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Gestion des droits numériques

Gestion des droits numériques
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Ces dispositifs techniques ou logiciels peuvent viser à : restreindre la lecture du support à une zone géographique prévue (par exemple les zones des DVD) ;restreindre la lecture du support à du matériel spécifique (par exemple les versions smartphone ou tablette) ;restreindre la lecture du support à un constructeur ou vendeur (afin de bloquer la concurrence) ;restreindre ou empêcher la copie privée du support (transfert vers un appareil externe) ;restreindre ou verrouiller certaines fonctions de lecture du support (désactivation de l'avance rapide sur certains passages d'un DVD). Les mesures techniques exploitent un chiffrement de l'œuvre, combiné à un accès conditionnel. L'éditeur ou le distributeur qui exploite ce contrôle d'accès ne confie la clé de contrôle d'accès du produit, qu'en échange d'une preuve d'achat ou de souscription pour y accéder (abonnement à une chaîne payante, VOD, téléchargement, etc.).

http://fr.wikipedia.org/wiki/Gestion_des_droits_num%C3%A9riques

Droit d'auteur et droits voisins dans la société de l'information Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Loi DADVSI Lire en ligne Lire sur Légifrance L’inverse du piratage, c’est le copyfraud, et on n’en parle pas Le piratage ne cesse de défrayer la chronique, mais curieusement, on parle beaucoup moins du phénomène inverse : le « copyfraud » ou fraude de copyright. Il ne s’agit pas de diffuser indéfiniment une œuvre protégée, mais au contraire d’effectuer une fausse déclaration de droit d’auteur entraînant la protection frauduleuse d’un contenu librement accessible. Le copyfraud est sans doute aussi répandu que le piratage. Cependant, les contrevenants sont rarement, voire jamais condamnés. Il faut dire que certains d’entre eux ont pignon sur rue : le Times britannique, la Réunion des musées nationaux, la Bibliothèque nationale de France, un département français… Définir le copyfraud

Marketing de l'i-dition, CHAPITRE 3 - De la segmentation par genres aux genres de segmentation - Edition & marketing digital Caricaturons les segmentations actuelles pour les besoins de pédagogie et de synthèse, et osons dire qu’elles sont basées sur 2 critères : le genre et le format. L’idée est de passer d’une segmentation simple basée sur des tris à plats, qui ne devient plus opérante, par une segmentation plus complexe mais plus ancrée dans le réel des attentes et des opportunités de marché. Par exemple : Croiser "Génération" avec "Habitudes de lecture" et "Avantages recherchés" pour créer avec une offre et un Business Model approprié à chaque typologie mise en évidence.Croiser les "Occasions de lire" avec les types de contenu et les terminaux mobiles pour identifier des marchés non encore couverts.Croiser la population non consommatrice absolue de livre (moins d’1 livres par an : 70% des français) avec les loisirs concurrents pour identifier les forces d’attraction possibles ouvertes par le numérique etc, etc…

Du domaine public comme fondement du revenu de base (et réciproquement ?) J’ai déjà eu l’occasion de parler récemment du revenu de base, dans un billet consacré à la rémunération des amateurs, mais je voudrais aborder à nouveau la question en lien avec un autre sujet qui m’importe : le domaine public. A priori, il semble difficile de trouver un rapport entre le revenu de base et le domaine public, au sens de la propriété intellectuelle – à savoir l’ensemble des créations qui ne sont plus ou n’ont jamais été protégées par le droit d’auteur. Revenu de base, revenu de vie, revenu inconditionnel, dividende universel, salaire à vie, etc : ces différentes appellations renvoient (d’après Wikipedia) au concept d’un "revenu versé par une communauté politique à tous ses membres, sur une base individuelle, sans contrôle des ressources ni exigence de contrepartie", tout au long de leur existence. La mise en oeuvre d’un tel projet est susceptible d’entraîner des transformations très profondes du système économique, parce qu’il déconnecte le revenu et l’emploi. Paradis.

Comment retirer les DRM d’un livre au format ePub ? Cet article a été écrit par Clément Bourgoin qui a eu la gentillesse de nous autoriser la reproduction intégrale du contenu sur eBouquin.fr. On l’a beaucoup dit : les DRM (dispositifs de cryptage des livres numériques empêchant leur copie ou leur prêt) ne servent à rien, ils enquiquinent les acheteurs légitimes et sont de toute façon faciles à contourner pour les pirates malhonnêtes. En ce qui concerne ce dernier point, en voici la démonstration. Le fichier utilisé dans l’exemple est le premier épisode du Vaisseau ardentde Jean-Claude Marguerite. J’ai choisi ce livre parce qu’il se trouve que je voulais le lire depuis un moment et que la version papier ne rentre pas dans mon sac.

L'IRRÉSISTIBLE ASCENSION DU NUMÉRIQUE CC FlickR / ssoosay Croissance de la demande, multiplication des innovations et des nouveaux services, changement d’échelle, développement de nouvelles infrastructures à très haut débit : tout indique qu’en matière de technologies de l’information, nous sommes à l’aube d’un changement d’ère. Quels sont les enjeux dans ce domaine et comment envisager les réponses que les Français et les Européens peuvent y apporter afin de concourir eux aussi aux avancées de l’économie numérique et surtout d’en tirer profit. Grâce à nos compétences dans les hautes technologies, nous disposons d’avantages compétitifs. Notre marché intérieur peut nous servir d’appui, et la demande mondiale est loin d’être saturée. Tout reste donc possible.

Les futures tendances de la lecture numérique L’application iBooks développée par Apple est au coeur de la stratégie des derniers produits mobiles de la marque. Lors de la dernière WWDC, iBooks a eu le droit à une mise à jour qui sera disponible d’ici la fin du mois. La principale nouveauté est l’ajout de la compatibilité avec les fichiers PDF. Cependant, si iBooks a séduit un bon nombre de lecteurs, elle n’apporte rien de révolutionnaire par rapport aux applications Kindle, Kobo ou Barnes&Noble. Pourtant, le numérique nous apporte des outils qui, bien employés, pourrait bouleverser nos usages de lecture. Kevin Rose, le fondateur de Digg.com, part du constat que la lecture numérique offre encore de possibilités inexplorées et envisage plusieurs axes à partir desquels Amazon ou Apple pourraient développer de futurs services.

Creative commons Want to let people share and use your photographs, but not allow companies to sell them?Looking for access to course materials from the world’s top universities?Want to encourage readers to re-publish your blog posts, as long as they give you credit?Looking for songs that you can use and remix, royalty-free? If you answered yes to any of the questions above, then you should learn more about Creative Commons. Création de NeoBook : édition et diffusion d'ebooks Un nouveau projet de maison d'édition indépendante de livres numériques, en formats EPUB et sans DRM, s'apprête à voir le jour en France d'ici début novembre. Baptisé NeoBook et basée à Ambillou, le nouvel éditeur proposera par ailleurs la numérisation et la diffusion d'ouvrages pour le compte d'éditeurs traditionnels. Fondée par Christophe et Agnès Beauquel, issus respectivement du monde du webmarketing et de l'édition, cette entreprise se fixe l'objectif de fournir aux lecteurs une expérience de lecture numérique sans contraintes techniques et à un tarif abordable. Éditeur avant tout, la maison assure la promotion, le design ou la production de livres numériques. NeoBook édite des titres en format EPUB certifiés sans verrous électroniques (DRM). L'entreprise souhaite apporter un soin particulier au choix des oeuvres publiées ainsi qu'à l'accompagnement de l'auteur au cours de la phase de création.

Réutiliser des images en ligne : entre Copyright, Copyleft et … Copydown Un des grands plaisirs du blog, c’est la chasse aux images pour illustrer les billets. L’écriture web peut difficilement se passer de l’image, tant elle est nécessaire pour capter l’attention du lecteur et condenser le message. Force est de constater que lorsqu’on écrit sur Internet, on devient vite avide d’images … Depuis que j’ai commencé ce blog, il n’est quasiment pas un billet que je n’ai illustré par une ou plusieurs images. Ce qui n’était au début qu’une pratique purement « décorative » est devenu au fil du temps un vrai besoin, à mesure que les images devenaient des moments à part entière de la démonstration.

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