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Socle commun

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Actualités - Collège : outils pour évaluer les compétences du socle. Grilles de références 2010 Les grilles de références actualisées expliquent ce qui est attendu des élèves.

Actualités - Collège : outils pour évaluer les compétences du socle

Elles donnent des indications pour aider les enseignants à évaluer l'acquisition du socle commun. Elles concernent le palier 3, évalué de la sixième à la troisième. En ligne, les grilles pour 5 compétences du socle : Socle commun - Présentation - ÉduSCOL. La loi du 8 juillet 2013 d'orientation et de programmation pour la refondation de l'école de la République annonce dans son article 13 un nouveau socle commun.

Socle commun - Présentation - ÉduSCOL

Il sera redéfini par décret après avis du Conseil supérieur des programmes au cours de l'année 2013-2014. La scolarité obligatoire doit garantir à chaque élève les moyens nécessaires à l'acquisition d'un socle commun de connaissances, de compétences et de culture, auquel contribue l'ensemble des enseignements dispensés au cours de la scolarité. Le socle doit permettre la poursuite d'études, la construction d'un avenir personnel et professionnel et préparer à l'exercice de la citoyenneté. Les éléments de ce socle commun et les modalités de son acquisition progressive sont fixés par décret, après avis du Conseil supérieur des programmes.

(article L. 122-1-1 du code de l'éducation). COMPETENCE ET SOCLE COMMUN. La pédagogie par compétences au Québec : les enseignants sont les plus critiques, Alter Educ :Archives : La réforme de l’enseignement fondamental mise en place au Québec entre 2000 et 2002 vient d’être évaluée par l’Université Laval, sous la direction du professeur Marc-André Deniger.

La pédagogie par compétences au Québec : les enseignants sont les plus critiques, Alter Educ :Archives :

Ce rapport d’évaluation1, paru en octobre et commenté dans la presse québécoise en novembre, nous intéresse particulièrement au vu des similitudes fortes entre la réforme québécoise et celle qui a cours dans nos écoles fondamentales depuis 2000 également : organisation du cursus en cycles de deux ans, acquisition de compétences, suppression du redoublement, travail en équipes des enseignants, etc. Si le rapport montre un fort taux d’adhésion des enseignants à la réforme, il ne pointe pas moins de grandes difficultés d’application notamment en matière d’évaluation des compétences. Sabine Kahn, chercheuse à l’ULB qui travaille également sur le Québec, met cette évaluation en perspective en pointant les ressemblances avec notre situation et les éléments inhérents au contexte québécois. Mise en perspective. Socle commun compétences. La mise en œuvre du socle est semée de pièges qui pourraient dénaturer l’esprit du travail par compétences, même à travers les meilleures intentions des acteurs.

Socle commun compétences

Voici trois scenarii possibles d’application du socle qui tentent de déminer le terrain en identifiant ces pièges, afin de ne pas sombrer dans l’usine à cases, l’ « évaluationnite » ou le rejet d’une impossible évaluation par compétences. l'OCNI (objet commun non identifié) Certainement le scenario actuel dans la plupart des collèges, par manque de temps de concertation, de formation et dans l'obligation d'évaluer le socle (palier 3 pour les élèves de 3e) à la fin de cette année scolaire.

La précipitation entraînée se confondra avec une improvisation quasi-parfaite. Le socle sera validé – ou pas - alors que le travail par compétences n'est pas amorcé. Notes et compétences, quelle équation ? C'est une question qui agite la salle des profs, à l'heure de la mise en oeuvre du socle commun.

Notes et compétences, quelle équation ?

J'émets l'hypothèse de l'incompatibilité. La note sur 20 permet, à travers l'exemple de la dictée, de sanctionner les fautes. On peut rétorquer que dans les multiples évaluations notées, les points sont comptés en positif : on pointe les réussites des élèves par un point, qu'on pourra d'ailleurs décliner jusqu'au quart de point selon le degré d'approximation de la formulation de l'élève. Retirer un demi ou un quart de point sur une question permet de signifier à l'élève que sa réponse n'est pas parfaite, mais qu'elle comprend tout de même un élément de réponse positif.

Mais au final il restera encore une soustraction, celle qui sépare le 12 du 20, ces 8 points non acquis. Si l'on se penche sur les moyennes (obtenues par de savants calculs coefficientés), ce "réel" est biaisé.