background preloader

La #translittératie pour les Nuls

Pour y voir plus clair ! – Thèse d’Olivier Le Deuff sur les littératies, La culture de l’information en reformation : – Le groupe de recherche en Littératie Médiatique Multimodale du réseau des Universités du Québec : – Les séminaires du GRCDI (Groupe de Recherche sur la Culture et la Didactique de l’information) : avec l’intervention d’Alexandre Serres, Repères sur la translittératie : et celle de Pierre Fastrez, Translittératie et compétences médiatiques : – Page d’accueil du projet Translit : – La Translittératie comme horizon de convergence des littératies médiatiques, info-documentaires et informatiques par Divina Frau-Meigs : – La translittératie, un facteur de réagencement de l’organisation scolaire ? – « Translittératie », entrée du Dictionnaire de l’ENSSIB : – Et enfin, sur le site Docpourdocs, Comprendre la notion de translittératie : et, par Aline Bousquet, De l’EMI à la translittératie : sortir de notre littératie ?

https://doctoctoc.wordpress.com/2015/04/07/la-translitteratie-pour-les-nuls/

Related:  Réflexions EMIpedagogie et disciplinesLittératieauteurs

Université d'automne du Snuipp : L'EMI, une urgence citoyenne et pédagogique De quels outils les enseignants disposent-ils pour réaliser l'Education aux média et à l'information (EMI) ? Sophie Jehel, maîtresse de conférences à l’université Paris 8 et chercheuse au CEMTI (Centre d’Etudes sur les Medias, les Technologies et l’Internationalisation), conseillère scientifique du Collectif Enjeux e-médias, et Christine Menzaghi – responsable « société de l’information » à la Ligue de l’enseignement et secrétaire générale du Collectif Enjeux e-médias, tentent de faire le tour de cette question à l’occasion de l’Université d’Automne du SNUipp-FSU 2015. L’engagement de l’école dans le concept d’« éducation aux médias et à l'information (EMI) » est relativement récent.

Définir la littératie numérique Habilo Médias, Centre canadien d'éducation aux médias et de littératie numérique, publie en ligne un document de discussion intitulé « Définir la politique de littératie numérique et la pratique dans le paysage de l’éducation canadienne » visant à définir les caractéristiques et les points d’intérêt de la littératie numérique et de la citoyenneté numérique dans l’ensemble du pays, à explorer des idées et des pratiques pour enseigner et apprendre avec les technologies numériques ainsi que de nouvelles perspectives dans les écoles où l’enseignement et l’apprentissage se font avec ces mêmes technologies. Quelle définition de la littératie numérique ? Selon les auteurs, il n'existe pas de définition consensuelle de la littératie numérique. Pour se forger une solide culture numérique, ils retiennent toutefois l'idée d'une combinaison de capacités technologiques, de compétences intellectuelles et de comportements éthiques.

Un exemple de translittératie : l'évaluation de l'information sur internet / E-dossier de l'audiovisuel : L'éducation aux cultures de l'information Titulaire du Capes de Documentation en 1992, enseignant dans les filières documentaires à l’Université Rennes 2, docteur en Sciences de l’information et de la communication en 2000,Alexandre Serres est depuis 2002 maître de conférences et coresponsable de l’Unité régionale de formation à l'information scientifique et technique (Urfist) de Bretagne-Pays de la Loire. Membre de l’Équipe d’accueil 3207 PREFics (Plurilinguismes, représentations, expressions francophones, information, communication, sociolinguistique) à l’Université Rennes 2, il consacre l’essentiel de ses travaux à la culture informationnelle, la didactique de l’information, l’évaluation de l’information sur Internet et la formation des étudiants et des doctorants à l’information scientifique. Il a été membre du Comité éditorial et scientifique de Formist, et a participé aux travaux de l’ERTé (Équipe de recherche en technologie éducative) « Culture informationnelle et curriculum documentaire » de Lille 3. 1. 4.

Folksonomie Folksonomie"Une folksonomie est un néologisme désignant un système de classification collaborative décentralisée spontanée. Le concept étant récent, sa francisation n'est pas encore stabilisée, bien que le grand dictionnaire terminologique l'ait ajouté à sa base de données[1]. Le terme folksonomie est une adaptation française de l'anglais folksonomy, combinaison des mots folk (le peuple, les gens) et de taxonomy (la taxinomie). Le terme a été créé par l'architecte de l'information Thomas Vander Wal. Certains auteurs utilisent à la place les termes potonomie, peuplonomie, taxinomie populaire ou encore taxionomie sociale.

Les adolescents et Internet : en finir avec les idées reçues Ils s’appellent Zoé, Mathys, Julie ou encore Loïc. Ce sont des adolescents qui n’ont pas connu « le monde sans internet ». Pour cette raison, On dit souvent d’eux qu’ils sont des « digital natives » dotés de capacités innées, inscrites même dans leur développement biologique . On voit en eux aussi souvent des consommateurs passifs du numérique, aliénés aux logiques économiques déployées sur les réseaux. On va même jusqu’à les considérer comme des « mutants », étranges êtres d’une sphère lointaine… et pourtant si proche. Bref, de Zoé, Mathys, Julie et les autres, on dit beaucoup de choses. Socle commun de connaissances, de compétences et de culture <div>Source : Page web du Socle commun </div><div>education.gouv.fr</div>www.education.gouv.frRetrouvez ce texte r&eacute;glementaire sur la page du Bulletin officiel <div>Domaine 1 : les langages pour penser et communiquer</div><div><br></div><div>Le domaine des langages pour penser et communiquer recouvre quatre types de langage, qui sont à la fois des objets de savoir et des outils : la langue française ; les langues vivantes étrangères ou régionales ; les langages mathématiques, scientifiques et informatiques ; les langages des arts et du corps. Ce domaine permet l'accès à d'autres savoirs et à une culture rendant possible l'exercice de l'esprit critique ; il implique la maîtrise de codes, de règles, de systèmes de signes et de représentations. Il met en jeu des connaissances et des compétences qui sont sollicitées comme outils de pensée, de communication, d'expression et de travail et qui sont utilisées dans tous les champs du savoir et dans la plupart des activités.

Translittératie Translittératie La translittératie désigne la littératie qui s’exerce sur une multitude de supports et de médias. C’est en quelque sorte une métalittératie qui peut être mobilisée dans différentes circonstances. Il faut cependant rappeler en quoi consiste la littératie elle-même. Folksonomies Le terme de folksonomie est apparu récemment sur le web pour désigner le phénomène d’indexation des documents numériques par l’usager. On rencontre également fréquemment le mot tag qui désigne en quelque sorte un mot-clé. Le terme de folknologie est aussi employé, mais plus rarement. L’usage du mot folksonomie semble donc plus opportun.

De l'EMI à la translittératie : sortir de notre littératie La translittératie est une notion, un concept, une démarche d’apprentissage non encore stabilisée, sur laquelle la recherche française réfléchit et publie depuis plus de cinq ans. D’un point de vue étymologique, la translittératie est le « passage d’un système d’écriture à un autre » (Delamotte, Liquète, Frau-Meigs, 2014) mais est traversée par plusieurs courants. Nouvelle approche de l’information intégrable aux projets d’Education aux Médias et à l’Information, la translittératie serait-elle à l’origine d’une mutation future de notre métier de professeur documentaliste ?

Les Communs d’abord ! : un média dédié aux communs Lancé en janvier 2017, Les Communs d’abord ! est un média web indépendant dont le but est de donner une visibilité aux multiples initiatives, publications et débats liés au mouvement des communs. Focus sur ce blog collaboratif, s’adressant à tous ceux qui désirent approfondir leur connaissance du sujet. Nous vous en parlions à l’occasion de la conférence d’Hervé Le Crosnier dans le cadre du cycle « Pour un numérique critique et humain » : le sociologue estime que le rôle central des communs a été accéléré et réaffirmé par l’apparition d’Internet et l’ère du numérique. Pour rappel, les biens communs, ou tout simplement communs, sont des ressources, gérées collectivement par une communauté, celle-ci établissant des règles et une gouvernance dans le but de les préserver et de les pérenniser.

L’appropriation des dispositifs d’écriture numérique : translittératie et capitaux culturel et social Allard L., (2009), Britney Remix : singularité, expressivité, remixabilité à l’heure des industries créatives. Vers un troisième âge de la culture ?, in Poli, n°1. Allard L. (dir.) et Blondeau O., (2007a), 2.0 ?

Françoise Chapron, un temps d'avance... Le texte est découpé en trois chapitres abondamment documentés selon une perspective chronologique afin de nous amener à mieux comprendre la situation actuelle, quelque peu schizophrénique, vécue par les enseignants documentalistes. La période de 1937 à la création du CAPES en 1989 retrace la lente maturation de la pédagogie documentaire, saisie comme le produit d'un héritage pédagogique et plus largement éducatif (finalités, valeurs), porté par l’Éducation nouvelle, et du besoin concret de pourvoir les établissements scolaires d'un service documentaire à la fin des années 50. La documentation émerge ainsi en laissant percevoir sa dimension duelle, celle de matière à gérer (la documentation « service ») et celle de matériau à (savoir) traiter (la documentation « recherche »), engendrant cette partition complémentaire que nous connaissons bien et qui sera bientôt source de tension, entre gestion et formation. Dessin de Daz. 09-2015.

Déconstruire le conspirationnisme Ce 12 février, l’entretien du SIG consacré aux théories du complot et au conspirationnisme a réuni Rudy Reichstadt, directeur de l’Observatoire du conspirationnisme - Conspiracy Watch, Laurent Bazin, journaliste et co-auteur de « Tous paranos ? Pourquoi nous aimons tant les complots », et Nicolas Vanderbiest, chercheur à l’université de Louvain spécialiste en e-réputation. A cette occasion, ils ont pu décrypter les ressorts psychosociologiques du conspirationnisme et discuter le rôle d’Internet dans ses mécanismes de développement. "On nous cache tout, on nous dit rien!"

Related: