliard de tonnes - est perdue ou gaspillée. Un chiffre en hausse de 40% depuis 1970 et qui représente 200 calories par jour et par individu, selon un rapport provisoire du Giec. Les effets rebond du numérique Malgré leur capacité à produire de l’information sur notre environnement et de permettre d’écoconcevoir de nouveaux produits et services (voir Gossart et al., 2015), les éco-TIC sont loin d’être des baguettes magiques à verdir la planète. En effet, elles comportent de sérieuses limites, dont la principale semble être l’existence d’« effets rebond », qui annulent tout ou partie de leurs bénéfices écologiques. Dans le cas des technologies numériques comme les serveurs, les gains en termes d’amélioration de l’efficacité énergétique pourraient donc être absorbés par une augmentation de la demande de stockage numérique d’informations, ce qui annulerait les bénéfices environnementaux de ces gains .

Sylvain Connac : La coopération, ça s'apprend C'est une des leçons du confinement : on apprend bien mieux avec les autres. Alors que l'épidémie est toujours là, Sylvain Connac publie un livre clé pour relancer la coopération des élèves en classe. Il présente les différentes formes de coopération, du travail en groupe aux conseils coopératifs. Très concret, agrémenté de nombreux tests et exercices, ce livre est un véritable manuel pour faire évoluer sa pédagogie en sécurité. Alors que rétablir du commun est une priorité, Sylvain Connac répond à nos questions.

Le coût écologique d’internet est trop lourd, il faut penser un internet low-tech Robotique, objets connectés, bio et nanotechnologies, chimie de synthèse... Parce que l’innovation est le principal moteur de la croissance qui dévore la planète, Reporterre publie une série de tribunes visant à démythifier le progrès et faire de la recherche scientifique un terrain de controverse et de luttes. Félix Tréguer est membre fondateur de La Quadrature du Net — association de défense des libertés publiques à l’ère numérique. Gaël Trouvé est cofondateur de Scolopendre – hackerspace visant une réappropriation citoyenne de la gestion des déchets électroniques. Dans ce texte, la référence au luddisme — ce mouvement d’ouvriers et d’artisans qui, au XIXe siècle, brisaient les machines pour dénoncer l’industrialisation — apparaît usurpée, tant la critique de la technique qui s’y exprime semble sommaire. En cela, ce texte est symptomatique des limites du discours technocritique qui domine les milieux hackers, et plus largement celui de l’activisme numérique.

Un lexique pour décoloniser les mots «D’où tu parles ?» De la bouche des ados, ça veut dire : «Pourquoi tu la ramènes ?» A la lecture du Dérangeur. Petit lexique en voie de décolonisation, l’envie nous prend de nous attacher à une interprétation littérale de l’apostrophe. L’objectivité est-elle un leurre ?

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