background preloader

PPE Cancer

Facebook Twitter

Anatomie pathologique - Niveau PCEM2. Sections Sous-sections 4.1 Troubles du renouvellement cellulaire et tissulaire.

Anatomie pathologique - Niveau PCEM2

Nimotuzumab. Nimotuzumab (h-R3,[2] BIOMAb EGFR, Biocon, India;[3] TheraCIM, CIMYM Biosciences, Canada; Theraloc, Oncoscience, Europe, CIMAher, Center of Molecular Immunology, Havana, Cuba) is a humanized monoclonal antibody that as of 2014 had orphan status in the US and EU for glioma, and marketing approval in India, China, and other countries for squamous cell carcinomas of the head and neck, and was undergoing several clinical trials.

Nimotuzumab

Like cetuximab, nimotuzumab binds to the epidermal growth factor receptor (EGFR), a signalling protein that normally controls cell division. In some cancers, this receptor is altered to cause uncontrolled cell division, a hallmark of cancer. These monoclonal antibodies block EGFR and stop the uncontrolled cell division. It has a chimeric human-mouse h-R3 heavy chain and a human-mouse h-R3 κ-chain.[1][4] Mechanism[edit] Nimotuzumab binds with optimal affinity and high specificity to the extracellular region of EGFR (epidermal growth factor receptor). Safety[edit] Les biotechs à l’assaut du cancer. ▪ 12,4 millions de personnes atteintes, 7,6 millions de victimes en 2008 ; 26 millions de cas, 17 millions de décès en 2030.

Les biotechs à l’assaut du cancer

Ce fléau qui met en ébullition les laboratoires est le cancer. Les plus à la pointe ne sont pas les sociétés pharmaceutiques traditionnelles mais les biotechs. Dotée d’un fort potentiel, peu chère, découvrez notre valeur préférée pour investir dès aujourd’hui sur les remèdes de demain. "Durant la dernière décennie, l’oncologie a été un des plus forts vecteurs de croissance des marchés pharmaceutiques", selon un rapport de Market Research.

Le cancer n’est plus une maladie de pays riches et âgés. Les traitements, souvent onéreux, arrivent dans les pays émergents, à mesure que ceux-ci améliorent leur système de santé. La grande gagnante : la biotech. Toutes les biotechs n’en sont pas pour autant au même stade de développement. Toutefois, dans la biotech, rien n’est jamais assuré. Pour vous, c’est le moment d’y entrer ou de vous y renforcer. Alexandra Voinchet. 1. Anticorps monoclonaux: attaque des anticorps contre le cancer. En mai 1975, deux chercheurs jusqu'alors peu connus, Georges Köhler et César Milstein, présentèrent un rapport à la revue scientifique «Nature» qui le publia presque aussitôt.

1. Anticorps monoclonaux: attaque des anticorps contre le cancer

Les chercheurs y décrivaient la production des anticorps monoclonaux. Ils notèrent en conclusion que cette nouvelle sorte de cultures cellulaires «pourraient être utiles en médecine et dans l'industrie». Ils minimisèrent énormément l'impact de leur découverte. Un grand nombre d'individus sont en vie aujourd'hui grâce aux anticorps monoclonaux.

La technique de production de ces anticorps fait partie des plus importantes découvertes de la biotechnologie de ces 25 dernières années. Les anticorps sont des protéines en forme de Y et sont des éléments essentiels du système immunitaire. Voici de façon détaillée le mécanisme de production des anticorps monoclonaux (illustration 6.1). Cuba: les biotechnologies contre le cancer. À Cuba, le cancer est la deuxième cause de décès après les maladies cardiovasculaires et on estime que, chaque année, 21 000 personnes environ meurent d’un cancer et 31 000 nouveaux cas sont diagnostiqués.

Cuba: les biotechnologies contre le cancer

«Le cancer est l’une des principales causes de décès à Cuba. Ceci est en partie dû à l’allongement de la durée de vie mais aussi à l’adoption de modes de vie malsains. Trop gens abusent de l’alcool, ont une alimentation déséquilibrée et consomment du tabac », déclare le Dr José Luis Di Fabio, chef du Bureau de l’OMS à Cuba. «Les cancers les plus courants sont ceux de la prostate et du poumon, chez l’homme, et ceux du sein et du col de l’utérus, chez la femme.»

Plan national de lutte contre le cancer Pour faire face à cette situation, Cuba a suivi les recommandations de l’Organisation mondiale de la Santé et a mis en place un plan national complet qui garantit l’accès à tous les niveaux des services de santé – prévention, diagnostic, traitement et soins palliatifs. Le nimotuzumab.