background preloader

Bestiaire du Moyen Âge

Bestiaire du Moyen Âge
Related:  Mythe`test 1020

Mythologie. Le mot Mythologie (du grec mythos, fable, et logos, discours) est employé dans deux sens différents. Tantôt il désigne seulement l'ensemble des mythes et des légendes qui se rapportent à telle ou telle religion : par exemple, la mythologie grecque, la mythologie égyptienne; tantôt, au contraire, il s'étend à toutes les études, à toutes les recherches, à tous les systèmes qui concernent les mythes et les légendes. Le synonyme exact du terme mythologie est alors l'expression : la science des mythes. On a aussi donné comme définition : la science des traditions religieuses et poétiques des différents peuples sur les dieux et sur leurs rapports avec les hommes. L'étude scientifique des contes et des légendes populaires est née pendant la dernière moitié du XIXe siècle, connue sous le nom de folk-lore ou de folk-lorisme, elle a eu alors un développement très considérable. , dans leurs attributions, dans leurs aventures. Un Dêva, une divinité commune à plusieursmytholologies orientales. . K.

La Lycanthropie Parmi les nombreuses hypothèses plus ou moins farfelues sur les origines de la Bête du Gévaudan, il en est une qui mérite d'être citée, en réponse, mon amie Circée, à ton remarquable post sur les loups-garous. L'on avait remarqué, à plusieures reprises, que la Bête attaquait debout. On l'avait vue aussi franchir la Truyère, une rivière, debout sur ses pattes arrières. Bien avant, aussi, les chasseurs partis à l'assaut du monstre disaient "Elle est aussi intelligente qu'un homme"... Vous comprendrez aisément pourquoi les paysans de l'époque pensèrent que la Bête tait un loup-garou. Bien évidemment, on sait maintenant que la Bête était bel et bien animale, il y eut des hommes, tout aussi meurtriers qu'elle, voire même pire, parce qu'eux savaient ce qu'ils faisaient, mais ils n'étaient aussi que des hommes, et non pas des loups-garous... Derek.

Basalt thin section - Igneous Rocks - MicROCKScopic Texture: Basalts are hypocrystalline, aphanitic, commonly porphyric, composed mainly of plagioclase (P) and pyroxene, ± olivine, ± opaque minerals (magnetite, ilmenite) and a volcanic glass of basic composition. Basalts and diabase usually differ in texture only in the coarser grain of the diabase (= microgabbro), although basalts exhibit considerably more variety in their texture. The distinctive feature common to both rocks is the acicular or lath-shaped form of the plagioclase grains. The laths of plagioclase may show alignment (fluidal texture), or they may be randomly oriented (particularly in diabases). Phenocrysts of plagioclase in basalts are also usually elongated in shape, although large, more or less equidimensional crystals are also found. The olivines are usually in euhedral grains, sometimes with incomplete or corroded borders, or they may form rounded grains. Accessory (non-essential) minerals (Ma): iron-ore minerals (both ilmenite and magnetite).

mythe grec muthos récit Récit mettant en scène des êtres surnaturels, des actions imaginaires, des fantasmes collectifs, etc. Récit fondateur de l'histoire des hommes, le mythe s'enracine hors de l'histoire, dans des origines indistinctes où les dieux, les êtres et le monde cherchaient à établir leurs places respectives. Le langage courant emploie aujourd'hui le mot « mythe » soit pour dénoncer une illusion (« l'indépendance de l'État-nation n'est qu'un mythe »), soit pour évoquer l'image idéalisée, exaltée, d'une personne (le « mythe » de Marilyn Monroe), d'une situation ou d'un événement (le « mythe » du Tour de France). Petite histoire du mythe Parole vraie ou mensonge dans l’Antiquité grecque Étymologiquement, « mythe » vient de muthos, qui, dans la langue grecque du milieu du ve s. avant notre ère, désigne encore un énoncé considéré comme vrai. Histoire ou fable Muthos et logos chez Platon Au nom du vrai, du beau et du juste, Platon élargit encore le fossé entre muthos et logos. Réhabilitation du mythe

LE PHENIX Le Phénix Le Phénix est un oiseau qui ressemble au héron et bien que celui-ci ait été longtemps vénéré par les Grecs et décrit par les conteurs de l’antiquité, c’est de l’Egypte que va provenir la légende de cette créature perçue comme le symbole de l’immortalité et de la résurrection. Son nom est issu du mot grec qui désignait la couleur rouge en référence à la légende de sa mort et de sa résurrection dans le feu purificateur. L’origine du phénix vient donc de l’oiseau sacré égyptien Benu, un héron cendré qui fut le premier être à se poser sur la colline originelle issue du limon : il incarnait le Dieu du Soleil et était associé au cycle annuel des crues du Nil. Il était adoré à Héliopolis où on racontait qu’il n’apparaissait que tous les 500 ans. A travers les différentes époques et pays, le phénix va être considéré sous différentes facettes. Les pères de l’église le considéraient comme le symbole de l’immortalité de l’âme et de la résurrection du Christ. Odéliane

basalt tetrahedron | Diamictite It’s Rodeo Time again in Houston, which means astronomical congestion around Reliant Stadium. Not only that, but the light rail on the weekends is full to the brim with rodeo-goers. Which means I’d rather stay holed up in my apartment than head to campus as usual. This weekend I revisited the Basalt Tetrahedron, oft the bane of intro petrology students. In my spare time I’ve actually been really getting into all the planes of the tetrahedron in a lot more detail than we ever covered in introductory petrology. Image from Dr. From when I took this class at Tulane, I remember a big emphasis on this diagram (which can also be found in the lecture notes at the above link): Of course, this is the 2 front faces (Ne-Di-Fo and Fo-Di-Qz) unfolded, projected from Plagioclase (Pl). (A) Blue circles represent 1 atm experimental natural basalt liquids. But the presence of Ab is the whole reason why the thermal divide exists in the first place.

Mythe L'étude des mythes est la mythologie. La mythification est l'action ou le processus par lequel l'historiographie, la production artistique ou les représentations populaires considèrent, interprètent ou transforment un personnage ou un épisode historique en un mythe. Le terme mythe est souvent employé pour désigner une croyance manifestement erronée au premier abord, mais qui peut se rapporter à des éléments concrets exprimés de façon symbolique[2] et partagée par un nombre significatif de personnes. Il met souvent en scène des êtres incarnant sous une forme symbolique des forces de la nature, des aspects de la condition humaine[3]. Définitions[modifier | modifier le code] D'après le Dictionnaire de l’Académie française[5], le sens premier du mot mythe, apparu au XIXe siècle, est un récit fabuleux, pouvant contenir une morale plus ou moins implicite. Aspects des mythes[modifier | modifier le code] Réciter le mythe produit une re-création du monde par la force du rite.

The Golem by Alden Oreck : Table of Contents | Spanish Expulsion | The Holocaust In Jewish tradition, the golem is most widely known as an artificial creature created by magic, often to serve its creator. The word "golem" appears only once in the Bible (Psalms139:16). The Sefer Yezirah ("Book of Creation"), often referred to as a guide to magical usage by some Western European Jews in the Middle Ages, contains instructions on how to make a golem. According to one story, to make a golem come alive, one would shape it out of soil, and then walk or dance around it saying combination of letters from the alphabet and the secret name of God. Other sources say once the golem had been physically made one needed to write the letters aleph, mem, tav, which is emet and means "truth," on the golem's forehead and the golem would come alive. Another way to bring a golem to life was to write God's name on parchment and stick it on the golem's arm or in his mouth. Sources: Wigoder, Geoffrey , Ed.

Basalt Santorini Thin Section Microscope Slide - Geosec This is a thin section of Basalt collected from southern Santorini, plagioclase laths of various sizes showing good twinning and compositional zoning, in a pyroxene matrix. Phenocrysts of pyroxene and olivine, the latter showing edges altered to hematite but retining fresh centres. Photographs below are of the actual slide you will receive. Apologies that the photographs are not quite of the usual standard, I am away from base at present, and do not have access to my usual equipment. A small sample of the rock from which this slide was cut is also usually included, sometimes this is not possible if no offcuts are available at time of sale.

Merveilleuses mythologies Pensée magique pour Lévi-Strauss, clé du passé pour Eliade, miroir magique pour Velikovsky, les mythologies sont pour nombre d’entre nous de merveilleux souvenirs d’enfance. D’où qu’elles viennent, quoi qu’elles content, les mythologies me fascinent et ça ne date pas d’hier. Derrière leur apparence fantaisiste, ou fantastique, ces chroniques improbables se ressemblent pourtant. Et si elles nous racontaient ce qui s’est vraiment passé ? Si les mythes étaient bel et bien l’histoire d’avant l’histoire ? Car elle montre l’inévitable arbitraire qui fait dire aux observateurs de notre passé « ceci est crédible, donc historique. Platon lui-même, qui n’était pas un rigolo, nous invite à la prudence. Eternels, ces récits résonnent au lointain écho d’un monde différent et si familier. C’est tout à fait l’opinion de Robert Charroux : « La mythologie est l’histoire métamorphosée par le temps et la mauvaise transmission d’évènements qui se sont déroulés à l’aube des civilisations.

LE GOLEM Le Golem est un être humanoïde, artificiel. Il est fait le plus souvent d’argile et peut être animé momentanément de vie par l’inscription sur son front (ou sur sa bouche) d’un mot extrait d’un verset biblique. Dans la culture hébraïque, la première apparition du terme « golem » se situe dans le livre des Psaumes : « Je n’étais qu’un Golem et tes yeux m’ont vu. » Le Golem est alors un être inachevé, une ébauche. Dans la Kabbale, c’est une matière brute sans forme ni contours alors que dans le Talmud le Golem est l’état qui précède la création d’Adam. Mais la légende du Golem qui a pris le plus d’importance est celle venue tout droit de la Kabbale (doctrine juive) et qui est apparue au Moyen-Age simultanément en Provence, dans le Languedoc et en Espagne. Le mot « Golem » apparaît une seule fois dans la Bible et s’écrit « Guimel » en hébreu ce qui signifie « Matière informe ». Selon la légende, le premier a l’avoir conçu est le Rabbin Loew, nommé Maharal de Prague. Odéliane.

Biotite (thin section) :: Rocks and Minerals originalImageObj.width: 5116originalImageObj.height: 2512 currentImageTop: 54pxcurrentImageLeft: 95.5px viewportObj.width: 958viewportObj.height: 484viewportObj.left: 31viewportObj.top: 377 currentImageWidth: 767pxcurrentImageHeight: 376px startPosTop: 54startPosLeft: 95.5 Rows: 0Cols: 0imgWidthModulo: 0imgHeightModulo: 0originalImageObj.height: 2512originalImageObj.width: 5116oldImgScale: 15imgScale: 15mouseBoxPosTop: undefinedmouseBoxPosLeft: undefinedmouseBoxHeight: undefinedmouseBoxWidth: undefinedviewportObj.width: NaNviewportObj.height: 484viewportPosTop: undefinedviewporttPosLeft: undefinedcurrentImageWidth: undefinedcurrentImageHeight: undefinedimageLayerPosTop: undefinedimageLayertPosLeft: undefinedoldImgScaleAdjustedMousePosOnImageLayerTop: undefinedoldImgScaleAdjustedMousePosOnImageLayerLeft: undefinedcurrentScaleMultiplier: undefinedstartPosTop: 54startPosLeft: 95.5

Les Lupercales, aux origines de la Saint-Valentin Les Lupercales sont des fêtes célébrées chaque année du 13 au 15 février par les luperques, des prêtres de la Rome antique en fin d'année du calendrier romain. Les luperques sont réunis au sein d'un collège qui rassemble les fils descendants des plus anciennes familles qui ont fondé la ville de Rome. Cette série de fêtes célébraient le souvenir de l'allaitement de Romulus et Remus par une louve et rendait aussi hommage à Faunus Lupercus, une divinité de la fertilité et défenseur des troupeaux contre les loups et ayant un aspect mi-homme mi-bouc. Les 12 prêtres luperques sacrifiaient un bouc à leur dieu dans la grotte de Lupercal au pied du Mont Palatin là où la louve aurait allaité Romulus et Remus avant qu'ils ne soient recueillis par un couple de berger dont la femme, une prostituée, était surnommée "Lupa" (la louve en latin). Cette "Lupa" s'appelait Acca Larentia et son commerce de prostitution la rendit prospère et légua à sa mort sa fortune à Romulus. Cependant, en 494 apr.

Related: