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1) Idéologie économique

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Organisation de coopération et de développement économiques. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Organisation de coopération et de développement économiques

L'Organisation de coopération et de développement économiques (OCDE, en anglais Organisation for Economic Co-operation and Development, OECD) est une organisation internationale d’études économiques, dont les pays membres — des pays développés pour la plupart — ont en commun un système de gouvernement démocratique et une économie de marché. Elle joue essentiellement un rôle d’assemblée consultative[1]. L’OCDE a succédé à l’Organisation européenne de coopération économique (OECE) issue du plan Marshall et de la Conférence des Seize (Conférence de coopération économique européenne) et qui a existé de 1948 à 1960.

Son but était l'établissement d'une organisation permanente chargée en premier lieu d'assurer la mise en œuvre du programme de relèvement commun (le plan Marshall), et, en particulier, d'en superviser la répartition[2]. 1.3 : LE MODÈLE AMÉRICAIN. ( GUERRE FROIDE ) Le modèle américain et soviétique des années 1950 et 1960 reposent sur des caractéristiques proches sur le plan économique, politique, sociale et culturelle.

1.3 : LE MODÈLE AMÉRICAIN. ( GUERRE FROIDE )

Ces deux modèles ont une même ambition, être universel et s'imposer partout à l'échelle de la planète. Le système politiques des États-Unis est fondé sur une Constitution datant de 1787. Aucun des trois pouvoirs n'est véritablement soumis aux autres : le président n'est pas responsables devant le Congrès, mais il ne peut pas non plus le dissoudre. Le Congrès peut bloquer les lois et le budget proposés, mais le président peut poser son veto à toute législation votée par les assemblées. Les tente années qui suivent la fin de la guerre sont celles de la « présidence impériale » : dans le contexte de la guerre froide, le président des États-Unis a l'ascendant sur le Congrès.

L'alternance entre les deux partis ( bipartisme ), républicain et démocrate, rythme la vile politique américaine. Pour réagir à cette situation, John F. Michael Lind (II) : Les États-Unis, une histoire protectionniste méconnue. Dans cette deuxième partie de notre entretien (voir la première partie), Michael Lind nous présente l’histoire économique des États-Unis d’Amérique, caractérisée dès l’Indépendance par un État stratège fédéral et un protectionnisme musclé.

Michael Lind (II) : Les États-Unis, une histoire protectionniste méconnue

Une histoire bien loin du dogmatisme laissez-fairiste et libre-échangiste qu’on imagine être de rigueur dans le monde anglo-américain ! Lind explique l’histoire étasunienne comme une lutte permanente entre deux tendances : celle de l’anti-fédéralisme, du laissez-fairisme et du soutien aux petits propriétaires d’un Thomas Jefferson (dit jeffersonienne) et celle prônant un État fédéral fort, dirigiste et protectionniste soutenant des industries modernes d’un Alexander Hamilton (dit hamiltonienne). Il y argüe que si les Américains sont de cœur jeffersonien, dans la pratique leur gouvernement a longtemps été hamiltonien. Dans son dernier livre (Land of Promise. En résumé : Évolution des droits de douane sur la valeur des biens imposables aux États-Unis. CAPITALISTE. ÉCONOMIE DE MARCHÉ. Brève définition - Équipe Perspective monde Système dans lequel les agents économiques (entreprises, individus) ont la liberté de vendre et d'acheter des biens, des services et des capitaux.

ÉCONOMIE DE MARCHÉ

Chacun agit alors en fonction de ses intérêts; le profit, considéré positivement, y figure comme la récompense du risque. p7.storage.canalblog.com/72/73/502381/32402254.jpg. Site Web indisponible. Capitalisme Le terme capitalisme vient du capital, et de l’état d’une personne accumulant des richesses.

Site Web indisponible

Il sera de plus en plus utilisé au 20e siècle par de nombreux économistes. Le capitalisme est très ancien : il remonte à la Renaissance, époque à laquelle les biens sont accumulés grâce à l’alliance d’une organisation du travail et de moyens de financement particuliers. Le système s’étendra très largement avec la révolution industrielle à partir des années 1790. Le capitalisme comprend pour se réaliser l’intégration de différentes notions.

Le capitalisme évolue sans cesse, il est instable et c’est dans cette instabilité qu’il y trouve paradoxalement sa stabilité. Libéralisme Le libéralisme est une philosophie politique issue des Lumières, qui opte pour la liberté des individus et leur égalité, en réponse à l’absolutisme de la société française. Qu'est-ce que le capitalisme libéral ? Etats-Unis : les dessous économiques d'une superpuissance. Culture du marché, culture du capitalisme, culture étatsunienne ? Pierre Gervais Publié le : 18 juin 2007 Spécialiste de l'histoire économique également, Pierre Gervais focalise son intervention sur la distinction entre capitalisme, économie marchande et économie de marché.

Culture du marché, culture du capitalisme, culture étatsunienne ?

D'une part, l'économie de marché américaine contemporaine ne peut être assimilée à l'économie marchande de l'époque coloniale, d'autre part, la liberté économique qui s'est développée aux Etats-Unis ne recouvre pas la même réalité que ce que nous nommons capitalisme en Europe. Tout comme Jean Heffer, Pierre Gervais commence par nous mettre en garde contre un emploi abusif du terme « capitalisme », qui n'est généralement pas utilisé aux Etats-Unis, où l'on parle plutôt de « free market ».

Cette notion de liberté économique recouvre une réalité historico-politique complexe autour de laquelle le débat historiographique a pu être vif, la question étant de savoir quand et comment les mécanismes de mise en place d'une économie de marché étaient apparus. Le capitalisme comme culture américaine. Jean Heffer Publié le : 18 juin 2007 Cette troisième séance de l'Atelier Amérique du Nord s'attaque à une idée reçue assez répandue en France associant fortement le capitalisme à la culture américaine.

Le capitalisme comme culture américaine

Jean Heffer, spécialiste de l'histoire économique, aborde la question avec prudence, et le soin qu'il prend à définir les termes qu'il emploie nous aide à comprendre comment une simplification abusive ne peut aboutir qu'à des stéréotypes stériles.