Une cuillère ingénieuse permet aux personnes atteintes de Parkinson de manger en toute autonomie. Le repas n’est désormais plus une épreuve pour les personnes souffrant de la maladie de Parkinson.
Une start-up a mis au point une cuillère révolutionnaire qui permet de réduire les tremblements des personnes atteintes de cette maladie. Une invention prometteuse que DGS partage avec vous aujourd’hui. La start-up Lift Labs est à l’origine de ce projet ambitieux et simple d’utilisation. En effet, LiftWare, de son petit nom, s’adapte aux tremblements de la main du patient en un rien de temps et stabilise ensuite la cuillère en fonction des mouvements provoqués par les symptômes de la maladie de Parkinson. Le regard des autres est donc focalisé ailleurs et cela favorise l’épanouissement des personnes concernées, qui peuvent désormais se concentrer sur autre chose que l’action de manger et interagir avec leur entourage lors d’un repas.
Sa petite taille facilite son transport et sa batterie permet d’enchaîner plusieurs repas sans avoir besoin de recharger LiftWare. Le débit de parole du patient wilsonien dysarthrique peut-il être amélioré en condition de double tâche ? Communiquer efficacement - Sociéte Parkinson Canada. De nombreuses personnes atteintes de la maladie de Parkinson éprouvent des problèmes de communication découlant de symptômes moteurs et non moteurs.
La capacité des personnes atteintes à fonctionner et à interagir avec les autres peut varier selon qu’elles sont sous l’effet actif ou inactif des médicaments. Communiquer avec des changements cognitifs - Sociéte Parkinson Canada. La maladie de Parkinson est un trouble du cerveau.
Il s’agit d’une maladie complexe associée à des changements cognitifs et d’humeur ainsi qu’à des symptômes moteurs. Environ la moitié des personnes atteintes de la maladie de Parkinson éprouvent une forme ou une autre de déficience cognitive. Le présent document d’aide a pour but de donner un aperçu général des changements cognitifs associés à la maladie de Parkinson et de fournir quelques conseils aux partenaires de soins. Les changements de la fonction cognitive peuvent se traduire par l’un ou l’autre des problèmes suivants : L’anomie est souvent l’une des premières capacités affaiblies.
La participation des personnes atteintes aux conversations est souvent très touchée. Étant donné les nombreux changements cognitifs associés à la maladie de Parkinson, il est important que les partenaires de soins apprennent différents moyens de communiquer ce qu’ils ont à dire afin de garder contact avec la personne dont ils s’occupent. Sources. Réagir à un comportement agressif - Sociéte Parkinson Canada. Les changements cognitifs peuvent causer des réactions et des comportements émotionnels qui demandent un effort spécial à gérer.
Une personne atteinte de démence peut faire preuve de comportements agressifs, comme pousser, frapper ou crier. Les comportements agressifs peuvent rendre la communication extrêmement difficile pour un soignant, mais il existe des stratégies pour faire face à ces situations. Déterminer la cause Les comportements agressifs ont souvent une raison d’être – le défi consiste à en trouver la cause afin de les gérer, d’en diminuer l’occurrence ou de les éviter. Les effets secondaires de la médication, les changements cognitifs, la dépression, les hallucinations ou le délire sont des éléments qui peuvent provoquer des comportements agressifs.
Il est important de déterminer la cause de tels comportements. Limiter les demandes et les choix Suivez une routine et accordez du temps à la personne pour faire ce qu’elle a à faire. Restez calme. Sources. Neuropsychologie de la maladie de Parkinson et des syndromes apparentés 2ème edition. Présentation: Neuropsychologie de la maladie de Parkinson et des syndromes apparentés La maladie de Parkinson est une affection neurodégénérative fréquente, touchant 1 à 2 % des plus de 50 ans.
Même si ce sont principalement les troubles moteurs qui amènent le patient à consulter, les troubles cognitifs et psycho-comportementaux font aujourd'hui l'objet d'une évaluation quasi systématique. Après un rappel des bases de la physiologie des ganglions de la base, cette deuxième édition rend compte des principaux troubles cognitifs et psycho-comportementaux qui accompagnent les pathologies des noyaux gris centraux : maladie de Parkinson, atrophie multisystématisée, paralysie supranucléaire progressive, dégénérescence cortico-basale, démence à corps de Lewy et maladie de Huntington. Didactique et pratique, cet ouvrage est illustré des tests les plus utilisés dans l'évaluation des dysfonctionnements cognitifs associés aux différents syndromes abordés.
Produit : POD – impression à la demande. LSVT. LSVT Global - Home.