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Le blog de la cybersécurité

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Intrinsec - Le coin des experts sécurité NoLimitSecu - Podcast dédié à la cyber sécurité NewbieContest : Challenge informatique francophone 0x0ff.info – Sécurité Informatique et Juridique – #InfoSec #Hacking #Luvz Demain les entreprises autonomes (2/2) : vers des transactions intègres Par Rémi Sussan le 06/03/14 | Aucun commentaire | 2,385 lectures | Impression La chaîne de blocs est, on l’a vu, un dispositif complexe et impressionnant. C’est un ajout important à de la technologie peer to peer. Avec la chaîne de blocs, chaque noeud d’un réseau décentralisé possède l’accès à tout l’historique du système. Cette technologie doit-elle donc se limiter à la monnaie ? Au sein de la communauté Bitcoin, on commence ainsi, et de plus en plus, à parler des DACs – Distributed (ou Digital) Autonomous Companies, c’est-à-dire Entreprises autonomes distribuées (ou numériques). “Métaphoriquement, le concept d’une Entreprise numérique autonome peut aider à comprendre le grand potentiel de la technologie inaugurée par Bitcoin. Les trois lois de la DAC En effet, c’est l’honnêteté fondamentale, garantie tant par l’open source que par la décentralisation (assurée par la technologie de la chaîne de blocs) qui constituera l’essence de ces DACs. Il émet ainsi les trois lois de la DAC : 1.

A quoi ressemble une cyberattaque sur le Bitcoin ? Une exposition pour comprendre le fonctionnement du Bitcoin est organisée par l’Institut des sciences des données du Collège Impérial de Londres. L’institut a développé une plateforme de visualisation, basé sur 32 écrans posés sur un mur circulaire et un réseau de 64 ordinateurs. Segmenté, le dispositif permet de visualiser les transactions de Bitcoin avec des perspectives différentes. visualiser une ATTAQUE DE SPAMS Sur une partie du dispositif, des milliers de lignes se tordent et se croisent de façon chaotique une serpentine, sorte de colonne vertébrale de données, décrit Harry Pettit dans son article, publié sur le site du Collège Impérial. Le système ne peut effectuer que trois à sept transactions par seconde, soit un rythme faible par rapport aux autres systèmes financiers.

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