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Guerre économique

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Google’s insidious shadow lobbying: How the Internet giant is bankrolling friendly academics—and skirting federal investigations. In June 2011, Google had a problem. The Federal Trade Commission (FTC) had opened multiple investigations into whether the tech giant illegally favored its own shopping and travel sites in search engine queries; restricted advertisers from running ads on competing sites; and copied rival search engines’ results. To fight this threat, Google turned to a key third-party validator: academia, and in particular one university with a long history as an advocate for corporate interests.

From the beginning of the FTC investigation through the end of 2013, Google gave George Mason University’s Law and Economics Center (LEC) $762,000 in donations, confirmed by cancelled checks obtained in a public records request. In exchange, the LEC issued numerous studies supporting Google’s position that they committed no legal violations, and hosted conferences on the same issues where Google representatives suggested speakers and invitees. On another email, Cooper is looking for speakers for a privacy forum. Dossier : Les Amis de la Terre : des mercenaires… … au service de puissances étrangères ? I) Entre eugénisme et malthusianisme Les Amis de la Terre (Friends of the Earth) est une organisation écologiste fondée en 1969 par David Brower, à la suite de son exclusion du Sierra Club, qu’il avait rejoint en 1933.

Brower y fut directeur exécutif de 1952 à 1969, puis membre de son conseil d’administration à trois reprises : de 1941 à 1953, de 1983 à 1988, et de 1995 à 2000, année de sa mort.[1] Brower fonda plusieurs autres organisations environnementales : la Sierra Club Foundation, décuplant le nombre d’adhérents sous son mandat (de 7 000 à 70 000 personnes, Brower annonçant avoir un passage de 4 000 à plus d’un million en quatorze ans[2]), le John Muir Institute for Environmental Studies, en mémoire de John Muir, le fondateur du Sierra Club, la League of Conservation Voters, l’Earth Island Institute[3], le North Cascades Conservations Council, et les Fate of the Earth Conferences.[4] A) European Climate Foundation – Richard C. G) Velux Fonden. COP21 : derrière l’écologie, la pression des ONG anglo-saxonnes. En décembre, Paris accueillera la 21e Conférence des parties à la Convention-cadre des Nations Unies sur les changements climatiques, dite COP21. 40 000 représentants de 195 pays, observateurs et membres de la société civile sont attendus.

Les enjeux sont de taille : il s’agit de parvenir, par un accord international juridiquement contraignant, à la réduction des émissions de gaz à effet de serre (GES), afin de maintenir le réchauffement climatique mondial en deçà de 2° C pour 2100. Mais si la préoccupation climatique semble largement partagée, un événement d’une telle ampleur comporte des risques potentiels. Il serait à ce titre regrettable que l’intérêt général se retrouve l’otage d’un débat idéologique. La tenue de la COP21 coïncide en effet avec les élections régionales. Or l’actualité politique est à la tension entre le Parti Socialiste et les Verts, et au sein de ceux-ci entre les partisans d’un rapprochement avec le parti gouvernemental et ceux désireux de rester autonomes.

La compétitivité des entreprises françaises passe aussi par les normes. La Fabrique de l’industrie invite les entreprises françaises à s’investir davantage dans la normalisation. En créant de nouveaux marchés et en instaurant des barrières à l’entrée, les normes sont un enjeu de compétitivité. Denis Ranque, co-président de la Fabrique. Crédits : Pascal Guittet Alors que les négociations sur le traité de libre-échange – qui cherche à élaborer des standards de normes communs des deux côtés de l’Atlantique - se poursuivent, la dernière note de la Fabrique de l’industrie pourrait sonner comme un avertissement.

Pour le think tank, les entreprises françaises ne s’impliquent pas assez dans les processus de normalisation aux niveaux européen et international. L’enjeu ne se limite d’ailleurs pas au traité transatlantique. Sur les 35000 normes applicables en France, 90 % sont élaborées au niveau européen ou international et leur nombre a progressé de 30 % depuis 2003. Le think tank y voit pourtant un " levier de compétitivité " pour les entreprises. Solène Davesne. Les laboratoires pharmaceutiques en accusation, par Paul Scheffer (Le Monde diplomatique, octobre 2015) 62 pays s’accordent pour lutter contre l’évasion fiscale des multinationales.

LE MONDE | • Mis à jour le | Par Anne Michel Un accord politique à 62 pays contre l’évasion fiscale des multinationales telles que Apple, Google ou Amazon, susceptible de coûter à ces dernières entre 100 et 240 milliards de dollars d’impôts sur les sociétés par an (89 à 213 milliards d’euros)… L’Organisation de coopération et de développement économiques (OCDE) a annoncé, lundi 5 octobre, avoir obtenu un large consensus sur son plan de lutte contre « l’optimisation fiscale agressive » des grands groupes – pratique consistant à user d’artifices comptables, pour délocaliser les profits dans des paradis fiscaux où ils n’ont aucune activité réelle. Baptisé BEPS (Base erosion and profit shifting, Erosion des bases taxables et transfert de bénéfices), ce plan conçu comme une boîte à outils anti-abus est l’aboutissement de deux ans d’intenses tractations diplomatiques. Il sera officiellement adopté par les ministres des finances du G20 (les 20 pays les plus puissants), à Lima, le 9 octobre.

Géopolitique. Une enquête au cœur de la “guerre du maïs” qui se joue entre la Chine et les Etats-Unis. Depuis 2012, le FBI surveille des Chinois travaillant dans le secteur agricole, accusés d’espionnage industriel. Cette affaire révèle la “guerre du maïs” sans merci que se livrent la Chine et les Etats-Unis. L’enquête en deux volets que nous publions décrypte les dessous d’un enjeu stratégique qui pèse des millions de dollars.

Un jour de septembre 2012, deux Chinois en partance pour Pékin depuis Chicago sont pris la main dans le sac. Dans leurs valises, des agents du FBI découvrent 300 minuscules enveloppes de papier kraft contenant des grains de maïs. C’est le point de départ d’une longue traque du FBI, racontée à la manière d’un polar par Ted Genoways dans l’enquête Corn Wars publiée dans le magazine américain New Republic. A coups de courses-poursuites, de micros placés sous des voitures, de téléphones mis sur écoute, le FBI découvre un petit groupe de “voleurs d’épis”. Dépendance alimentaire. Total-accusee-aux-etats-unis-d-avoir-manipule-un-marche-du-gaz-naturel.

INFOS REUTERS Le régulateur américain a nommément désigné deux employés de Total qu'il soupçonne d'avoir mis en place cette manipulation à au moins 38 reprises sur le marché du gaz naturel dans le sud-ouest des Etats-Unis entre juin 2009 à juin 2012 Les autorités américaines de régulation du secteur de l'énergie accusent Total d'avoir manipulé le marché du gaz naturel dans le sud-ouest des Etats-Unis de juin 2009 à juin 2012.

La Federal Energy Regulatory Commission (Ferc) ne fait pas mention d'une éventuelle amende dans sa notification d'infraction présumée, datée de lundi mais publiée ce mardi 22 septembre. Ces manipulations, par le biais de transactions sur le marché physique du gaz naturel, étaient "destinées à faire évoluer des prix de marché indexés dans un sens qui profite aux positions afférentes de la société". Total a jugé infondées les accusations de la Ferc en se disant "convaincue que (sa filiale) TGPNA ou ses employés (n'avaient) commis aucune des allégations de la Ferc". Eurofighter vend 28 avions Typhoon au Koweit. "Eurofighter salue l'accord entre l'Italie et le Koweït" portant "sur 28 Eurofighter Typhoon", indique dans un communiqué diffusé vendredi soir le consortium basé à Hallbergmoos, en Bavière (sud de l'Allemagne), sans fournir toutefois le montant de la commande.

Un peu plus tôt vendredi, plusieurs médias avait fait part de cette vente, Bloomberg évoquant une transaction menée par le constructeur italien Finmeccanica, membre du consortium avec BAE Systems et Airbus. Le site internet du quotidien italien Corriere della Sera parlait quant à lui d'une commande de sept à huit milliards d'euros. Citant une source proche du dossier, Bloomberg avait également parlé d'un accord de gouvernement à gouvernement entre le Koweït et l'Italie.

Le ministère italien de la Défense avait quant à lui confirmé la signature vendredi d'un "engagement" entre les deux gouvernements, se refusant à en révéler le contenu. - Camouflet - L'Eurofighter Typhoon a été lancé en 2003. L'incroyable deal à 1 milliard d'euros de Leclerc offert à Hollande. Trop fort Michel-Edouard Leclerc ! Cela fait des mois qu’il hurle pour dire que la loi Macron menace de mort son réseau de magasins indépendants et personne ne l’entend dans les travées du Parlement.

En cause, un sous-amendement de l’article 10 qui limite à neuf ans les contrats d’affiliation dans le commerce coopératif. Autrement dit, le lien qui unit dans le temps les propriétaires de supermarché au groupement. D’ici une décennie, une partie de ses adhérents pourraient être courtisés par de grandes chaînes de distribution pour changer d’enseigne. Et le risque d’un démantèlement plane sur Leclerc si le texte de loi, qui sera définitivement voté en juin à l’Assemblée, n’est pas amendé. Or voilà que Michel-Edouard choisit la radio RMC pour sortir de sa manche un plan d’investissement d’un milliard d’euros sur trois ans assorti de la création de 10.000 emplois net pour développer un grand portail internet.

La carotte et le bâton. Safran se dote d’un fonds de 50 millions pour dénicher les pépites innovantes. Grégoire Aladjidi Le groupe Safran a officialisé le lancement de son fonds d’investissement destiné aux start-up innovantes. Le fonds Safran Coprorate Ventures, – que l’industriel français développe depuis un an, est doté de 50 millions d’euros sur une période de trois ans. La structure est dirigée par Grégoire Aladjidi, le directeur général qui sera chargé d’identifier les pépites, sous la houlette de Jean-Pierre Cojan, vice-président du groupe Safran, en charge de la Stratégie et de la Transformation du groupe. Safran Corporate Ventures prendra des parts minoritaires dans les jeunes entreprises qui pourront intéresser, dans un premier temps, les marchés européen et Nord-américain.

Ces prises de participation se feront aux côtés d’autres fonds similaires, ou d’investisseurs en capital, précise Safran dans un communiqué. Lire aussi: [Start Me Up] Faire affaire avec un grand groupe ? Midi-Pyrénées, 3e région la plus espionnée d'Europe - 02/05/2015 - ladepeche.fr. L'information vient de la Direction générale de la sécurité intérieure (DGSI) : Midi-Pyrénées est une des trois régions les plus espionnées d'Europe après l'Ile-de-France et Rhône-Alpes. Mais faut-il s'en étonner ? Pas vraiment. Notre territoire abrite le siège social de plusieurs groupes stratégiques qui ont pignon sur rue dans les domaines aéronautique, spatial, pharmaceutique, mais aussi dans l'agroalimentaire, sans parler du secteur de la recherche qu'elle soit privée ou universitaire.

«Depuis deux ans, trois entreprises sur quatre subissent des problèmes de malveillance. Mais huit entreprises sur dix ignorent qu'elles sont espionnées. Quand nous intervenons dans ces sociétés, celles-ci découvrent subitement qu'elles hébergent des logiciels malveillants (malwares en anglais) qui permettent de récupérer des informations confidentielles. Pourtant, la plupart de ces PME s'estimaient à l'abri», explique Jean-Nicolas Piotrowki. Un écosystème très vulnérable Trésorerie siphonnée.