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Les 4 phases d'une séance en pédagogie inversée - La carte mentale

Les 4 phases d'une séance en pédagogie inversée - La carte mentale

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Classes inversées : fossilisation des pratiques ou innovation à l’ère numérique ? Classes inversées (flipped classrooms). L’appellation (d’abord en anglais, plus tard en français) apparaît vers 2007 quand deux enseignants de chimie[1], Jonathan Bergmann et Aaron Sams (dans l’équivalent de notre secondaire aux États-Unis), découvrent le potentiel pédagogique de vidéos (PowerPoint commentés, screencasts[2]…). Il s’agissait pour eux de motiver leurs élèves à préparer (à domicile ou sans la présence physique ou la supervision de l’enseignant) les leçons traditionnellement données en classe afin de les rendre plus interactives : « Lectures at home and homework in class » (les leçons à la maison, les devoirs en classe), le slogan était lancé[3]. Il ne s’agit pas de remplacer l’enseignant par une vidéo, mais d’utiliser des ressources de l’ère numérique pour permettre à ce dernier de faire encore mieux son métier d’accompagnateur d’apprentissage.

Les outils qui rendent possible la classe inversée La notion de classe inversée tourne beaucoup autour de la vidéo. Mais pourquoi? Selon Caroline Hétu et David Chartrand, enseignants, elle constitue un outil pédagogique très puissant, permettant « d’expliquer des notions, substituer une partie du cours et donner des instructions claires, autant en classe qu’à la maison ou à l’étranger ». De plus, elle favorise l’autonomie des jeunes en leur permettant d’apprendre à leur rythme, laissant par le fait même plus de temps à l’enseignant pour aider les autres.

Dynamiser l'analyse de documents avec le tableau interactif - Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne Transcription automatique corrigée. J'enseigne au quotidien en utilisant un logiciel de tableau blanc interactif mais sans tableau blanc interactif. J'utilise le logiciel et je l'utilise avec une tablette graphique. Cela me permet par rapport au TBI de le faire dans une salle quelconque du moment qu'elle est équipée d'un vidéo-projecteur, et donc je viens avec mon portable, ma tablette et je transforme n'importe quelle salle équipée d'un simple vidéo-projecteur en salle TBI.

Classe inversée La classe inversée (ou « renversée », en anglais : « flipped classroom »[1]) est une approche pédagogique qui inverse la nature des activités d'apprentissage en classe et à la maison[2]. Les rôles traditionnels d'apprentissage sont modifiés selon l'expression « les cours à la maison et les devoirs en classe »[3],[4]. Autrement dit, les élèves doivent impérativement étudier leurs cours chez eux, pour que les activités en classe deviennent plus concrètes pour eux. Carte heuristique : méthodologie pour créer des cartes mémorisation, imagination et organisation La carte heuristique (ou le mindmap) permet de représenter visuellement et de façon schématique les connexions sémantiques entre différentes idées, mots, liens (hiérarchiques ou non) sous forme d’arborescences pour amener la prise de décision, la réflexion autour de concepts, une analyse de processus, faciliter la mémorisation, représenter des histoires ou organisations… La représentation via ces cartes mentales peut s’effectuer via des logiciels de mindmap qu’ils soient libres, gratuiciels, partagiciels ou payants. Mais rien ne remplace une méthodologie claire pour utiliser ces logiciels avec efficacité (ce ne sont que des outils!). Le site plaisirdecole.com proposé par la firme Stabilo permet de mieux comprendre ce qu’est le mindmapping avec des fiches pratiques qui invitent à mettre en place des activités avec des cartes heuristiques dans un contexte pédagogique. Comment faire un mindmap MEMORISATION (6 pages) : méthodologie avec 4 exercices,

Un exemple de classe inversée ► Les documents associés : le diaporama - la vidéo en ligne1 - la vidéo en ligne2 ► Annexe (Une étude critique de documents en histoire) ► Place dans la programmation La séquence pédagogique est réalisée pour la classe de première des séries ES et L dans le cadre de la question « de la guerre froide à de nouvelles conflictualités ». La pédagogie inversée (page précédente) La ZoneTIC du Cégep Lévis-Lauzon décrit la « pédagogie inversée » (ou classe renversée, flipteaching, reverse instruction) comme ceci : une stratégie d’enseignement où la partie magistrale du cours est donnée à faire en devoir à la maison, alors que les traditionnels devoirs (travaux, problèmes et autres activités) sont réalisés en classe. Quel est l’intérêt?

Enseigner - Apprendre avec Britt-Mari Barth « À l’origine de mon travail, il y avait le constat que les élèves ne s’engageaient pas vraiment dans leurs apprentissages, beaucoup s’ennuyaient ou s’inquiétaient… D’où, mon envie de mieux comprendre le processus enseigner-apprendre pour identifier les facteurs qui étayent ce processus. » Britt-Mari Barth dirige le Laboratoire de recherche pour le développement sociocognitif (LAREDESCO). Elle est l’auteure de trois ouvrages de référence : L'Apprentissage de l'abstraction, Le savoir en construction et Elève chercheur, enseignant médiateur, donner du sens aux savoirs (éditions Retz). Vos travaux, depuis 25 ans, vous ont conduit à élaborer une pédagogique connue sous le nom de « l'apprentissage de concepts »… Il s’agit pour l’enseignant d’entrer dans les apprentissages par un processus de conceptualisation - plutôt que par le contenu - et ainsi amener les élèves à construire le sens de ce contenu. L’intelligence n’est pas que pur intellect. Conceptualisation ?

La classe inversée pour sauver l’école 2022. La journaliste du Monde Maryline Baumard[i] imagine l’école de demain, sur les bases de la refondation de l’école prônée 10 ans plus tôt par Vincent Peillon : « Ce que Clara a vraiment vu se modifier au fil de sa scolarité, c’est la pédagogie. Beaucoup de ses enseignants ont opté pour la « classe inversée ». Les ressources mises en ligne sur Internet, la connexion des classes et surtout la formation des enseignants ont permis cette petite révolution qui a contribué sans doute à laisser moins de jeunes sur le bord de la route.

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