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Un ado sur huit a un usage problématique des jeux vidéo

L’Observatoire français des drogues et des toxicomanies a étudié le comportement de 2 000 élèves de 12 à 16 ans. Le Monde.fr | • Mis à jour le | Par Pascale Santi Un élève sur huit aurait un usage « problématique » du jeu vidéo. C’est ce qu’indique une enquête menée auprès de 2 000 élèves de la 4e à la 1e inscrits dans 15 établissements d’Ile-de-France, rendue publique mercredi 17 décembre et réalisée par l’Observatoire français des drogues et des toxicomanies (OFDT) et la consultation jeunes consommateurs (CJC) du centre Pierre Nicole de la Croix Rouge*. Avec plus de 11 écrans à domicile, les adolescents franciliens de cet échantillon sont suréquipés. 84 % d’entre eux ont une console de jeux, et 74 % une tablette. Les trois quarts des lycéens (60 % des collégiens) ont un ordinateur dans leur chambre. « Négliger d’autres activités pour jouer » Selon l’Institut national de la santé et de la recherche médicale, 5 % des jeunes de 17 ans joueraient entre cinq et dix heures par jour.

http://www.lemonde.fr/societe/article/2014/12/17/un-ado-sur-huit-a-un-usage-problematique-des-jeux-video_4542052_3224.html

Serge Tisseron Posté par Serge TISSERON le 7 avril 2014. La revue Canard PC a consacré récemment un numéro à la question de l’addiction aux jeux vidéo, bien évidemment titré « Tous addicts ? ». Mais qu’est-ce qui a bien pu justifier le lancement d’un tel sujet à un moment où pratiquement l’ensemble de la communauté internationale est en train de renoncer à définir les pathologies liées à l’usage excessif des jeux vidéo en termes d’addiction, notamment chez l’enfant et l’adolescent ?

Les jeux vidéo sèment-ils la violence ? « Les jeux vidéo sèment-ils la violence ? » C’est ce que se demande Catherine Petitnicolas dans Le Figaro. La journaliste indique que « la question a été abordée aux Entretiens de Bichat alors que les psychiatres sont de plus en plus souvent confrontés à des jeunes en proie à des comportements délictueux ». Un site utilisant Université d'Angers La terminologie psychopathologique de l’addiction est aujourd’hui dans toutes les bouches.Face à la fortune de ce terme, il est important de rappeler que l’invocation de cette pathologie pour qualifier le besoin que les individus ressentent à l’égard de certains outils et services numériques est un abus de langage. La FFTélécoms a demandé à la sociologue Joëlle Menrath, à l’occasion de la 4eme « journée sans Facebook » de répondre à la question de l’addiction ou pas aux nouvelles technologies. Addiction nouvelles technologies L’initiative de la « La journée sans Facebook » est un indice, parmi d’autres, d’une préoccupation grandissante autour des effets de l’usage abondant de certains services ou outils numériques.

Camp de redressement pour soigner les Cyber-addict Un camp de redressement pour soigner les Cyberdépendants novembre 18, 2007 La Corée du sud "innove" en ouvrant un camp de redressement d’un nouveau genre. Après les camps de redressement pour jeunes délinquants en difficulté voici le premier Cyber-Addict Boot Camp. 90% des foyers coréens sont connectés à l’Internet à haut débit et le jeu en ligne est devenu un véritable fléau social pour les jeunes coréens qui n’arrivent plus à décrocher de leurs ordinateurs. Il y a quelques mois de cela un jeune homme de 28 ans était décédé suite à un arrêt cardiaque survenu durant une partie de jeu online qui avait duré 50 heures… Ce n’est malheureusement pas un cas isolé car en 2002 un autre accro agé de 24 ans était décédé après 86 heures de jeu dans un cybercafé!

Panorama et enjeux des mondes numériques Les réseaux sociaux sont les derniers invités. Ils se présentent comme des espaces conviviaux de présentation de soi et de communication, et facilitent les contacts avec d’autres sujets à l’aide de moteurs automatiques de recherche. De façon simplifiée, ces moteurs fonctionnent par héritage de liens. Si A est lié à B et que B est lié à C, alors le système propose à A d’être lié à C. Pour Facebook, un des réseaux sociaux les plus utilisés, le lien est désigné comme « ami ». Dépendance aux écrans - Alcool, tabac, drogues et dépendances A mon avis, la cyberdépendance n'est plus vraiment une question de générations. Elle touche plus ou moins toutes les tranches d'âge et toutes les classes sociales.J'en ai souffert il y a quelques années. A l'époque, je passais plus de 10 heures par jour devant l'ordi !

Yann Leroux : « Il n’y a pas d’addiction aux jeux vidéo » On ne présente plus vraiment Yann Leroux sur internet, parce qu’il est l’un des rares psychanalystes à twitter et à avoir un blog. Membre de l’Observatoire des mondes numériques en sciences humaines, joueur invétéré, Yann Leroux s’intéresse au virtuel depuis qu’il est tombé dedans. C’est assurément son expérience de joueur qui l’a amené à porter un autre regard sur le jeu. Le gouvernement va lancer une étude sur l’addiction des jeunes aux écrans Alors que le nombre d’écrans équipant les foyers français ne cesse d'augmenter (ordinateurs, smartphones, tablettes,...) le ministère de la Jeunesse et des sports vient d’annoncer qu’une étude allait être menée par des experts des sciences neurologiques et des sciences sociales au sujet des « conduites addictives aux médias numériques de l'enfant et de l'adolescent ». Même si aucun calendrier n’est évoqué, l’exécutif songe déjà à la mise en place d’un programme de prévention afin de lutter contre l'excès de temps passé devant les écrans. Interrogée par un député au sujet du développement des addictions chez les jeunes, la ministre de la Jeunesse et des sports a annoncé cette semaine l’organisation prochaine « d'une étude portant sur les conduites addictives aux médias numériques de l'enfant et de l'adolescent ». « Une étude institutionnelle sera conduite avec l'appui d'experts des sciences neurologiques et des sciences sociales.

Pokémon Go, pourquoi tant de haine ? – Tribune pour Libération (25/08/16) « Pokémon Go, pourquoi tant de haine ? » – Tribune initialement publiée par liberation.fr le 25/08/16 Non, les jeux vidéo ne rendent pas « addict ». Non, les jeux vidéo ne rendent pas violents. Non, les jeux vidéo n’isolent pas leurs utilisateurs. Les clichés relayés, à chaque nouvelle sortie d’un jeu ou au détour de faits divers, ont la dent dure.

Cet article du Monde décrypte une étude de l’Observatoire français des drogues et des toxicomanies sur l'usage fait des jeux vidéos par 2 000 élèves de 12 à 16 ans réalisée en 2014. Cette étude a le mérite d'apporter des chiffres fiables et de faire ressortir que, sur un échantillon de 1 693 joueurs hebdomadaires (qui jouent au moins une fois par semaine), 234 élèves (14 %) répondent à au moins quatre critères d’addiction aux jeux vidéo. Elle souligne le lien entre pratique excessive et défaut de surveillance et de sollicitude parentale by reminny_groupeb_psy Mar 4

Je pensais que le nombre était encore plus élevé que ça. by seigneur_groupea_psy Feb 18

Santi, Pascale. "Un ado sur huit a un usage problématique des jeux video. Site du Monde en ligne. service Société. Disponible au Surtout les ados mais où sont les parents ? De la difficulté d'établir des règles dans une situation que l'on connait peu. by benhamou_groupe1_psy Apr 9

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