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Conférence de André Comte-Sponville, Sens du Travail, Bonheur et Motivation

Conférence de André Comte-Sponville, Sens du Travail, Bonheur et Motivation

Daniel Pink – La vérité sur ce qui nous motive Téléchargez gratuitement le premier chapitre du livre Devenez Riche Recevez 60 € (Parrainage Boursorama) en cliquant ici et un ebook offert Pensez-vous que quelqu’un s’est déjà demandé comment motiver les contributeurs sur Wikipédia ? La conception traditionnelle du management est dépassée : elle suppose que les salariés ont besoin d’un stimulant sous forme de récompense ou de punition pour avancer et qu’ils ont besoin d’être guidés sans quoi ils seraient perdus. Sommes-nous des glandeurs en puissance n’attendant que le regard d’un supérieur pour s’agiter ? Voici pourquoi le management est mort ! La vérite sur ce qui nous motive est la traduction de Drive, un Bestseller de Daniel Pink qui est aussi l’auteur de l’excellent “A whole new mind”, merveilleusement traduit par L’homme aux deux cerveaux L’objectif de ce livre est de répondre à une question simple : qu’est-ce qui nous motive ? Les carences de notre système de récompense et de punitions Les 7 défauts de la carotte et du bâton :

Soirée débat sur le travail | ImaginaCtion Document support Voici une liste non exhaustive, et sans ordre, de questions pour accompagner notre réflexion : Le travail est-il une contrainte ?Le travail est-il un besoin ?Avons-nous le devoir moral de travailler ? Compte-rendu de la soirée-débat du 22 avril L’objet de la soirée était un débat autour d’un extrait vidéo (50 minutes) du film de Pierre Carles intitulé Attention Danger Travail. Au fil de la discussion qui a suivi ce film, les points suivants ont été abordés. Plus encore, la discussion a mis en relief le fait que l’un des interviewé se livre à une valorisation du travail, comme facteur d’intégration sociale (c’est-à-dire à la fois d’insertion sociale et de reconnaissance sociale), mais que c’est précisément au sein des activités hors-marché du travail que ce gain social peut être maximisé. Voilà pour la critique. Ces interviews ne sont manifestement ni prescriptives, ni (surtout) descriptives. L’idée est séduisante. Compte-rendu par Pascal Garandel

Productivité et bonheur au travail vont de pair. | culture&sens On le pressent tous plus ou moins : plus le cadre de travail est positif, plus les rapports humains sont harmonieux, plus les salariés sont contents de leur travail… plus la productivité est durablement importante. D’ailleurs, Blanche Neige ne nous le chantait-elle pas depuis notre plus jeune âge avec “sifflez en travaillant et le balais paraît léger” (cf. ci-dessous) ? Mais de plus en plus d’études l’attestent scientifiquement : le bonheur au travail et la productivité vont de pair. C’est ce que prouve cette étude anglaise selon laquelle les personnes heureuses sont 12 % plus productives. Nous ne pouvons que nous réjouir que des scientifiques confortent ce en quoi nous croyons de longue date chez culture&sens et qui a même motivé la création de notre société. Comment rendre les salariés heureux au travail ? L’offre de culture&sens répond à ces différents besoins notamment en : Attention, toutefois, à ne pas aller trop loin.

LE SENS DU TRAVAIL (notes de conférence du prof. Sandro Cattacin) Lors de notre dernière Assemblée Générale, nous avons invité le prof. Cattacin, directeur du département de sociologie à l'Universiré de Genève, à présenter un exposé public sur le thème du "sens du travail". Nous le remercions aujourd'hui d'avoir bien voulu répondre à notre invitation et soulignons l'intérêt de sa contribution. En voici un résumé, écrit sur la base de notes prises par un participant et suivi d'un commentaire de notre vice-président Bernard Kundig: Au moyen-âge, le travail salarié tel qu’on le connaît aujourd’hui n’existait pas; il s’agissait plutôt d’esclavage ou de servage, et le travail n’était pas une valeur morale ou une structure de vie. Ce n’est qu’avec la constitution de corporations de métiers dans les villes que se créèrent des organisations autour du travail et des idéologies fondées sur le travail. Au début du 19e siècle, cette évolution s’était achevée, en ce qui concerne le travail, par la fin de la critique généralisée de la « fainéantise des mécréants ».

Grand résumé de La Signification du travail. Nouveau modèle productif et ethos du travail au Québec, Québec, Presses de l’université Laval, 2010. 1Issu d’une vaste étude réalisée au Québec, ce livre poursuit deux grands objectifs. D’abord, repérer, décrire et analyser les ethos contemporains du travail dans le contexte d’émergence d’un nouveau modèle productif de type postfordiste qui s’inscrit dans l’esprit libéral actuel, caractérisé par la domination du marché comme régulateur principal de nos sociétés ainsi que par la montée de nouvelles formes d’individuation. Ensuite, examiner l’arrimage des types d’ethos du travail repérés avec les principales caractéristiques des idéologies et pratiques managériales propres au nouveau modèle productif défini sur la base des formes de gestion de la production, d’organisation du travail et de mobilisation professionnelle. 2La démarche de recherche a suivi un itinéraire ponctué de trois étapes. 3Nos analyses nous ont conduits à mettre au jour un certain nombre de tendances générales au sein de la société québécoise. 5La troisième tendance a trait à la signification du travail.

Le mal insidieux des incivilités au travail Une requête lancée avec un air méprisant, un tutoiement à sens unique, ni bonjour ni au revoir, voire des menaces et des coups... 42% des salariés seraient exposés à des "incivilités" dans leur travail, d'après une étude menée auprès d'un millier d'actifs français par le cabinet de prévention des risques psycho-sociaux Eléas. Le terme couvre un large champ de désagréments: quand les deux-tiers relèveraient d'un manque de courtoisie ou de savoir-vivre, d'autres sont punis par la loi. Le premier coupable des incivilités semble être le public -clients, usagers, patients - mais 48% des salariés désignent aussi leurs collègues. Où que l'on place le curseur des incivilités et quelle que soit leur origine, elles agissent pourtant avec la même violence, estime Xavier Alas Luquetas, directeur d'Eléas, qui a fait le choix "d'un spectre très large" pour son étude. Motivation au plus bas A la clé, stress, mal-être, mais aussi chute de la motivation et de l'engagement. Le courroux des clients

LE BONHEUR AU TRAVAIL Comme l’explique Dominique Méda dans un « Que sais-je ? », le statut social du travail n’a cessé d’évoluer au fil des siècles. Pour les Grecs et les Latins, il était méprisable et donc réservé aux esclaves. Seul, l’otium, le loisir studieux est noble. Aristote confirme que « le bonheur est une fin qui ne s’accompagne pas de peine, mais de plaisir ». Avec le christianisme, c’est l’opus qui entre en scène, à la fois acte divin et acte humain, œuvre et obligation. Au dix-huitième siècle, avec les inventeurs du libéralisme économique, l’accent est mis sur le travail comme facteur de production, mais aussi comme clef de l’autonomie des hommes à travers l’enrichissement personnel. Le vingtième siècle ajoute au travail, facteur de production et essence de l’homme, son rôle de support de la distribution des revenus, des droits et des protections. Aujourd’hui la perception du travail est complexe. En outre plus un pays est développé, moins il accorde d’importance au travail. Voir également :

Vie de l'entreprise : Au travail, ne vous forcez pas à sourire VIE DE BUREAU - Une étude américaine souligne les effets néfastes des expressions hypocrites sur la santé et la productivité des salariés. Vous vous êtes levé du pied gauche, mais cherchez à dissimuler vos états d'âme derrière un masque de bonne humeur ? Vous n'adoptez pas nécessairement la bonne stratégie. Selon les conclusions d'une étude américaine publiée dans l'Academy of management Journal, les sourires forcés seraient nuisibles à la santé des personnes intéressées, de même qu'à à leur productivité. Cette enquête menée auprès de conducteurs de bus montre que ceux qui se contraignent à être aimables voient leur humeur peu à peu se détériorer en même temps qu'ils tendent à se désinvestir de leur tâche. «Toutes les émotions ont un rôle fonctionnel. Jouer un rôle comme un acteur Dans certaines professions très exposées au public conducteur de bus, commercial, caissier… -, les individus sont plus que d'autres amenés à composer avec leurs émotions. «L'open-space est un tue-l'émotion»

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