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Quelles aptitudes développer pour le manager de demain

Quelles aptitudes développer pour le manager de demain
Ce billet fait suite à celui sur les 4 bonnes raisons de réinventer le management et pose les bases des aptitudes nécessaires au manager « post moderne » de demain. L’action managériale s’inscrit donc dans des environnements de plus en plus turbulents, complexes, incertains, nécessitant adaptation permanente, flexibilité, ou encore innovation. Mais… Taylor n’est pas mort Les conditions actuelles sont très éloignées de celles qui ont fondé l’Organisation Scientifique du Travail au début du siècle précédent. Pour autant celle-ci a posé différents « marqueurs » encore très présents dans la pensée managériale : segmentation des tâches, centralisation des responsabilités, logique dominante du « Command Control»… Bref, ne sommes-nous pas finalement restés très « tayloriens » dans nos têtes et rompus à répondre aux problèmes « compliqués » plutôt qu’en capacité d’agir réellement dans la « complexité »? Une aptitude à créer du « bon vouloir » Une posture de « Servant Leader » Pour aller plus loin :

http://www.blog-management.fr/2014/10/27/quelles-aptitudes-developper-manager-post-moderne/

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Google : présentation, concurrents et stratégies de Google Présentation C’est en 1998 que Larry Page et Sergueï Brin, deux étudiants à l’université de Stanford, ont eu l’idée de créer le désormais célèbre et mythique moteur de recherche Google. Aujourd’hui, le moteur de recherche a évolué et la société Google s’est muée en Google Inc, qui est devenue l’une des entreprises numériques les plus influentes du monde et une des plus cotées en bourse (en deuxième position, derrière Apple). Google est devenu en à peine plus de 10 ans un élément incontournable du monde numérique (son moteur de recherche draine environ 98 % des recherches sur le web : on peut carrément parler de monopole) et une société de poids dans le paysage économique et financier mondial. « Organiser l’information mondiale et la rendre universellement accessible et utile à tous ».

Liste de 10 valeurs de base selon un modèle de psychologie sociale Le chercheur en psychologie sociale Shalom H. Schwartz et ses collègues ont identifié 10 valeurs fondamentales, qui permettraient de classifier toutes les autres et seraient présentes dans toutes les cultures. Les L’entreprise libérée, entre communication et imposture A l’heure où le modèle d’entreprise libérée est glorifié dans les médias, autant spécialisés que grand public, François Gueuze expert en management des ressources humaines, prend la plume pour faire entendre une voix discordante. Pour ou contre l’entreprise libérée ? A vous de vous forger votre propre avis. L’encadrement intermédiaire ne sert à rien sinon à contrôler en permanence, à la manière militaire, de pauvres collaborateurs asservis.

Le travail à l'heure du collaboratif Même si le malaise des cadres et le stress sont des réalités - très médiatisées - dans l'entreprise en France, il existe aussi un autre visage de la vie au travail. Celui de l'entraide et de la solidarité. Stimulées par l'essor constant du 2.0, ces pratiques vitaminent le lien social et la convivialité. Qu'il s'agisse d'échanger de l'expertise ou des objets, de partager des laboratoires de fabrication (fab labs), des espaces de coworking, ou même le pouvoir, voici un focus sur cinq tendances inspirantes, à copier sans modération.

Recrutement : 8 qualités que Google recherchent chez ses candidats 2 millions d’appelés par an et seulement 4000 élus, un taux d’admission plus bas que celui des plus prestigieuses universités. Il faut dire que Google possède des critères précis en matière de sélection des candidats et notamment ces 8 qualités issues du livre de Laszlo Bock, RH chez Google. 1. Avoir la Googlitude : aimer s’amuser, se remettre en question et travailler dans un cadre ou l’incertitude règne. 2. Posséder les connaissances liées au poste et pas seulement une spécialisation dans un seul domaine

Droit à l'échec ou à l'erreur : facteur-clé de confiance, de liberté de parole et d'innovation Qui n’a jamais assisté à un comité de direction, à un comité exécutif, voire même à un conseil des ministres ne peut imaginer à quel point la parole y est convenue, chaque mot soupesé. Chacun des participants s’assure avant tout de ne pas dire le mot de trop, celui qui risquerait de le mettre en difficulté vis-à-vis du « chef ». Ne remontent que les « bonnes nouvelles ». Résultat : le dirigeant est souvent le dernier informé de situations délicates qui, faute d’être traitées à temps, se transforment vite en gestion de crise. Ce non-dit se diffuse insidieusement à tous les échelons, jusqu’au plus près du terrain. La culture du « politiquement correct » constitue la règle plus que l’exception.

Que coûte et que rapporte l’entreprise libérée ? La masse salariale augmente, les activités supports se multiplient, mais l’entreprise s’y retrouve. LE MONDE | • Mis à jour le | Par Isaac Getz (Professeur à l’ESCP Europe) Hyacinthe Dubreuil (1883-1971), le premier auteur français qui, dans les années 1930-1940 a postulé la liberté d’action de l’ouvrier comme le principe fondamental de l’organisation de l’entreprise, aimait citer un grand zoologiste du XIXe siècle : « Toutes les fois qu’un fait nouveau et saisissant se produit dans la science, les gens disent d’abord : Ce n’est pas vrai. Ensuite : C’est contraire à l’ordre et à la religion. Et à la fin : Il y a longtemps que tout le monde le savait ! ».

Les bonnes pratiques de management Bon manager Récemment, j’ai animé un séminaire managers avec des méthodes d’intelligence collective. Parfois, on me demande à quoi ça sert les « méthodes d’intelligence collective »… Avec l’accord de mon client, je vous restitue le travail de la dizaine de participants qui, en une journée, ont produit un cahier des bonnes pratiques de management. Cette liste, affichée sur le bureau du manager, ne peut-elle d’autant plus le faire mûrir qu’elle est le fruit d’un travail commun entre pair, reflet d’une culture d’entreprise en mutation ?

Quand les salariés peuvent concrétiser un projet personnel sur leur temps de travail – Google Attirer des talents, c’est bien, les garder, c’est mieux. Mais comment fidéliser un nouveau collaborateur a qui l’on a demandé de ne pas hésiter à bousculer les habitudes, à être force de proposition et à prendre des initiatives lorsque le mode d’organisation cantonne chacun à un rôle bien précis et le style de management est basé sur le respect des règles, notamment celles relatives au processus décisionnel ? Si bon nombre d’entreprises, conscientes de la nécessité de se montrer attractives pour capter l’attention des talents dont ils ont besoin pour construire leur avenir, se lancent de Il est fréquent de noter un écart entre la « marque employeur » et la réalité du quotidien.

Management : osez la participation ! Les modes de management traditionnels reposent principalement sur les principes d’obéissance. Une mauvaise stratégie, selon Francis Boyer, spécialiste en innovation managériale, qui prône un changement de paradigme.« Le management de demain devra mobiliser l’intuition, la relation et les plaisirs, avec pour objectif la valorisation de “l’intelligence humaine” ». En clair, partir du principe que les salariés ont des capacités, du goût pour le travail, le sens des responsabilités et l’envie d’être associés aux projets de l’entreprise. Pour Francis Boyer, l’enjeu est donc de passer à l’étape suivante : celle du management collaboratif. Un management qui repose sur quatre piliers. « Le choix, c’est avant tout donner la liberté à une personne de s’engager en toute connaissance de cause et en prenant ses responsabilités. » Certains salariés peuvent ainsi s’organiser comme ils le souhaitent.

"Restaurer un travail réellement humain est, sur le long terme, la clé du succès économique", explique Alain Supiot ENTRETIEN À deux pas du Panthéon, dans un élégant bureau tout blanc, Alain Supiot, a répondu à nos questions à l’occasion de la sortie de deux ouvrages : La gouvernance par les nombres (Fayard), qui reprend son cours au Collège de France, où il est titulaire de la Chaire Etat social et mondialisation, et L’entreprise dans un monde sans frontières, un ouvrage qu’il a dirigé aux Éditions Dalloz. Maniant aussi bien la philosophie grecque classique, les théories du Droit que l’Histoire du cinéma (blockbuster hollywoodien inclus), il éclaire par ses idées les changements qui, ici et là, modifient le monde. Pour lui, nous vivons un changement d’imaginaire, de l’horloge à l’ordinateur.

Pourquoi les salariés n'aiment plus leur bureau Gros malaise entre l’open space, la machine à café et le photocopieur… les Français ne supportent plus l’aménagement de leurs espaces de travail. Ils sont 43% à le dire, contre 31% dans le monde (sources : chaire immobilier et développement durable de l’ESSEC, UK Green Building Council, baromètre Actinéo sur la qualité de vie au bureau, édition 2013). Portes ouvertes ou fermées, lieux de réunions systématiquement sans fenêtres, escaliers glauques, fumeurs éjectés, néons sans âme, mobilier à roulettes, confort thermique et acoustique aléatoires, coupure avec le milieu naturel, cloisonnement anarchique (« Pourquoi lui a un bureau, et pas moi ? »)… En réalité, le problème ne se situe pas là. La question majeure tient dans le passage d’une conception fonctionnelle de la répartition des mètres carrés (économie de production) à une architecture organique de l’espace de travail (économie de l’information). Un impact direct sur la motivation

Comment fidéliser ses salariés autrement que par l’argent ? Selon une étude américaine, le départ volontaire d’un salarié causerait une perte comprise entre la moitié de son salaire annuel et jusqu’à trois fois son salaire (dans le cas par exemple d’un commercial qui part avec ses clients). Ces chiffres ne prennent pas en compte les effets négatifs d’un tel départ sur le reste de l’équipe, dans les entreprises de moins de 20 salariés. La fidélisation des salariés est donc un enjeu majeur pour une entreprise, quelle que soit sa taille. Et l’argent est loin d’être la seule manière d’instaurer un climat motivant. Nos conseils pour fidéliser ses salariés autrement que par l’argent.

Management et RH, le grand malentendu Les fonctions RH sont en pleine mutation et confrontées à de nombreux questionnements. Leurs fonctions régaliennes traditionnelles (recrutement, formation, gestion des plans de carrière, traitement de la paye, etc.) sont de plus en plus souvent sous-traitées et ce n'est de toute façon plus sur ces champs-là que les RH sont attendues en termes de valeur ajoutée. Des enjeux beaucoup plus profonds (et beaucoup plus passionnants) doivent aujourd'hui les repositionner au centre de la réflexion et de l'organisation. Conduite du changement, montée en compétences des managers, capitalisation des savoirs et des connaissances, innovation participative, intelligence collective...

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