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«Je voudrais qu’il comprenne…!»

«Je voudrais qu’il comprenne…!»
Que de fois n’ai-je pas entendu cette petite phrase! Vous aussi, sans aucun doute. Peut-être vous arrive-t-il de la dire ou de la penser. Eh bien, j’ai une bonne et une mauvaise nouvelle pour vous. C’est bien facile de dire «je voudrais qu’il comprenne». (a + b)^2 = a^2 + b^2 + 2 a b Est-ce que tout le monde comprend ça? Tout d’abord, il faut connaître la notation algébrique. Ensuite, pour comprendre ce que a^2 signifie, il faut savoir que cela signifie «a à la puissance 2» ou «a au carré», ce qui veut dire «a fois a». Maintenant, pour comprendre l’équation, il faut connaître les règles de l’algèbre ou bien faire soi-même tout le raisonnement et le développement en utilisant la logique mathématique. Bien. Est-ce que tout le monde va comprendre en 30 secondes? En résumé, cela donne ce tableau, que je vous suggère de bien mémoriser: Quelques exemples assez typiques Quelques réflexions complémentaires, pour ne plus tomber dans le piège Related:  Psy

Toxiques relationnels Chacun connaît, sans aucun doute, la situation suivante: on se trouve en compagnie d’une ou plusieurs personnes. Tout va bien, chacun se sent bien, l’atmosphère est sereine, les échanges harmonieux. Mais tout d’un coup, on ressent que «quelque chose ne va pas». On éprouve un vague malaise, ou bien même un malaise profond. Que s’est-il passé? Nous utilisons l’expression «toxique relationnel» pour désigner tout comportement qui empoisonne les relations. Cette liste, sans ordre apparent, en a quand même un: vers le haut de la liste, se trouvent les comportements que l’on est censé éviter très tôt dans la vie — on apprend aux enfants de 6–7 ans à ne pas se moquer, ne pas mentir, etc. Implications Il est de toute manière intéressant de poursuivre l’objectif «zéro toxiques relationnels». L’objectif «zéro toxiques relationnels» est compatible — et cohérent — avec les principes qui sous-tendent la communication non violente. de se protégerde limiter l’exposition, autant que possible.

Evitement émotionnel et renforcement négatif, même combat ! «J'ai peur donc je fuis» Néandertalien anonyme, - 200.000 ans AVJC Depuis la nuit des temps, la première réaction à un événement qui nous fait peur est la fuite. Ca marche bien. Notre peur diminue quand notre tête nous dit que nous sommes en sécurité. Ce réflexe de fuite nous a sauvé plus d'une fois. Un jour où ma tête était irrésistiblement attirée par les nuages de notre beau ciel d'automne, je me mis dans l'idée de traverser une rue. La réaction automatique d'immobilisation et de fuite dont j'ai été l'objet a comme point de départ la surprise. C'est utile d'être en état de peur. C'est utile de fuir. Oui. Mais pas tout le temps. Parfois, la peur se déclenche sans qu'il y ait un danger réel dans notre environnement. Parfois, la peur se déclenche car notre tête nous raconte une histoire. Que faire dans ce cas là ? Ce que nous sommes amenés naturellement à faire, c'est bien la fuite. Prenons quelques exemples : Vous avez probablement d'autres exemples en tête. On ne fait pas exprès de se coincer.

Communication: le « on » qui a mal à son « je »/ »nous » Ce « on » délicieusement vague, masque flou derrière lequel se cache l’indéterminé polymorphe : singulier ou pluriel, sans genre et sans risque, merveilleusement non discriminant, déresponsabilisant, indubitablement politiquement correct, à la neutralité presque luxembourgeoise, il a le défaut de ses qualités: il ne dit pas ce qu’il veut dire… Nous avons tendance à sous-estimer l’impact des mots que nous utilisons. Pourtant, nos choix sémantiques et syntaxiques sont le reflet de nos modes de fonctionnement, en particulier émotionnels et relationnels et de notre perception de la réalité. Ils sont donc des moyens d’améliorer la connaissance de soi au travers de la valeur du mot choisi. Ainsi le recours au on délicatement impersonnel est révélateur de la relation que nous entretenons à ce que nous sommes en train de dire. Il n’engage pas, il ne prend pas parti, il ne s’implique pas, il n’a pas d’opinion. – Bon, on fait comme on a dit, hein les gars?

5-HTP, la molécule naturelle qui chasse la dépression | Nouv'elle Nature Quand le moral nous lâche et l’anxiété nous submerge, le 5 http issu de l’arbuste Griffonia est capable d’agir sur notre taux de sérotonine pour réactiver notre bien-être. Analyse d’une molécule naturelle qui influe sans danger sur notre équilibre émotionnel. Une molécule santé issue de la nature Le 5-Hydroxytryptophane (5-http) se trouve dans la nature sous la forme d’un arbuste africain appelé Griffonia Simplicifolia. Appartenant à la famille des légumineuses, ses graines se présentent sous la forme de pois ronds et plats d’environ 3 mm qui se démarquent par leur teneur importante en protéines. C’est dans ce trésor naturel que se trouve 3 à 7% de la molécule 5-HTP efficace dans le traitement naturel des cas d’anxiété et de dépression. Les effets d’une carence en sérotonine Une déficience en sérotonine peut s’accompagner de différents symptômes d’un individu à l’autre, allant de la dépression aux maux de tête chroniques. Quelques contre-indications importantes Source Belle santé à tous

Langue de bois La langue de bois : éluder les questions embarrassantes, parler pour ne rien dire, caresser l'électeur dans le sens du poil... Autant d'exercices dans lesquels la plupart des hommes politiques excelle. Voici la magnifique performance de langue de bois de F. <div style="background-color:red;color:white;width:160px"><strong>JavaScript is disabled! Adobe Flash Player not installed or older than 9.0.115! Devenez aussi expert grâce à ce générateur. Parlez comme un énarque grâce au générateur inspiré de A propos du générateur de langue de bois La langue de bois générée par cet outil n'est pas le fruit de notre imagination. Suggestions de lectures

Souris: agressions répétées et aversion sociale L'un des mécanismes impliqués dans l'apparition de la dépression causée par le stress vient d'être révélé chez la souris par des chercheurs du CNRS, de l'Inserm et de l'UPMC (1). Ils ont déterminé le rôle du récepteur de la corticostérone, l'hormone (Une hormone est un messager chimique véhiculé par le système circulatoire qui agit à distance de son site de production par fixation sur des...) du stress (Le stress (« contrainte » en anglais), ou syndrome général d'adaptation, est l'ensemble des réponses d'un organisme soumis à des contraintes...), dans la modification à long terme des comportements induits par un stress chronique. Chez les vertébrés (Les vertébrés forment un sous-embranchement du règne animal. Les chercheurs ont reproduit l'expérience, mais cette fois-ci avec diverses lignées de souris chez lesquelles le récepteur de la corticostérone était absent dans certaines populations de neurones. En réponse à une agression, on observe toujours une libération de dopamine. Notes:

Identifiez le sens des 9 types d’objections Loin d’être un frein, les objections rencontrées au cours du processus de la relation dessinent l’attitude de l’interlocuteur et son orientation. L’objection exprime un type de résistance et nous allons décrypter son intention. Dans la série « Les 9 clés de la Personnalité » article 24/41 Les origines des objections La résistance aux idées de l’autre est un processus naturel de défense. Toute conviction comprend une part de vérité, issue de nos croyances et de notre vécu, et des émotions que nous avons déjà traversées. Il est donc indispensable pour comprendre l’objection de décoder quelle fonction est en jeu. Le cerveau, source de l’objection Il faut chercher dans le fonctionnement des trois cerveaux reptilien, limbique et cortex la création des objections. Le cerveau reptilien assure les moyens de survie et la protection du territoire. Le cerveau limbique est le centre des pulsions, des émotions, de motivation, de plaisir et déplaisir. Les 9 types d’objections. Les objections de principe

Améliorer son estime de soi » La maison de l'écologie Activités de type : Séminaire Vous souhaitez améliorer votre estime de vous et réaliser vos objectifs ? Un séminaire de dynamique vitale, intégrant le coaching mental et tout en mouvement. Avec Pascal Cambier, coach, éco-conseiller et chargé de communication de la Maison de l’Ecologie asbl. Quelle idée vous faites-vous de vous-même ? Comment vous comportez-vous quand vous passez à l’action ? Saviez-vous qu’il y a l’estime de soi, l’amour de soi, l’image de soi et la confiance en soi ? Beaucoup de nos difficultés quotidiennes (stress, mal-être, difficultés à dire non ou à s’affirmer, perfectionnisme allant jusqu’au burn-out, etc.) peuvent s’expliquer par une mauvaise estime de soi. En participant à ce séminaire, vous souhaitez : Une pratique régulière des clés qui vous seront données dans ce séminaire va vous permettre de mieux gérer le stress du quotidien, d’être davantage cohérent dans vos choix de vie, avec une saine et juste estime de vous-même. PAF : 148 €. Map Data

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