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Les pratiques managériales les plus innovantes du monde

Les pratiques managériales les plus innovantes du monde
Audace, inventivité, souplesse, authenticité... Tout le monde s'accorde à dire que nos entreprises doivent se réinventer pour se différencier. Quand on parle d'innovation, on pense stratégie, offre, organisation et très rarement management, à savoir la manière dont on anime et les Hommes. Pourquoi ? Vous, qui découvrez cet article, aimeriez-vous travailler au sein d'une entreprise où :les missions que l'on vous confie sont passionnantes ?les relations sont authentiques et basées sur la confiance ? Bien que 85 % des dirigeants estiment que l'innovation est primordiale pour rester compétitif, les entreprises n'y accordent qu'environ 10 % de leur temps [i]. Le management : parent pauvre de l'innovation Selon un sondage Ipsos de 2013, l'innovation est confiée à 72 % aux fonctions Recherche & Développement, Qualité et Marketing, ce qui représente entre 5 à 8 % de l'effectif. Histoire du management : quand "toujours plus de la même chose produit les mêmes effets" La confiance Agilité & Liberté 1.

http://www.journaldunet.com/management/expert/58679/les-pratiques-manageriales-les-plus-innovantes-du-monde.shtml

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Comment apprendre ? Pourquoi réviser ? Nous possédons tous plusieurs types de mémoire : une mémoire visuelle, axée sur la vision ; une mémoire auditive, axée sur ce que nous entendons et une mémoire kinesthésique ou mémoire sensorielle, basée sur les autres sens que la vue et l’audition. Ces trois formes de mémoire fonctionnent alternativement ou conjointement. Selon les personnes la mémoire dominante est différente mais la majorité de la population a une mémoire visuelle. D’après une étude d’université nous apprenons : 1% des choses par le goût, 1,5% par le toucher, 3,5% par l’odorat, 11% par l’ouïe et 83% par la vision. La première mémoire est la mémoire immédiate, la mémoire sensorielle, celle des sensations. Nous ne gardons en mémoire les informations de cette dernière que durant quelques millisecondes.

Le savoir-être : une qualité qui fait la différence Au vu de la complexité actuelle des recrutements, le savoir-être apparaît aujourd’hui comme essentiel pour une embauche. Mais de quoi s’agit-il ? Et pourquoi lui donne-t-on une telle importance ? Définissons tout d’abord le savoir-être : il correspond à la capacité d’agir et de réagir de façon adaptée à notre environnement, humain comme écologique. Vers un changement de paradigme des compétences Le management des compétences navigue aujourd’hui entre tension et crispation. Le rêve de toute organisation dans une période de changements est de voir une vraie rupture dans la façon de faire et dans la façon d’être de ses collaborateurs. Ce rêve est bien évidemment une réaction à une toute autre réalité. En effet, pour l’immense majorité des collaborateurs, l’ambiance a changé.

Innovation RH : les pratiques innovantes en RH (Partie 2) - Revolution-RH Dans la continuité de notre précédent article sur les pratiques innovantes en ressources humaines, nous vous proposons un tour d’horizon de l’innovation RH et de ses succès. Identifier le profil et la personnalité qui font un bon manager Sur le modèle du projet Oxygène mené chez Google, qui « a vu sa performance managériale s’améliorer de 75% pour ses plus mauvais éléments », pourquoi ne pas travailler avec le management de votre entreprise afin de lister un certain nombre de caractéristiques essentielles des managers les plus performants ?

Que peut-on apprendre des tiers-lieux 2.0 ? Résumé : Que peut-on apprendre des tiers lieux 2.0 ? D'abord ce sont des tiers lieux : ni tout à fait chez soi, ni tout à fait un lieu de travail (traditionnel). Un entre-deux qui reflète la manière dont la conception du travail change chez des travailleurs dont la matière première à utiliser/transformer est le savoir et qui sont, qui plus est, natifs du monde numérique (« digital native ».

Un milieu de travail convivial Accueil » Ressources et Outils » infoRH » Un milieu de travail convivial » Résolution de conflits Résolution de conflits Il existe des conflits dans toute organisation; dans une certaine mesure, les conflits sont signe d'un sain échange de vues et de créativité. Le reverse management Faire travailler ses clients, coopérer avec ses concurrents, supprimer les horaires de travail, laisser les salariés se fixer eux-mêmes leurs rémunérations, fêter les échecs… Autant de pratiques qui surprennent, interrogent et, pour beaucoup de dirigeants, effraient. C’est l’histoire d’une mère de famille, désespérée de ne pas parvenir à obtenir de la part de son jeune adolescent qu’il range sa chambre. Il faut dire que le cocon de ce chérubin ressemble davantage à une déchetterie qu’à une chambre : linges sales et restes de nourritures s’amoncèlent jour après jour. Toutes ses tentatives, explications des règles élémentaires d’hygiène, sermons, punitions, colères, n’y changent rien. Le résultat est toujours le même : la mère finit par ranger la chambre.

Et si le manager se mettait à l'heure d'été? Pourquoi avons-nous besoin de nouveaux managers dans le paradigme en devenir? La finalité d’une entreprise n’est ni de créer de l’emploi, ni d’enrichir ses actionnaires. La finalité d’une entreprise est de créer de la valeur d’usage et d’enrichir ses savoir-faire. Voilà planté le décor du management de demain. "Les managers du bonheur arrivent dans les entreprises" Ça y est, la fonction de Happiness Manager [manager du bonheur] existe en entreprise, ainsi que celle de Chief Happiness Officer! C'est une bonne nouvelle d'apprendre qu'après le souci de la Qualité de Vie au Travail (QVT) et l'attention portée aux risques psychosociaux (RPS), le sujet du bonheur au travail est pris au sérieux au plus haut niveau de la hiérarchie, y compris dans des grands groupes internationaux. Ne pas en profiter pour en demander toujours plus

Entreprises libérées : « C’est la rigueur qui permet l’autonomie » Le terme d' »entreprise libérée » (il semble que beaucoup lui préfèrent désormais le terme d’entreprise libérante), popularisé par Isaac Getz (@isaacgetz) et Brian M. Carney dans leur livre Liberté & compagnie (2012), désigne des organisations qui donnent des responsabilités et de la liberté à leurs collaborateurs. Sous ce terme générique se rassemblent des interprétations très disparates de l’autogouvernance (allant de la simple disparition des pointeuses, jusqu’à des formes d’organisation sociocratiques avancées), dont le point commun est de faire une critique des techniques de management et d’organisation scientifique du travail qui se sont développées depuis Taylor. Si l’organisation scientifique du travail a surtout produit de l’aliénation, du contrôle et de l’infantilisation, l’enjeu est d’imaginer et de promouvoir désormais une organisation humaine du travail qui mette au coeur de son action de la liberté, de la confiance, de l’autonomie.

Petit précis de communication non violente Parce que rien n’est plus simple que de se pourrir les relations par des interactions teintées de petits jeux de pouvoir verbaux, voici un petit ouvrage ultra précieux pour découvrir la communication non violente – dite CNV – et la pratiquer au quotidien, histoire d’adoucir un poil nos relations, tout en nous faisant bien mieux comprendre… Les ratés de la communication sont légions. Entre maladresse et tentation – plus ou moins consciente – de prise de pouvoir, mille et une petites manipulations se glissent dans nos interactions. La plupart du temps, elles sont minimes et ont peu de conséquences. Mais parfois, leur fréquence et leur nature leur fait prendre un ampleur qui pourrait nuire à la relation aussi sûrement que les limaces nuisent à la conservation de la salade. La communication non violente est un ensemble de processus verbaux qui favorisent la compréhension et l’acceptation de nos messages, dans un cadre bienveillant et respectueux des deux parties.

Intelligence collective des équipes [Total : 3 Moyenne : 4.3/5] Le philosophe Aristote promoteur de l’intelligence collective disait : « quand le nombre de ceux qui délibèrent est important, chacun peut apporter sa part de droiture et de prudence morale. Certains valorisent un élément, d’autres en valorisent un autre et tous réunis valorisent l’ensemble ». Cela est théoriquement vrai… mais les sciences de la psychologie et des dynamiques humaines ont ces dernières décennies démontré des comportements nombreux et déviant par rapport à la vision idéalisée d’Aristote. Alors avant de développer l’intelligence collective des équipes, voyons ses travers… Dans cet article nous allons donc aborder les points faibles (travers ou biais) de l’intelligence collective pour mieux les appréhender et dans un autre article nous développerons les bonnes pratiques pour atteindre un bon leadership du manager et de l’intelligence collective de son équipe.

La symétrie des attentions : une idée qui a fait son chemin Le concept de "symétrie des attentions" postule que la qualité de la relation entre une entreprise et ses clients est égale à la qualité de la relation de cette entreprise avec ses propres collaborateurs. Le concept de "symétrie des attentions" constitue le pilier de toute démarche de transformation par le service dès lors que l’on veut installer durablement dans l’entreprise une « culture de service ». L’idée a fait son chemin et s’est implantée dans de nombreuses entreprises françaises.L’idée sous-jacente est simple, intuitive : la qualité de la relation entre une entreprise et ses clients est égale à la qualité de la relation de cette entreprise avec ses collaborateurs. Elle est à la base de toute démarche de transformation par le service dès lors que l’on veut installer durablement dans l’entreprise une « culture de service ». Une corrélation complexe difficile à mesurer

Conjuguer qualité de vie au travail et performance de l'entreprise Découvrez la suite de ce module sur "Conjuguer qualité de vie au travail et performance de l'entreprise" en vous inscrivant gratuitement sur Bpifrance Université . Selon la Harvard Business Review, « les employés heureux sont 30 % plus productifs, leurs ventes supérieures de 37 % et leur créativité multipliée par 3 » ! Par conséquent, les entreprises tendent maintenant à passer d’une logique d’obligation légale de prévenir le travail qui fait mal, à un choix stratégique de développer le travail comme source de qualité de vie. Les avantages de ce choix stratégique sont bien-sûr la réduction des coûts liés au mal-être (l’absentéisme, le turnover, le présentéisme, etc…) mais aussi le développement des bénéfices liés à la motivation (la créativité, l’engagement, le travail d’équipe…). Alors quand on parle de créer les ingrédients d’une qualité de vie au travail, de quoi parle-t-on exactement ?

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