Why You Need to Stop Bragging About How Busy You Are. Do you rush through the morning paper, barely skimming the headlines while answering emails and making kids’ lunches?
Do you compete with coworkers over how late you stay at the office each night? When journalist Brigid Schulte found herself immersed in one of the most hectic, time-crunched industries, she, like many of her busy coworkers, was feeling overworked and overwhelmed by the demands of her work and home life. “I was just feeling so busy and holding on by my fingernails through every day, trying to work crazy hours, not only being good at what I did, but great and amazing at what I did, and then [at home] I was trying to be supermom,” she says. Baking cupcakes until 2 a.m. and hosting professional interviews while sitting on the floor outside her kids’ dental office was the norm for Schulte. Yet even though she was working as though her hair was on fire, she felt unproductive and inadequate.
A culture of busy Leisure time where the best ideas are born The boss has to go home first. Mieux vivre au travail. L’expérience optimale au travail. De fil en aiguille, une nouvelle question a émergé : et s’il était possible de joindre l’utile à l’agréable, c’est-à-dire de faire du travail un plaisir ?
De ce nouveau paradigme a découlé l’idée qu’il est préférable de choisir un travail qui nous passionne. L’objectif serait de trouver un travail tellement plaisant qu’on n’aurait pas l’impression de travailler. Le bien-être au travail : un objectif pour la prévention ? Prévenir les RPS et rédiger le document unique : témoignages d'acteurs.
Publié le 06-DEC-13 par ANACT | Imprimer Pour aider les entreprises sur le sujet, l'Anact a organisé un colloque le 1er octobre dernier.
Pour illustrer la dynamique de cette journée, parallèlement aux ateliers, se sont tenues des interviews. Plusieurs invités à la table ronde se sont prêtés au jeu des questions-réponses. Témoignage d'un consultant. Formation : le bonheur en entreprise peut-il s’apprendre ? Guide pour la prévention des risques psychosociaux au travail. L’objectif de ce guide est d’aider les organisations et les entreprises – y compris les PME et les très petites entreprises – à mettre en place une démarche de prévention des risques psychosociaux qui s’intègre dans une politique globale de gestion des risques professionnels et dans le dialogue social.
Le guide définit ces risques, donne des principes de prévention et décrit de façon détaillée les étapes à suivre pour mettre en place une véritable politique de prévention. Les pistes de solutions mises en avant préconisent des mesures collectives qui tiennent compte de l’organisation du travail. SylvainePascual (SylvainePascual) sur Twitter. Le bien-être au travail existe-t-il ? Le plaisir a t'il sa place en entreprise? Au Laboratoire du Management. Laboratoire du Management – 19 septembre 2013 - Le plaisir a t’il sa place dans l’entreprise?
Pour la rentrée du Laboratoire du Management, les membres du laboratoire (14 entreprises présentes) ont abordé le thème de la place du plaisir dans l’entreprise. Une session riche en contenu et en plaisir dans l’animation. Voici le dessin réalisé par Etienne Appert tout au long de cette matinée et retraçant en image une partie des propos abordés. Quelques mots clés qui ont rythmé les échanges : ConvivialitéPlaisir dans l’instinct et de l’instantPartageAuthenticitéApprendreUn grain de folieLe jeuTalentsLégèretéCadre Clair et stableOrienté solutionLibertéSe réaliserEsprit de l’enfantRéflexivitéAimer .. avec exigence…. DM@Work - Disability Management. Nouveau site Internet sur le Disability Management. Refaire autrement, Repenser le travail -Christophe Dejours. Www.eurofound.europa.eu/pubdocs/2013/301/fr/1/EF13301FR.pdf. Et si on partageait le pouvoir dans l'entreprise? Des dîners entre copains jusqu'aux débats les plus prestigieux, comme ce week-end à la Cité de la Réussite à Paris, en passant par des notes de conjonctures sociale et autres sondages, le constat est identique: ça ne peut plus continuer comme ça!
Qu'est-ce qui ne peut plus continuer? Le manque d'autonomie, de dialogue, de partage, de responsabilités en un mot de "liberté" dont souffrent les salariés aujourd'hui. "Dans un groupe où la structure n'est pas toute puissante, il est possible d'accorder une plus large place au partage d'expérience et à l'échange. On manage alors autre chose que du temps de travail. Les entreprises les plus innovantes sont celles qui incitent leurs acteurs, à tous les niveaux à échanger et à s'écouter mutuellement. Considérer les salariés comme des adultes responsables Lâcher la bride Entré chez Favi en 1971, Zobrist constate qu'il n'y a "pas de performance sans bonheur", et "pas de bonheur sans responsabilité". "Lâcher prise"? La nuance est bien là.
Le coworking doit-il s'intéresser aux risques psychosociaux ? - Conditions de travail - Ressources humaines. Une table ronde sur « le paysage du coworking » lors de la seconde édition de la Conférence Coworking Europe se déroulait à Paris du 8 au 10 novembre.
On y a parlé en anglais et c'était le premier événement de taille organisé en France autour du coworking, signe que le concept a pris aussi dans l'hexagone (cf. encadré). Identifié aux nouvelles technologies, le profil des coworkers s'est diversifié vers des métiers du tertiaire plus traditionnels : consultants, journalistes, artistes, médiateur familial... mais aussi parfois des artisans, des coiffeurs à domicile.
Une vision QVT de l’entreprise. Jazz et management - Le site du Jazz convivial et du Piano Bar. La qualité de vie au travail: site portail de Novéquilibres. Définition d'une entreprise où il fait bon travailler ? (1/1) Bonjour, Je fais actuellement une recherche scientifique sur la définition d'une entreprise où il fait bon travailler.
Plus précisément, plusieurs "instituts" s'amusent à établir un classement des entreprises où il fait le mieux travailler. L'idée de mon étude a germée quand je me suis rendu compte que les premières entreprises de ce classement étaient parfois des entreprises où la charge de travail est paradoxalement énorme. Mon étude a pour but de démontrer l'absurdité de ces classements. Pour ce faire, j'ai établi un petit questionnaire visant à établir l'importance relative des critères testés par ces instituts en vue de mettre en défaut, dans un second temps, le questionnaire d'un de ces puissants instituts. « Pourquoi le travail nous emmerde. Et comment faire pour que ça change », de Cali Ressler et Jody Thompson.
Un constat d’abord que rappelle les auteurs de Pourquoi le travail nous emmerde.
Et comment faire pour que ça change : « le stress coûte chaque année des centaines de milliards d’euros aux entreprises et la durée effective quotidienne de travail d’un ouvrier est, aux Etats-Unis, de trois heures en moyenne » ! Pour les entreprises qui ont accepté de mettre en œuvre un nouvel environnement de travail, ce dernier « n’est plus perçu comme quelque chose qui est négatif car il a été dépouillé de toutes ses contraintes formelles, et notamment de la plus inutile de toutes : l’obligation d’une présence systématique et constante sur le lieu de travail, cinq jours sur sept et huit heures par jour ». Avec, à la clef, un accroissement des performances malgré la crise. En route pour l’utopie dans laquelle les gens pourront « faire ce qu’ils veulent, quand ils veulent, à partir du moment où leur travail est bien fait »... Performance de l'organisation et bien-être au travail: revue de la littérature et pistes de recherche. Bien_etre_et_efficacite_au_travail_1.pdf (Objet application/pdf)
La créativité, une source de bien-être en entreprise ? Pour examiner le bien-être en entreprise, il convient de faire état d’un certain nombre d’évidences néanmoins utiles à rappeler.
La première d’entre elles est la certitude que les employés “bien dans leur peau” sont plus productifs. A ce titre, une estimation prudente du coût du stress lié au travail par la Commission Européenne avance ";qu’il s'élèverait "; à quelques 20 milliards d'euros par an « en frais de santé, perte de temps de travail et de productivité ». Travailler mieux pour vivre mieux : réflexions pour d’autres perspectives d’organisation du travail - Idées. Aujourd’hui, j’ai le plaisir de recevoir le juriste Alain Supiot et le psychiatre et psychanalyste Christophe Dejours pour tenter de savoir s’il est possible de changer le travail et changer la vie ! De gauche à droite : Alain Supiot et Christophe Dejours AC Lochard © Radio France Cela ne devrait pas exister, mais c’est la triste réalité : il existe des femmes et des hommes malades du travail, il se rencontre des épuisés de la vie qui n’ont plus le courage de résister au « management de la peur » et à la pression gestionnaire.
Ceux-la ne supportent plus la dévalorisation de leur métier, ils ont honte de la malfaçon, ils regrettent le temps de la coopération entre collègues ; alors, ils se sentent inutiles, et perdent toute estime de soi. Or contrairement à ce qu’on pouvait attendre, les travailleurs qui se suicident sur leur lieu de travail sont rarement des sujets marginalisés. Refaire autrement, Repenser le travail -Christophe Dejours.